
Cette source qualifiée de miraculeuse, est liée à la cécité qui touche Saint Hugues en fin de vie. Elle a longtemps attiré des personnes non-voyantes espérant recouvrer la vue.
Elle coule en deux lieux : une cavité à gauche du Jardin des éblouis, rassemblat des plantes aux vertus ophtalmiques, et un bâti du XIXème siècle (construit lors d'un pélerinage agricole dédié à Saint-Hugues).