Ce bâtiment composé d'une maison et d'une écurie devint le Café de la Paix dont une des chambres fut garnie d'une tapisserie représentant la bataille d'Heliopolis. Le café tenu par ce gendarme (licencié en 1815) fut le théâtre de réunions et d'actes séditieux dès le 7 août 1830. Le jour de la kermesse, il y eut des manifestations : des hommes armés arborèrent dans les rues des drapeaux tricolores qui furent hissés sur le clocher et sur le toit de la mairie.