Je poursuis par la côte vers le Cap Gris-Nez. Il me faut descendre et regrimper dans tous les « crans », des sillons creusés par les petits fleuves côtiers.
Chacun son style : émouvant comme le cran du Poulet avec son oratoire à la Vierge, cocasse comme le cran aux Œufs, surprenant au cran de Quette où trois phoques m’attendent avant de replonger dans l’eau