La fin de l’été 1944 fut marquée par le repli des troupes Allemandes et par l’exode de la milice de Limoges en direction de l’Allier. Afin d’entraver leur circulation, les maquisards multiplièrent les sabotages et les embuscades sur tout le réseau routier. Un matin du mois d’août, les habitants de Thauron furent réveillés par le grondement d’une explosion, retentissant en écho dans toute la vallée... Le pont avait été saboté, une seule arche subsista, le rendant infranchissable.