

Le village naît en 1506, comme Peypin-d’Aigues, d’un accord entre les seigneurs et une quinzaine de familles vaudoises qui acceptent de venir repeupler les terres en friche. Les deux villages se complètent : Peypin ayant un excédent de forêts, et Saint-Martin de terres cultivables. Durant les persécutions de 1545, le village est pillé et brûlé. Saint-Martin fait partie des villes visées par l’édit de Mérindol du 20 mai 1545 : il suffisait d'en être originaire pour être envoyé aux galères.