SYMB 5201
Degouve de Nuncques aime la solitude et il est rare qu'un personnage vienne animer l'oeuvre qui donne toujours l'impression d'un songe. Un silence lourd, mystérieux et impérieux imprègne l'oeuvre. Tout mouvement est banni, la vie s'est arrêtée et les oiseaux qui devaient animer ces évocations du réel, ne sont que des créatures féeriques engendrant une tendre et poétique émotion.
(d'après Gisèle Ollinger, in 'Musée d'Art Moderne. Oeuvres choisies', Bruxelles, MRBAB, 2001, p. 104-105)