Deux vues sur le pont de Sèvres dans les années 1870
Le monde de Sisley est vivant, au rythme du déroulement des jours et non à celui des attitudes et des gestes humains. Le plus souvent les rues de village sont désertes, ce qui ne signifie pas qu'elles sont abandonnées ou inhabitées. Sisley fait sentir la palpitation profonde de la vie et non l'agitation superficielle des habitants.(Raymond Cogniat – Sisley – Flammarion 1978)