Rue Gabriel Péri

Homme politique (1902-1941), journaliste à l’Humanité, Résistant, il est fusillé par l’occupant avec d’autres otages le 18 décembre 1941.
Elle est devenue l’artère principale du village avec la Mairie, la poste, (installée dans un immeuble où se trouvait autrefois l’ancien presbytère) de nombreux commerces dont une boulangerie à l’emplacement d’un ancien four communal appelé « le grand four ».
Les immeubles à gauche, lorsqu’on se dirige vers l’est, s’appuient sur les anciens remparts. On les devine encore par endroits et cela explique l’épaisseur de certaines façades.
A l’extrémité de la rue, se trouve le grand immeuble formant depuis 1637 et jusqu’à la Révolution le couvent et la chapelle des Pères Trinitaires pour la rédemption des captifs. Il fut vendu comme bien national en 1791.