
(Suite du POI précédent) Il faut dire que la masse moutonnière est impressionnante : certains jours, on compterait jusqu’à dix troupeaux de 1 000 à 8 000 têtes chacun - peut-être le maire exagère-t-il ? Quoi qu’il en soit, le préfet lui répond fermement : « Depuis l’abolition des privilèges et de la féodalité héritée de la Révolution, chacun est libre de choisir la voie publique qui lui paraît préférable, et ce principe s’applique aussi aux conducteurs de troupeaux… ».