Beaucoup de creusois ont dû quitter leur terre natale pour se faire embaucher comme maçon, charpentier, couvreur pour travailler à la construction de la Digue Richelieu à La Rochelle ou de Paris par exemple. Les conditions y étaient difficiles développant un esprit politique contestataire. Les maçons incitent leurs enfants à suivre une instruction. Une émigration d’abord saisonnière, devint définitive au milieu du XIXe s. La Creuse perdit la moitié de sa population de 1850 à 1950.