
Après des chemins larges et empierrés, place à de petits sentiers de schiste non loin des anciennes ardoisières. Le sous-sol de Sainte Marie se compose essentiellement de schiste. C’est donc naturellement que des ardoisières sont exploitées au 19ème et 20ème siècle sur deux principaux sites : la Grée de St Jean et la Roche. Ces carrières, à ciel ouvert, étaient réputées pour la qualité de leurs ardoises, exportées par bateaux vers la Loire-Atlantique, puis par transport ferroviaire entre Redon et Rennes.