

Faisant écho au château de par son aspect massif, cet édifice religieux voué à la destruction dans les années 1950 n’a dû sa sauvegarde qu’à l’obstination de son curé de l’époque, Georges Lassus. Grâce à lui, il nous est encore donné d’admirer la porte de facture gothique, les 3 belles verrières classées, l’orgue du XVIIIe siècle ainsi que de nombreuses peintures et sculptures.