Avant la révolution de 1789, toutes les terres de l'actuelle commune du Guilvinec, étaient la propriété du Seigneur de Kergoz. Moulin, four à pain, pressoirs lui appartenaient également. En vertu des droits seigneuriaux, ses paysans étaient dans l'obligation d'utiliser son moulin et ses fours pour cuire leur pain en payant une redevance appelée "banalité". Ce privilège était très mal accepté.
Tous les habitants des hameaux de voisinage devaient se rendre à la maison du four une fois par semaine, en apportant leurs fagots.