
Ce hameau médiéval est connu depuis le XIe siècle, quand l’agriculture était prospère sur ses pentes. Tranquille, un peu perché, le Vieux-Buis traverse les siècles sans d’autre bouleversement que celui, furieux et imparable, de la peste de 1348. Ce n’est qu’au milieu du XVe siècle que l’agriculture retrouve un nouveau souffle dans une région anéantie où tout est à refaire. Jusqu’au XIXe, ces montagnes arides garderont une vocation agricole : petits élevages, vignes, oliviers, … dont vous trouverez des vestiges de culture tout au long du chemin.