Au début du 20e siècle, se trouvait ici une chute d’eau également appelée « Pont du Loup ». Son exploitation devait permettre, par l’intermédiaire d’une usine de génératrice située en aval, de fournir une partie de l’électricité nécessaire au fonctionnement de la future voie de chemin de fer Gap-Grenoble. L’avènement des automobiles finit cependant par rendre caduc ce projet et la section Gap-Corps ne fut jamais achevée.