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Jeune écolier déjà, Louis piérard va lire, au coin des rues, à haute voix, « l’Echo du Peuple » pour les analphabètes de son village.

À seize ans, on le hisse sur les tables de café pour répandre la bonne parole, celle de ceux qui luttent pour le suffrage universel.

Encore adolescent, Louis Piérard prend part à des « métingues » (réunions publiques) que l’on organise dans les corons.

Il est attaché à la démocratie parlementaire. Il a une répulsion profonde pour toute forme de violence et rejette toute forme d’extrémisme.

Le pacifisme et l’antimilitarisme demeurent le fondement de sa pensée et de son action.

Il opte pour ce qu’il appelle le « pacifisme pratique » et cite Jaurès : « si tu veux éviter la guerre, prépare la paix ».

Louis Piérard pense que le message d’émancipation du socialisme concerne tout autant les intellectuels, les petits commerçants, les agriculteurs que les prolétaires de l’industrie.

Le 16 novembre 1919, il est élu député de Mons dans la mouvance socialiste.

Il est l’auteur de textes législatifs efficaces et précis, qui sont la démonstration éclatante de sa parfaite aptitude à une action constructive que son imagination d’artiste portait plus haut et plus loin que la courte vue des « réalistes ». » (Georges Bohy)

C’est aussi un grand parlementaire qui déborde d’idées et d’initiatives.

Il s’intéresse aux multiples aspects de ce que l’on dénomme aujourd’hui la politique culturelle, à la protection du patrimoine artistique, à l’urbanisme, aux manuels scolaires, à l’administration des Beaux-Arts, au statut de la Radio-Diffusion, aux métiers d’Art, aux bibliothèques publiques, à la protection des monuments et sites…

Il est membre de la commission permanente de l’Instruction publique.

En 1929 il fait voter la loi instituant « l’œuvre nationale de l’éducation populaire pour les loisirs du travailleur ».

Il combat par la parole et par la plume le fascisme et le nazisme. Il s’attache à sauver leurs victimes. Ardent défenseur de tous les exilés, il obtient pour eux le droit d’asile en Belgique et leur naturalisation quand c’est possible. Il veut pour son pays un rôle de terre d’accueil.

De 1932 à 1940, il est Président de la Fédération boraine du Parti ouvrier Belge.

Il préside le Conseil Supérieur de l’éducation Populaire et de l’Office National des loisirs du travailleur et l’Association de propagande artistique à l’étranger et l’Office National des Musées.

Sources : www.patanima.be

Infos techniques

Ce poi a été mis à jour le : 09/04/2020
8 Rue Notre Dame de Lorette
7040 Quévy
Lat : 50.3927885Lng : 3.9404869
89 m

Profil altimétrique

Auteur de la donnée

24 rue des Jonquilles 7387 Onnezies Belgique

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