
En 1840, le maire de Gréoux s’inquiète auprès du préfet : les conducteurs de troupeaux de bêtes d’average (terme désignant le petit bétail, ovin et caprin) venant d’Arles, délaissent désormais la draille traditionnelle passant par Vinon et Gréoux pour rejoindre Valensole. Ils empruntent à la place les nouvelles voies publiques, causant des dégâts aux cultures bordant ces chemins.