Apparus au XIXème siècle dans un souci de salubrité publique puis d’hygiène individuelle, les lavoirs publics étaient des lieux de sociabilité villageoise réservés aux femmes qui s’y rassemblaient par sympathie et où chacune avait sa place. Les hommes n’y venaient que pour en assurer l’entretien, évitant ainsi les quolibets des lavandières qui avaient la réputation d’avoir la langue bien pendue. Les lavoirs couverts ont souvent servi jusque dans les années 50.