Au col on rejoint la draille. Ces voies anciennes auraient été empruntées dès l'époque préhistorique par des hardes d'animaux sauvages lors des migrations saisonnières. Elles sont parfois bordées de murets en pierre sèches et jalonnées de pierres plantées, permettant au berger de garder son chemin malgré le mauvais temps. Les troupeaux font, de nos jours encore, une halte au col de Peyrefiche et y dorment parfois, abrités par les genêts purgatifs.