

Aux Tourrières, le berger garde en estive environ un millier de brebis. À son propre troupeau de 300 bêtes s’ajoutent ceux de quelques autres propriétaires. Monté du Gard voisin, pour partie en camion et pour partie à pied par la draille, le troupeau parcourt des centaines d’hectares jusqu’à la fin de l’automne, maintenant de la sorte un paysage façonné par l’homme et les troupeaux.