Saint-Alban s'est aussi tourné vers la mer. De février à octobre, ses marins embarquaient pour les campagnes de pêche en Islande et Terre Neuve. L'hiver, ils revenaient travailler la terre. La grève fournissait le maërl et le goémon nécessaires à l'amendement des sols cultivés.
Contrairement aux idées reçues, cette vie de bagne ne meublait pas les soirées de longs discours anecdotiques.
Le cabotage au port de Dahouët a permis l'exportation de pommes, de pommes de terre, de bois d’œuvre du Bois de Coron. Les navires revenaient avec des chargements de sel, stockés au lieu-dit le grenier.