A l’époque, dans le village toutes les personnes sous la protection du seigneur du château devaient obligatoirement cuire leur pain dans le four collectif en échange d’une taxe appelée les ‘‘banalités,’ d’où le nom de four banal. Au sommet du bourg, une cave voutée servait de stockage pour les olives ou le raisin. Un trou surélevé, situé sur le côté, permettait d’y déverser commodément les produits agricoles. En redescendant vers le village de Vallon, l’exposition au vent du nord de ce versant peut expliquer l’absence de maisons anciennes. Ici, les habitants gardaient chèvres et moutons et cultivaient quelques arbres fruitiers sur les faysses.