Cette ruelle fut considérée pendant très longtemps comme la rue « coquine » ou rue « chaude » de la bastide. Carrerot "(ruelle) aujourd'hui disparue dont le tracé est matérialisé par le dallage rosé du square du souvenir.
Dans les années 1960 on y trouvait encore deux pittoresques passages ou « pontets » qui la traversaient et reliaient les premiers étages des maisons bourgeoises situées à l'ouest de le ruelle à leurs granges à pans de bois qui leur faisaient face.