Balise n° 13Plus résistant aux froids tardifs, mieux adapté à l’altitude (supérieure à 500 m) que le mûrier blanc, il a été introduit dans le sud de la France au Ve siècle et utilisé dès le XIIIe s. pour l’élevage des vers à soie. S’il gèle au printemps, ses feuilles permettent de nourrir temporairement les vers à soie, en attendant que le mûrier blanc produise. Le mûrier blanc l’a remplacé au XVe siècle et il a presque disparu du paysage. Ses fruits sont succulents mais gare aux taches indélébiles !