
Bordés par la Rance, les jardins de l’abbaye sont connus grâce à des plans du XVIIe siècle. Un petit bief venait alimenter deux moulins à marée et séparait en deux les actuels jardins : au nord, les vergers et à l’est les jardins potagers. Les plans attestent également de la présence d’un colombier. Dans les bâtiments conventuels, de nombreux espaces utilitaires : fours, pressoirs, celliers, confirment que les jardins n’étaient pas uniquement des lieux destinés à l’agrément et à la contemplation.