En 1944, un groupe de maquisards, composé d'antifascistes allemands et espagnols, et de quelques Français réfractaires au S.T.O, s'établit à la Fare. Huit jours plus tard, le 12 février, la milice fit sauter les bâtiments à la dynamite. Les maquisards, prévenus à temps, étaient déjà partis. À partir de 1990, le hameau commence à se repeupler, et les nouveaux habitants le restaurent. Aujourd'hui, une trentaine de personnes y vivent.