Le commerce sur la Vilaine a permis l’enrichissement d’une classe de population qui s’est fait construire des hôtels particuliers reflétant leur réussite.
Au XXe siècle, un architecte nantais fait édifier l’hôtel des deux magots en respectant la tradition architecturale des maisons de négociants avec leurs pierres de taille et les lucarnes ouvragées. Le nom des «deux magots» s’explique par la présence sur le pignon de l’hôtel, de deux singes.
Aujourd’hui, l’édifice accueille un hôtel et un restaurant. La ville de la Roche-Bernard est actuellement reconnue pour sa tradition gastronomique.