

Au printemps, le Tarier des prés revient sur ses postes d’observation dans les prairies du Haut-Jura. Un piquet, une plante plus haute … il égraine son chant constitué de sons «secs». Le beau sourcil blanc du mâle permet de le reconnaître. Les œufs sont posés au sol dans la prairie. Mais les dates de fauche plus précoces avec les évolutions climatiques et les changements de pratiques agricoles font que nombreux sont les jeunes qui n’ont pas le temps de prendre leur envol pour rejoindre l’Afrique.