On découvre la cache de Cadoudal, général chouan, dont il disposait en 1796. Sur un talus, de grandes pierres de taille marquent l'entrée. A l'intérieur, subsiste un petit espace dans lequel on imagine des chouans cachés, préparant une embuscade aux républicains. On comprend aussi comment cette cache était indétectable et les marais, presqu'îles et îles permettaient de fuir aisément le cas échéant. C'était le poste de commandement de son quartier général ; « les terres environnantes contenaient des cachettes voûtées pratiquées bien antérieurement par des contrebandiers dans l'épaisseur de larges talus » et des bateaux étaient toujours prêts pour assurer si besoin sa retraite vers Sainte-Hélène, Plouhinec, Belz ou Nostang.