Ses parties romanes prouvent son antiquité : les premières assises de la nef et du chevet, une fenêtre en meurtrière à l’ouest et des contreforts plats. Les titres les plus anciens datent du 11e siècle. L’église pourrait avoir été construite par les émigrés bretons venant de Grande-Bretagne, chassés par les Anglo-Saxons qui envahirent leur pays au 6e siècle.
Elle fut remaniée au 17e siècle.
Un tableau du Rosaire figurant la marquise de Sévigné en décore la nef.