
Texte de la présentation de son exposition « Entropie » en 2012 :
« Le travail de Vhils révolutionne la technique du pochoir avec l’utilisation d’outils étonnants. A travers la destruction des murs, il explore les couches de l’espace urbain et son histoire. De vieux papiers, des affiches anciennes, des surfaces murales et des panneaux de bois sont attaqués au burin, au marteau-piqueur, à l’acide, ou aux explosifs, creusant d’immenses figures dans un jeu de clair-obscur. Les portraits de Vhils soulignent un contraste fort entre le neuf et l’ancien en rendant visible les dessous des bâtiments. Il cherche ainsi à donner un autre visage au tissu urbain qu’il exploite comme un terrain d’inspirations populaires. »