Dans la clairière et les sous-bois, des branches mortes élevés en tas, des formes sans apparence aux géométries particulières, nombreuses, comme une armée silencieuse et patiente. Des volumes hybrides, des abris, des menhirs étranges, des habitants attendant la pleine lune pour en sortir du bois et danser sur les pentes abruptes de l’Aigoual en laissant des fragments de leur ADN.