Camille Pissaro s’installe à Louveciennes au n°22 route de Versailles au printemps 1869. En 1870, les Prussiens arrivent à Louveciennes. Dans sa fuite, il laisse derrière lui plus de 1500 tableaux. En 1871, au retour de Londres, il n’en retrouvera qu’une quarantaine cachés sous un escalier dans une maison saccagée. Il se remettra courageusement au travail et peindra plusieurs fois le paysage qui l’entoure. Il quittera Louveciennes en juillet 1872 pour Pontoise.