
Ce hameau vivait de l'économie traditionnelle cévenole : les châtaignes permettaient de nourrir les hommes, et aussi d'engraisser les cochons. On y élevait des moutons, des chèvres et des vaches. Les terrasses sous les maisons procuraient les céréales et les légumes du jardin. Après une longue période de désertification, le Tronc revit. Aujourd'hui les ruines sont redevenues des maisons, un élevage de chèvres entretient l'espace, la châtaigneraie est rénovée, un verger de pommiers a été replanté, des pélardons ne demandent qu'à être savourés.