
Balise n° 2Les désordres architecturaux dus à l’usure du temps autant qu’aux prélèvements de pierres ont bien failli avoir raison de cet impressionnant monument qui se dresse depuis des siècles à l’extrémité d’un promontoire rocheux. Les efforts de sauvegarde entrepris dans les années soixante par quelques bénévoles amoureux des Cévennes avaient permis de prolonger la vie de la tour sans pour cela la sauver définitivement. Le Parc national des Cévennes l’a achetée en 1990, procédant à sa restauration complète l’année suivante. Les chênes verts qui se trouvent à proximité de ce point cachent en partie un ensemble de terrasses, traces d’une ancienne activité agricole.