

Les marnes noires du vallon du Bourdous ne cessent de s'éroder au moindre orage. Maintenir les versants est un dur labeur auquel s’attelle l'homme depuis 1860 après une surexploitation des boisements et des pâturages jusqu'au XIXe siècle. Pour enrayer cette érosion, les Eaux et Forêts replantent l'ensemble du vallon et de gros chantiers de génie civil sont lancés. Le paysage sous vos yeux est le reflet de ces travaux d’envergure.