Cette petite gare rénovée fait partie des 15 gares qui jalonnaient le parcours du Transcorrézien. Munis d’un guichet, d’un hangar et de quai de déchargement, cette gare de seconde classe typique témoigne de l’épopée de cette ligne à voie métrique (espacement de 1 m entre les rails) qui a désenclavé tout une partie du territoire. Hormis les voyageurs, ce réseau de voie de chemin de fer secondaire a permis d’exporter du bétail, du bois de chêne, de pin et de châtaigner et ainsi de développer l’économie sur ce secteur.