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Pertuis

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Crédit : EDIKOM-P. Hubner
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Source : textes élaborés avec le concours des archives communales de Pertuis (Gisèle Sala)

La fontaine–lavoir Saint Jacques (43°41'43.00"N 5°30'13.72"E)
Située rue Saint-Jacques et construite en 1509, après l’adduction d’eau de la source de Viade, la fontaine s’appelait alors fontaine de Vinory, du nom du vieux quartier où elle était située. En 1584, une statue de pierre à l’effigie de Saint-Jacques, le saint patron de l’hôpital vint la surmonter et l’édifice fut baptisé du nom de fontaine Saint-Jacques. La fontaine actuelle, qui a conservé cette appellation, comporte deux petits canons latéraux qui déversent leur eau dans un bassin trilobé, alors que sa face principale à la forme d’un buffet qui correspond à l’époque de Napoléon III. En effet, elle fut édifiée en 1851 par le maçon de la ville Louis Chaffard, qui grava la date de construction sur le fronton. C’est à cette occasion que le lavoir couvert lui fut ajouté, et qui offre la particularité d’avoir un bassin de taille semi-circulaire, pour le lavage en plus des deux autres bassins de rinçage qui le jouxtent et sont toujours surmontés, comme il se doit, d’une barre d’égouttage, en bois. L’ensemble a été restauré en 1981.

La roue à aube- promenade le long du canal
Cette agréable promenade vous permettra de découvrir un territoire riche en eau, par un itinéraire jalonnant de superbes bastides et vous offrant des points de vue sur la vallée, avec au loin les collines des Trois frères, le Concors et Sainte Victoire. Perle de cette promenade, vous découvrirez une magnifique roue à aube, dont il ne reste désormais que très peu d’exemplaire dans la région.

A proximité à Pertuis
La Fontaine de l’Obélisque
Située sur la place Mirabeau, cette fontaine monumentale date de la période des travaux d’adduction d’eau de Malafaire dans les années 1881-1885. Elle est également appelée fontaine Jean-Baptiste Pécoult, du nom de ce généreux donateur qui avait autorisé la captation et l’adduction des eaux de sa propriété de Malafaire pour alimenter correctement la ville. Elle fut érigée à l’emplacement d’une fontaine construite en 1703 par Honoré Gillet, elle-même remplacée en 1731 par une autre fontaine reconstruite à son tour entre 1788 et 1789 par Jean-Baptiste Rambot, fils du grand sculpteur aixois Jean-Claude Rambot, l’auteur de la fontaine des quatre dauphins, à Aix en Provence.
La fontaine actuelle réalisée en pierres de taille extraites des carrières de la Coste présente quatre mufles godronnés sur un piédestal qui alimentent un bassin circulaire. L’ensemble est surmonté d’un obélisque, ce qui explique son nom couramment usité.

La Fontaine des Pères Capucins
Située place Jean Jaurès, l’ancienne place du 4 septembre, cette fontaine de style empire, édifiée au XIXe siècle, succéda à une fontaine construite en 1702 par Honoré Gillet et appelée fontaine des Pères Capucins.
L’édifice actuel, constitué d’une pile de volutes est surmonté d’un vase magnifiquement orné. L'eau est déversée par deux canons sur deux minuscules vasques en fonte, avant d’atteindre le bassin chantourné réalisé en pierre de Saint-Symphorien, cette pierre tendre et dorée, renommée depuis le XIIe siècle et extraite sur la commune de Bonnieux dans le Lubéron. Le trop-plein de la fontaine servait à arroser les jardins voisins de l’hôpital de la Charité, institution caritative en direction des indigents, construite en 1701.

La Fontaine de la Diane
La fontaine de la Diane doit son appellation à la place de la Diane, autrefois appelée place de l’Aubarestière, comme à sa statue représentant la divinité. Elle fut édifiée en 1830 en remplacement de la fontaine de l'Abeuraire, le point d'eau le plus ancien de Pertuis ; couramment appelée par les Pertuisiens la fontaine moussue, elle est entièrement recouverte de verdure. Le bassin est surmonté d’une sculpture, d’une pierre blanche éclatante, que l’on doit à un artiste natif de Lourmarin, Adolphe Itasse, qui reçut la commande du maire de la ville, M. Lançon. Il fit placer sur la fontaine en 1855 cette composition d’une femme assise caressant son lévrier, représentation d’une Diane chasseresse.

La Fontaine Verte Située cours de la République, bien que dédiée à Victor Pellenc, un Pertuisien qui avait contribué financièrement à la réalisation de la perspective urbaine et à cette artère principale de la ville, cette fontaine en fonte est appelée couramment la fontaine Verte. Elle doit son nom à la couleur choisie pour revêtir son piédestal et ses deux vasques en fonte.
La Fontaine de l’Ange
Aménagée au XVIIe siècle, cette fontaine est un des monuments les plus célèbres du vieux Pertuis, et la plus ancienne fontaine de la ville. Elle remplaça une fontaine préexistante, construite en 1509, mais en ruine : c'est la raison pour laquelle, en 1620, le conseil de ville prit la décision d’en bâtir une nouvelle avec pour modèle la fontaine d’un village voisin, Cucuron. Construite dans le style du XVIe siècle, elle se présente sous la forme d'un vase à l’antique godronné avec quatre mascarons desquels l’eau s’écoule dans un bassin profond de forme octogonale.
La fontaine de l’Ange était à l’époque la seule source d’eau à l’intérieur des remparts. Mais l’eau finit par devenir insuffisante pour la population qui ne cessait d’augmenter : le conseil de ville décida alors de dériver l’eau de l’abondante Font de Viade, qui est située à la limite des terroirs de Pertuis et de la Tour d’Aigues.
La fontaine de l’Ange a été récemment rénovée, retrouvant fièrement son état d’origine.

La Fontaine Alfred Morel À l’extrémité du Cours de la République, la fontaine Alfred Morel est dédiée à cet ancien maire de la ville dont le buste surplombe la fontaine. Construite en 1862, son piédestal est entouré de quatre enfants illustrant les quatre saisons, d’où cette seconde appellation de fontaine des Quatre Saisons.
Sculptée par le marseillais Lucien Chauvet, originaire du Puy Sainte-Réparade, et dessinée par l'architecte Bedos, elle fait face à la vallée de la Durance et, considérée comme la plus belle fontaine de la ville, elle fait office d’entrée (et de sortie) magistrale dans Pertuis à l’extrémité du cours principal. A l’origine, elle était constituée de deux vasques circulaires superposées, alimentées en eau par quatre dauphins que chevauchent quatre enfants ou « putti », qui symbolisent donc les quatre saisons.

Les lavoirs
Si dans les années 1880, après le captage des eaux de Malafaire, Pertuis disposait de huit lavoirs ou fontaines-lavoirs, dont certains offraient plus de vingt places, il n’en reste plus que trois aujourd’hui, dont les deux principaux sont en vieille-ville. On ne peut évoquer les lavoirs sans faire allusion à la « bugado », cette grosse lessive de linge blanc, faite à la maison à la cendre de bois dans « lou tineu ", cette petite cuve en lattes de bois cerclées de fer, ou plus tard en tôle galvanisée. Elle ne s'effectuait qu'une ou deux fois par an, au printemps et à l'automne ! Les dames transportaient ensuite leur linge au lavoir (ou encore à la rivière) afin de le rincer à l'eau courante. Au lavoir, les lavandières avaient pour habitude de s’agenouiller dans des caisses en bois qu’elles garnissaient de paille, pour rendre moins pénible leur position de travail.

Le Lavoir Notre-Dame Le Lavoir Notre-Dame était populairement appelé en provençal " Lou lavandou di Pevou " ce qui signifie " le lavoir des Poux ". La proximité de la fontaine-abreuvoir n'est peut-être pas étrangère à cette appellation : en effet, chevaux, mulets et autres animaux de trait ou de bât entrant dans la ville venaient s'y abreuver. Le lavoir est très particulier car établi dans le mur-même de l’enceinte fortifiée de la ville, qui date du XVIe siècle, ce qui explique sa faible hauteur et sa voûte surbaissée formant un petit pont sur la rue des Tisserands. Edifié en 1882, les dames avaient pour habitude d’y laver leur linge dans le premier bassin du lavoir, le « lavador », et de le rincer dans le second bassin, parallèle au premier, le « refrescador ». Ces deux bassins sont alimentés par une rigole creusée contre le mur du fond.

L’Etang des Cerises
Ce plan d'eau situé dans le quartier des Aubettes, route de la Loubière est un lieu de promenade très agréable par son calme et la fraicheur qu'il apporte. C'est également un lieu de pêche réglementé.

Informations techniques

Lat, Lng
43.69415.50408
Coordonnées copiées
Altitude
0 m
État incertain
Point d'intérêt mis à jour le 15/07/2016
Ce point d’intérêt n'a pas été mis à jour récemment, ce qui pourrait compromettre la fiabilité de ces informations. Nous vous recommandons de vous renseigner et de prendre toutes les précautions nécessaires. Si vous en êtes l'auteur, vérifiez vos informations.

Profil altimétrique

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾