L’aspect rigoureux de la science est présent dans la régularité des rayures noires et blanches, dans la numération et l’étiquetage depuis 1894 années des premières observations. Les formes brutes et la facture primitive de l’œuvre nous renvoient quant à elles à l’animalité, à la force du vent et à la nature qui nous entoure. La dernière gaule noire, sans manche à air marque la fin des relevés exécutés par l’homme dans ce haut lieu de la météorologie.