Sur les bords du chemin dominent le genêt à balais . Mal-aimé des bergers et de leurs moutons, cette légumineuse coriace a été l’objet d'une condamnation sévère par l'écrivain cévenol Jean-Pierre Chabrol. Pour lui, la forte déprise agricole ferme le paysage en Cévennes en laissant place aux genêts, signe de la fin d'une civilisation.