Camping des Faures: découvertes autour de Valjouffrey

Une randonnée sportive qui démarre dans une ambiance chaude en versant sud pour basculer ensuite dans une atmosphère alpine et sauvage.Départ du parking, à la sortie du hameau de la Chalp, ou à côté de la fontaine. Suivre dans un premier temps l'indication « Cascades des Roberts » par la rue du Barquier, qui monte droit en haut du hameau.Sur la droite, aux Côtes Vincent, prendre la montée du Soreïou qui grimpe droit dans les dernières maisons du hameau. Passé ces dernières maisons situées à main droite, suivre le sentier (balisage jaune jusqu'à l'entrée du parc). Au  premier carrefour, vous pouvez faire un petit détour jusqu'à la cascade des Roberts puis revenir sur le cheminement principal. Le sentier un peu raide monte dans des landes sèches du versant sud et offre des points de vue réguliers sur la vallée. Il traverse ensuite un bois de pins puis bascule sur l'autre versant dans une forêt d'épicéas. A la sortie de la forêt, le sentier passe sous la barre rocheuse qui bloque l'entrée du vallon et la contourne par le flanc gauche. Passé la barre, le sentier s'arrête dans le bas du vallon.La descente se fait par le même chemin qu'à l'aller.

Flirtez avec les hauts sommets et traversez les multiples facettes de la vie de montagne grâce à ce tour aux ambiances agro-pastorales, forestières et minérales.La totalité du Tour du Pic de Valsenestre se déroule sur une seule et même commune : le Valjouffrey. La première étape de cette itinérance permet de relier, en moins de deux heures, par le sentier du facteur, le hameau de La Chapelle-en-Valjouffrey à celui de Valsenestre en longeant la rive gauche du torrent du Béranger. Après une nuit à Valsenestre, vous rejoindrez le Désert-en-Valjouffrey. Agriculture et tourisme permettent le maintien d’une vie à l’année dans ce hameau reculé qui accueille une vingtaine d’habitants permanents. Le parcours emprunte le GR 54 qui passe par le col de Côte Belle (2290 m). À la montée vous côtoierez les spectaculaires lamelles de roches calcaires des orgues de Valsenestre. Au col, vous bénéficierez d’une vue somptueuse sur Le Rocher de la Muzelle et les sommets environnants.Le troisième jour vous conduira du Désert-en-Valjouffrey au refuge de Font Turbat. Un chemin en pente douce qui serpente à travers les prairies vous emmènera en 1h30 jusqu’à la cascade de la Pisse. À partir de là, le chemin devient sentier. Vous découvrez rapidement, devant vous, une vallée glaciaire caractéristique et l’imposante face nord de l’Olan qui vous accompagnera sur la lente montée au refuge.La quatrième journée vous ramène au Désert par l’itinéraire sauvage du petit vallon. Au départ du refuge, vous vous élevez vers le col des Lauvets qui vous ouvre la vue sur l’itinéraire de retour au Désert et le vallon de Font Turbat. Vous porterez un dernier regard sur l’Olan avant d’engager la descente.Le dernier jour de votre périple vous mènera, dans une ambiance plus champêtre et bucolique, à la Chapelle-en-Valjouffrey, après avoir côtoyé le hameau des Faures et traversé celui de la Chalp. C’est le retour à la vie de fond de vallée.  

Les orgues de Valsenestre, curiosité géologique, sont le point fort de cette randonnée qui offre également un panorama remarquable depuis le col sur le cirque de Valsenestre et de l'autre côté sur la vallée de Font Turbat.Depuis le village de Valsenestre, remonter la piste longeant le torrent du Béranger, passer la limite du cœur du Parc national et rejoindre le pont des Touches.Poursuivre jusqu'à une bifurcation et emprunter la branche de droite. Le sentier pénètre dans un petit bois de résineux puis il longe le ruisseau dans le bas de la gorge pour finir par s’en écarter sur la gauche en gagnant de l’altitude. A ce niveau, observer les travaux de correction torrentielle (barrages en bois) réalisés par la RTM. Poursuivre l'ascension dans la forêt sur un sentier en lacets. Au cours de celle-ci, vous rencontrerez une plante assez rare, le pleurosperme d’Autriche. Plus haut traverser la mégaphorbiaie qui regroupe une multitude de plantes dont l’aconit en panicule et l'achillée à larges feuilles. Un peu plus haut, découvrir l'ancolie des Alpes, puis l’étage de la pelouse alpine rase remplace progressivement celui de la forêt.Monter jusqu'aux orgues de Valsenestre.Par de larges lacets, vous parvenez ensuite au col pour découvrir un très beau panorama. Le retour se fait par le même chemin. La descente est aussi possible côté Désert en Valjouffrey.

Entre falaises d'altitude et vires herbeuses, le vallon de Valsenestre est un lieu fort prisé par les populations de rochassiers.Depuis le village de Valsenestre, après le gîte d'étape, emprunter le sentier partant sur la gauche.Il monte plein nord en effectuant quelques lacets dans une végétation assez basse. De là, on peut observer la vallée du Béranger avant de déboucher sur un grand plateau (Le Clos), où on traverse le torrent sur une petite passerelle.A partir de ce lieu, en été, on peut observer des moutons en pâture dans cet alpage. Suivre le fond de ce vallon pour accéder à celui de Valsenestre en empruntant de grands lacets qui contournent une grande barre rocheuse. Là se trouve la cabane du berger d'où l'on peut observer des chamois et des bouquetins attirés par les pierres à sel déposées pour les moutons. Derrière la cabane, on observe une cascade qui alimente le ruisseau. Les sommets qui entourent ce vallon culminent au point le plus haut à 3126 m avec le Pic du Clapier du Peyron. A sa gauche, la brèche de Valsenestre 2 598 m, la brèche du Lauvitel 2 855 m et enfin le Pas de l'Aiguille 2 354 m. A sa droite, le col et la tête de Ramu, d'une hauteur de 2 760 m.Le retour se fait par le même itinéraire.

Un des plus prestigieux passages du GR54 dans l’ambiance minérale caractéristique des hautes vallées alpines.Depuis le parking de Valsenestre emprunter à pied la piste forestière qui s’élève doucement vers l’est. Deux ponts successifs permettent de traverser le torrent dans la forêt composée essentiellement de conifères (sapin, épicéa, mélèze) enserrant quelques rares et petits prés encore fauchés.Plus haut, à l'altitude 1492 m, prendre à gauche pour atteindre  la lisière de la forêt qui laisse apparaître une vaste zone d'éboulis partiellement végétalisée.Arrivé à la cabane des Cantines, le sentier s’élève franchement sur un versant raide pâturé par des brebis à la belle saison. Sur le versant opposé, on peut remarquer un ancien sentier qui s'élève en lacets serrés pour atteindre la « forge », une cabane taillée dans le marbre dont on distingue l'entrée. A mi-chemin, on peut apercevoir la jolie cabane pastorale de Ramu sur la gauche. La partie finale vers 2350 m devient très raide, il faut s'élever dans des schistes grâce à de nombreux lacets. De loin, on imagine une muraille infranchissable, mais en fait le sentier, très bien entretenu, permet d’atteindre confortablement le col à 2613 m d'altitude.Emprunter le même itinéraire en sens inverse pour le retour.

La couleur vert pastel du lac Labarre contraste avec les roches sombres alentour. Les toupets blancs immaculés des linaigrettes complètent cet ensemble peignant, ici, un tableau unique. Traverser le hameau de Valsenestre et tourner à gauche après la Chapelle.Prendre le sentier qui part vers l'ouest, emprunter la passerelle au-dessus du Rif et cheminer en balcon au-dessus de la vallée du Béranger, en direction du vallon de Combe Guyon.Après une montée escarpée, rejoindre le ruisseau de la Fayolle et le franchir par une passerelle pour continuer en rive droite. Après quelques lacets dans une belle pelouse et une longue traversée ascendante, atteindre les abords de la cabane pastorale de Combe Guyon (point d'eau).Remonter le fond du Vallon jusqu'à la cote 2082m, traverser le ruisseau et par un large lacet passer au-dessus des barres rocheuses ceinturant celui-ci.Le sentier conduit rapidement au lac Labarre. Revenir à Valsenestre par le même itinéraire. 

Une balade aux couleurs du mélézin qui vous amènera jusqu'au petit vallon suspendu de Combe Oursière.Du parking, prendre la piste qui remonte la vallée du Béranger jusqu’à la limite du Parc des Ecrins.Au panneau d'entrée du Parc national se situe une aire de stockage de grumes d'où part un sentier parallèle à la piste. Le suivre sur une centaine de mètres, puis bifurquer à droite pour traverser le bois du Bot.Le sentier passe sous une barre rocheuse, décrit quelques lacets et remonte la gorge du ruisseau de la Draire. Le paysage s’éclaircit ensuite, la forêt laisse petit à petit la place à des arbres plus isolés et à une végétation plus basse.Au carrefour avec le vallon des Echarennes, prendre à droite le sentier qui vous amènera dans le haut du vallon de Combe Oursière.Après la cabane en demi-tonneau, possibilité de poursuivre pour traverser le vallon par un petit sentier en courbe de niveau. Celui-ci amène jusqu'au point de vue sur Pré Chrétien. La descente se fait par le même chemin qu'à l'aller.

Itinéraire dans la haute vallée de la Bonne à travers la végétation rase de l'étage subalpin : genévriers, bruyères, rhododendrons...Du parking situé à l'entrée du Désert-en-Valjouffrey, traverser le village en prenant la direction de l'est.Couper le GR 54, en franchissant le ruisseau  de la Laisse : il mène à gauche au col de Côte Belle et à droite au col de la Vaurze. Emprunter le chemin en rive droite de la Bonne qui donne accès au cœur du Parc national des Ecrins. L'entrée de cette espace protégé est matérialisée par trois panneaux d’information.Après être passé sur une passerelle à proximité de la Cascade de la Pisse, continuer sur le sentier, qui s’élève en suivant toujours le fond du vallon parmi une végétation assez rase.Lors de l'arrivée à la cabane du Châtellerat, revenir par ce même itinéraire.

La montée à Basse-Pisse permet d'aboutir à un sublime point de vue sur le vallon de Font Turbat.Du parking, remonter la route. Au croisement dans le village, prendre à droite.A l'intersection, couper le GR54 qui descend à droite (col de la Vaurze) et celle qui monte à gauche (col de Côte Belle, Valsenestre) et remonter celle en face par un pont.A la bifurcation, continuer sur la route en terre en face. Entrer dans le parc des Ecrins et suivre le chemin le long du torrent de la Bonne. Franchir la barrière pastorale.Passer au pied de la cascade de la Pisse, en traversant le torrent du même nom grâce à une passerelle. De la cascade de la Pisse, continuez environ 8 minutes jusqu'à un poteau signalant la direction de la Basse Pisse à gauche. L'itinéraire se déroule tout d'abord dans un ancien pierrier recolonisé puis passe par un petit bois composé de pins à crochets, de sorbiers, de bouleaux et de nombreux noisetiers. On arrive enfin sur une ruine et une ancienne prairie de fauche d'où on domine le vallon de Font Turbat.Le retour se fait par le même chemin.

Cette randonnée remonte une magnifique vallée façonnée par les glaciers et se termine au refuge au pied de la face nord-ouest de l'Olan.Du parking situé à l'entrée du Désert-en-Valjouffrey, traverser le village en prenant la direction de l'Est.Couper le GR 54, en franchissant le ruisseau  de la Laisse : il donne accès à gauche au col de Côte Belle et à droite au col de la Vaurze . Emprunter le chemin large longeant la prairie et en rive droite de la Bonne qui donne accès aux portes du Parc national des Ecrins (panneaux d’information).Au delà de la Cascade de la Pisse, continuer sur le sentier, qui s’élève en suivant toujours le fond du vallon parmi une végétation assez rase typique des rocailles. Au détour du chemin, le sommet de l’Olan apparaît.Passer à proximité de la cabane du Châtellerat.Continuer jusqu’au refuge de Font Turbat. Revenir par le même itinéraire.

Distillerie "La Salettina" depuis 1961 dans la maison natale de Maximin Giraud (l'un des enfants ayant vu la vierge en 1846). Liqueur de Génépi des Alpes IGP macérée pendant au moins 3 ans et distillée. Matériel utilisé depuis plus de 100 ans. Distillerie "La Salettina" depuis 1961 dans la maison natale de Maximin Giraud le berger ayant eu la révélation de Notre-Dame de la Salette. La liqueur La Salettina recette de 1865 de Maximin Giraud. Liqueur de Génépi des Alpes IGP (Indication Géographique Protégée) macérée pendant au moins 3 ans et Liqueur de Génépi des Alpes IGP distillée, liqueurs de plante Vulnéraire, Hysope, Framboise, mûres sauvages, myrtilles sauvages. 2023 Médaillé d'Or et d'Argent au championnat du monde des spiritueux de Londres 2023 dans la catégorie liqueur. OR : Génépi des Alpes Macération IGP Argent : Génépi des Alpes Distillation Cuvée Napoléon 1815. Vous découvrirez, lors de votre venue, un atelier et l’activité de tous les jours d’un liquoriste. Dans cette cave où le matériel centenaire est toujours utilisé, la fabrication des liqueurs et apéritifs vous sera expliquée, depuis le ramassage des plantes jusqu’à la mise en bouteille. Vous trouverez aussi dans notre boutique des produits de territoire soigneusement sélectionnés. Visites et dégustations gratuites .

Prestataire d'activités sportives et nautiques au Lac du Sautet. Les activités sont proposées en location et/ou encadrement par moniteur : Voile (catamaran, dériveur...) Planche à voile Stand Up Paddle Canoë/Kayak Bateau Electrique (sans permis) Pédalo Wing Foil Vélo Electrique (VAE VTT) Via ferrata (Attention, pour un départ en autonomie il faut faire minimum 40kg et 1m40pour la location du matériel. Si - de 40kg et - de 1m40 il faut être accompagné par nos guides accompagnateurs qui pourront sécuriser au mieux les plus jeunes). Vous trouverez aussi un snack pour grignoter et boire un verre : paninis, salades, pizza, glaces, boissons.... (selon la période et les moments de la journée).

La montée au refuge à partir de Villard Loubière est devenue une classique de la randonnée pédestre. Petits dortoirs équipés de couettes, salle à manger conviviale, douches chaudes et grandes terrasses aménagées. Point de départ idéal pour le Pic de Turbat, un 3000 m facile d'accès. Etape inévitable du Tour de l'Oisans (GR 54R). Lac Lautier 1h15. Possibilité de petite restauration et buvette. Accessible en 2h30, dénivelé 900 mètres.

Dans un cadre majestueux, au coeur du Parc National des Ecrins... pêchez en lac de montagne Attention : ce site est situé au cœur d’un Parc national français et est soumis à une réglementation spécifique. C'est un espace exceptionnel qui à ce titre est soumis à une réglementation spécifique. Nous vous invitons à adopter les bons réflexes lors de votre venue afin de protéger ces richesses. Pour pêcher dans le Lac Lauvitel, il vous faut le permis de pêche de l'Isère et une carte de pêche spéciale pour le lac. L'ouverture de la pêche est sujette à la fonte des glaces du lac, entre le 15 avril et le 15 mai. Fermeture aux mêmes dates que la pêche 1ere catégorie en Isère. Cartes en vente : Hôtel Oberland (Bourg d'Oisans), Bar La Marmotte à La Danchère (Venosc), Bureau de Tabac l'Igloo (Les 2 Alpes)

Installée dans une ancienne maison qui abritait un estaminet et la forge du hameau des Payas, le musée évoque la vie d’autrefois et les épisodes importants de l’histoire contemporaine locale. De nombreux objets, des reconstitutions et surtout une visite accompagnée et commentée méritent que l’on s’y attarde. La Maison du Patrimoine présente une collection d’objets anciens réunis par les habitants de ce pays rural et montagnard. 2 salles consacrées au monde rural du 19ème et début 20ème siècle (costumes, jeux, objets, petites machines agricoles). Une salle pour l'école rurale ancienne et la catastrophe aérienne de l'Obiou en 1950. Une salle vidéo avec projection d'un film réalisé par les anciens du pays. Pour les groupes, peut s'ajouter la visite guidée et commentée du barrage du Sautet et de la source vauclusienne des Gillardes et des "ruines" de Pellafol (site géologique). Exposition sur la construction du barrage hydro-électrique du Sautet. Ancienne forge restaurée.

Nous vous invitons à la détente dans notre petit gîte rustique-chic avec sa terrasse privée. Ce studio-gîte vous propose un lit double Queen Size ainsi qu'un canapé-lit de 120 pour 1 adulte ou enfant, une cuisine équipée et une salle de douche, wc séparés, terrasse, salon de jardin avec vue piscine et lac. Entrée privative. Le Mas du Lac, construit en 1763 est une ancienne ferme ayant gardé le caractère et l'âme des bâtisses alpines. C'est avec passion que cette propriété à été rénovée pour accueillir les amateurs d'authenticité de nature et de grands espaces.

Situé à 1 797 m d'altitude, à 2 de marche depuis le hameau de Champhorent sur un sentier facile à faire en famille remontant le torrent de la Muande. Vous accédez en un lieu d'échanges privilégiés, de partage d'émotions entre alpinistes, randonneurs et gens de la montagne. Au refuge vous trouverez tout le nécessaire pour cette aventure particulière, les gardiens sont là pour conseiller, vous renseigner et orienter dans le choix de vos itinéraires. Au pied de glaciers et de lacs accessibles ( la Muande, les Rouies, les Sellettes, les Bêches, les Fétoules...), faune, flore, troupeaux vous donnent rendez-vous et chacun d'entre vous, du plus petit au plus grand, du contemplatif à l'aventurier, du grimpeur au promeneur, y trouvera satisfaction. Vous pourrez y déguster des produits biologiques et locaux, le tout dans une cuisine créative et colorée. Une programmation évènementielle se tisse chaque été pour faire profiter à tous de concerts, spectacles, veillées. N'hésitez pas à suivre l'actualité en ligne ! Respecter la législation du Parc National des Ecrins. Le refuge fermera ses portes à partir du 15 juillet 2025 pour deux ans. Le temps nécessaire pour une réhabilitation complète qui nous permettra d'encore mieux vous accueillir.

Perché sur une prairie alpine, à la frontière de la haute montagne, le refuge de l'Olan vous offre un belvédère unique sur La Chapelle en Valgaudemar, le cirque prestigieux de l'Olan, la Cime du Vallon... Etape pour alpinistes et randonneurs : haute route reliant le refuge des Souffles. Salle commune et cuisine à l'étage, point d'eau et fontaine. Restauration sur réservation. Accessible depuis La Chapelle en Valgaudemar en 4h, dénivelé 1245 mètres.

Situé au cœur des Alpes à 1200m d’altitude, ce refuge de montagne vous accueille de juin à septembre et vous invite à découvrir la Vallée de la Roizonne. Installé au creux du vallon de Rif Bruyant, chacun y trouvera de quoi satisfaire son envie d’évasion. Installé au creux du vallon de Rif Bruyant, entouré de merveilles et de découvertes, de panoramas colorés et variés, chacun y trouvera de quoi satisfaire son envie d’évasion le temps d’une étape de randonnée ou d’une sortie en famille.

La télécabine de Venosc relie le village de Venosc à la station des 2 Alpes en seulement 8 minutes ! Cet ascenseur valléen, offre aux piétons, VTTistes, résidents et travailleurs un accès direct à la station sur des horaires étendus.

Progressivement remise en état de marche par l'association "Mémoire Battante", cette ancienne scierie des années 1900 témoigne encore parfaitement de ce type d'activité sur un site où elle est attestée depuis le XVIIe siècle. Ce bâtiment étroit, tout en longueur, est accroché dans la pente de la rive, entre la rivière et le canal d'amenée. Il s'élargit par un décrochement côté berge (escalier intérieur) sur la moitié aval. De niveau avec la route se trouve en extérieur le canal d'amenée avec son diverticule vers la centrale voisine. En parallèle à l'intérieur, accessible par quelques marches, sont disposés successivement un chariot sur rails traversant tout le bâtiment, un plan garni de cylindres et la scie circulaire qu'il dessert, la scie battante et son chariot également sur rails métalliques. Contre la paroi côté Bonne se trouvent un établi sous une fenêtre et une petite réserve formant guérite en encorbellement. Au niveau inférieur, une partie du volume est occupée par le rocher de la berge ce qui le rend bien plus étroit. A l'aval, contre la route, se trouve la chambre de la roue, en bois, qui est ouverte au niveau supérieur. Son axe met en mouvement engrenages et renvois de fer et de bois, placés contre la rivière, afin de mouvoir indépendamment la battante et la circulaire. Un moteur électrique y est aussi placé. L'édifice a obtenu le label "Patrimoine en Isère", récompensant la qualité patrimoniale d'un édifice d'intérêt départemental.

Lieu du second grand pèlerinage en France après Lourdes, cette basilique reste un monument marquant de l'architecture religieuse en Isère. Au-delà des rassemblements du 15 Août et du 19 Septembre, le site, perché à plus de 1800 mètres, mérite le détour. La Basilique de Notre-Dame de la Salette est une grande église de plan basilical, composée de cinq nefs terminées par une abside ou des absidioles. Ouvrant par une façade néo-romane encadrée par deux grandes tours-porche abritant des cloches au sommet, l'église est constituée de volumes intérieurs très élancés. Ses voûtes d'arête retombent sur de très hautes et fines colonnes, reposant sur de hauts piédestaux. Les fenêtres hautes étant aveugles, l'éclairage ne provient que des fenêtres des premiers bas-côtés. Le chevet de l'église se compose de deux absidioles de part et d'autre d'un chœur avec travée droite et abside en cul-de-four, orné de peintures murales. Sur le cul-de-four, un Christ en gloire est précédé (travée droite) d'une représentation des symboles du tétramorphe, œuvre de l'artiste Arcabas. Du même artiste, on peut contempler dans les bas-côtés extérieurs, un "Christ aux noces de Cana" et une "Déploration de Marie à la Croix". On peut aussi y admirer des vitraux de grande qualité comme le Cycle du Rosaire (abside du chœur), conçu dès 1857 par l'architecte et décorateur parisien Adrien-Louis Lusson (1788 - 1864), le cycle de la Passion du Christ par l'atelier Thibaud de Clermont - Ferrand, conçu en 1864 (nef) et de nombreuses verrières des ateliers grenoblois Bernard et Bessac (1895 - 1897). Plus tardivement, les parties orientales de l'édifice ont été accolées par des bâtiments administratifs et d'accueil (dont un musée privé) avec lesquels des communications ont été percées. En extension du bâtiment administratif principal, reliée au grand couloir desservant accueil, réfectoire et salons d’attente, la chapelle de la Rencontre (1995) mérite un détour. Elle est l'œuvre de l'architecte René Maison, ayant aussi construit la nouvelle église de la Salle-en-Beaumont. Fondée sur des piliers de béton, elle présente une forme polygonale, ouverte sur l'extérieur par deux larges pans vitrés, focalisée sur une estrade en arc de cercle. Les vitraux sont réalisés par Arcabas. A l'avant de la Basilique, dans le cimetière des Pères se trouve la première chapelle (reconstruite, puis déplacée). Ce petit édicule carré de trois mètres de côté, est bâti en pierre de taille calcaire de deux couleurs différentes (marbré et gris-bleu :calcaire de Laffrey ?). Il est ouvert sur trois côtés par des baies à l'encadrement très architecturé. La chapelle abrite un statue grandeur nature de la Vierge qui occupe entièrement le petit espace intérieur.

Les spécialistes agricoles considèrent qu'une prairie est naturelle dans la mesure ou elle n'a subi aucun apport de fumure ni de labour durant les dix dernières années écoulées. C'est bien le cas de celles cernées de haies, que vous longerez dés le départ de la randonnée. Ces prairies sont d'une grande richesse floristique quant au nombre d'espèces de plantes et par conséquent elles accueillent une myriade d'insectes pollinisateurs, dont les abeilles domestiques évidemment.

Une personne passionnée de botanique maintenant âgée, a créé il y a plus de cinquante ans un petit jardin alpin au centre du village. Bien que moins entretenu aujourd'hui, il présente encore un panel de couleur ravissant et un ensemble de plantes spectaculaire de la flore alpine.

Valsenestre est un hameau fleuri superbement restauré composé désormais  de résidences secondaires. La route n'est pas déneigée en hiver. Le village peuplé d'une centaine d'habitants, possédait son école (aujourd'hui transformée en gîte d'étape), ouverte jusqu'en 1936. Il fut entièrement enseveli par une avalanche au XIXe siècle. L'activité principale demeurait l'élevage mais l'ouverture d'une carrière de marbre à partir de 1840 apportait un complément de ressources à des ouvriers installés dans le village. La dernière habitante permanente quitta Valsenestre en 1959.

Au XIXe siècle le hameau de Valsenestre était peuplé d'une centaine d'habitants.  L'activité principale était l'élevage. En 1851, l'ouverture d'une carrière de marbre dans le fond du vallon en montant au col de la Muzelle est une aubaine pour le village qui accueille les carriers et bénéficie de l'amélioration de la route. La production de marbre cesse en 1905. Jusqu'en 1926 les rires et les cris des enfants résonnent encore dans le village :  l'école compte alors une trentaine d'élèves ! Elle ferme  quelques années plus tard et la dernière habitante permanente quitte le village en 1948.

C'est un arbuste de l'étage subalpin. Il mesure moins d'un mètre de haut et pousse en petites concentrations sur les ubacs. A plus basse altitude, il peut atteindre une taille plus importante. De loin vous pourrez le reconnaître à sa couleur argentée et brillante très caractéristique et son port en massifs circulaires. Les feuilles adultes sont très soyeuses sur les deux faces.

Un troupeau de moutons d'éleveurs locaux pâture au sommet du col et vers le pic de Valsenestre. L’été, ces animaux laineux peuvent se rafraîchir à l’ombre des saules soyeux que vous pouvez observer juste avant l’arrivée au col (alt. 2220 m). 

Du col, monter sur un petit sommet au dessus pour profiter au mieux du paysage qu'offre le cirque de Valsenestre : à gauche le Signal du Lauvitel (2901m) et le Clapier du Perron (3169m), le col de la Muzelle (2613m) où se poursuit le GR54. A ce niveau on aperçoit très bien une faille géologique séparant le bloc des grandes rousses constitué de granite du bloc de la muzelle en gneiss. A droite, les principaux sommets sont la roche de la Muzelle (3465 m), et la pointe Swan (3294m). Le col  de Côte-Belle quant à lui sépare le Pic de Valsenestre (2752m) à gauche de l’aiguille des Marmes (3046 m) à droite.

Le dernier tronçon  de sentier permettant d'accéder au col a nécessité de nombreuses journées d’entretien depuis sa création. En effet le caractère instable du sol associé à la raideur de la pente ont obligé les gardes à créer des banquettes en bois pour contenir le poids de la terre. À l'automne 2012, il est décidé de créer une nouvelle portion du sentier en empruntant une partie d'un biais de brebis plus à l'Est en direction du col des Marmes. Le travail a été effectué en équipe à raison de 50 m par jour pendant une durée de 26 jours avec des pioches et du courage. Au total, c'est une portion de 1300 m qui a vu le jour, ce qui rend le sentier moins raide et beaucoup plus stable.

Depuis 1965, la famille Gueydan vous accueille dans ce restaurant où la tradition culinaire est le maître-mot. Cuisine de marché, chaque jour renouvelée. Du 100% maison avec des produits du cru, souvent biologiques et avec beaucoup d'amour. Les spécialités locales sont proposées dans nos différents menus, et les truites du vivier de la maison sont toujours disponibles. La conclusion de toutes ces belles propositions de Colette est certainement une belle carte des vins avec quelques 80 références. Sur réservation.

Un bar à l'esprit bistro de pays, avec beaucoup de convivialité. Petite restauration sur réservation, et glaces l’été.

Découvrez une cuisine simple transmise de mère en fille et appréciez les plats mijotés auxquels seul le temps permet de révéler toute leur saveur. De spécialités en tradition, dégustez oreilles d'ânes, tourtons, ravioles, tourte et pot au feu de chèvre.

Une halte en toute simplicité, accueil sympathique et chaleureux au milieu des montagnes sur la Route Napoléon. Une restauration familiale, et des pizzas cuisinées au feu de bois. Menu du jour le midi et carte.

Élaboration des plats dans le respect de l'authenticité et la tradition de la région : oreilles d'ânes, ravioles, flouzons, tourtons, daube de bœuf, terrine maison, gratin dauphinois, mijoté d'agneau et les desserts fait maison. Nos agneaux sont élevés directement sur place dans une démarche de conversion à l’agriculture biologique. Vente directe de viande d’agneau fermier, terrine d’agneau, terrine d’agneau au génépi et mijoté d’agneau.

Château du 13e siècle situé dans un parc aux tilleuls bicentenaires où ont logé, en 1629, Louis XIII et Richelieu. Cuisine gastronomique et du terroir. Idéal pour les réceptions, séminaires, mariages et repas de famille.

Le restaurant vous invite à découvrir sa cuisine régionale faite à partir de nombreux produits locaux (ravioles, tourtons, gigot d'agneau...), ses menus terroir et gastronomique et les spécialités du Chef (escargots, terrines de canard, St Jacques...)

Depuis 1976, notre restaurant sert une cuisine de terroir dans un cadre familial. Toutes les spécialités du pays sont faites maison : tourtons, ravioles frites ou au plat, oreilles d'âne, flousou, jailles, charcuterie (terrine, fromage de tête...)

Le Chalet-Refuge dispose d'une vue à 360° du Mont-Blanc au Charvin en passant par les aiguilles de Bionnassay et du Midi, le Goûter, les Drus, les Warens, la Pointe Percée et toute la chaîne des Aravis...

Les Glaciers vous proposent du snacking (poulet croustillant, tourtons et ravioles, croquettes de camembert).

Camping de montagne dans un cadre exceptionnel et naturel, propice aux randonnées et découvertes en plein Parc National des Écrins. Ce camping saura vous accueillir pour une halte reposante et rafraîchissante au pied des montagnes. Ambiance familiale et sympathique. Venez découvrir les différentes activités autour du camping : vélo, randonnée, baignade, yoga, stages d'herboristerie... Vous pourrez aussi apprécier un service de restauration sur place : pizzas, empanadas chiliennes, plats du jour, produits locaux. Les feux de camps sont autorisés hors période de sécheresse. Une programmation de petits concerts, projection de films documentaires, soirées thématiques...a été concoctée spécialement pour vous ! Consultez régulièrement notre page Facebook ainsi que notre page internet pour être au courant de nos événements. La rivière la Bonne passe dans le camping, vous pourrez vous y rafraîchir. Le plan d'eau familial de Valbonnais se situe à 15 minutes en voiture. Marché au petit village d'Entraigues le vendredi matin. Boulangerie biologique au hameau de Gragnolet. Fromages de chèvres et produits d'herboristerie de montagne au hameau du Désert en Valjouffrey. Pas de réservations nécessaires pour les emplacements camping. Possibilité de location de deux caravanes, d' une yourte, d'une tente équipée et d'une roulotte sur réservation.

Le refuge des Souffles est géré par le CAF. Un gardien vous accueille de juin à septembre. C’est l’occasion de vous restaurer en échangeant avec un professionnel de la montagne ou, si vous le souhaitez, passer une nuit en altitude, une bonne façon de scinder l'itinéraire en deux jours.

La montée au refuge à partir de Villard Loubière est devenue une classique de la randonnée pédestre. Petits dortoirs équipés de couettes, salle à manger conviviale, douches chaudes et grandes terrasses aménagées. Point de départ idéal pour le Pic de Turbat, un 3000 m facile d'accès. Etape inévitable du Tour de l'Oisans (GR 54R). Lac Lautier 1h15. Possibilité de petite restauration et buvette. Accessible en 2h30, dénivelé 900 mètres.

Yéléna Dovergne vous accueille au Château de Valbonnais, cadre enchanteur à découvrir ! Elevage de pur-sang arabes et lusitaniens, pension pré à l'année mais aussi accueil des cavaliers en formule bivouac ou chambre chez l'habitant. Le Haras du Don est installé au château de Valbonnais. L'activité première est l'élevage de pur-sang arabes et lusitaniens, vous serez donc accueillis par de jolies frimousses, nez busqué ou queue en panache ! Sur place vous pourrez voir les juments suitées, les troupeaux de jeunes chevaux, les étalons. Vente de saillies pour les juments extérieures à l'élevage. La pension au pré à l'année. Superficies totale des prés : 24 Ha Paddocks individuels ou parc collectifs (groupes formés en fonction de la demande) Type d'alimentation fournie dans le tarif : - durant l'été : herbe à volonté en prairies nouvelles adaptées et possibilité de foin en nourrisseur en complément selon les besoins. - durant l'hiver : foin en nourrisseur à volonté et orge aplatie selon les besoins du cheval + minéraux. Le foin ainsi que l'orge sont produits sur l'exploitation. Accueil des cavaliers randonneurs : nuitée des chevaux sur place et organisation de l'hébergement des cavaliers en formule bivouac ou en formule "chambre chez l'habitant". Vivez la vie de château pour une nuit et partagez les passions de Yéléna, ses chevaux et ses vieilles pierres ! Sur place miel et noix et autres gourmandises concoctées par la maitresse de maison. Parking vans gratuit. Yéléna accueille des cavaliers qui participent aux Cavalcades Pèlerines chaque année et des randonneurs du circuit Matheysine ou Vallées du Valbonnais.

Ce camping situé aux portes du Parc National des Ecrins est un havre de paix dans une nature à l'état pur, au bord d'un lac chaud de baignade , de paddle et kayak mais aussi de pêche avec sa plage privée. La superficie du terrain permet à tous les campeurs de profiter d’emplacements aux délimitations naturelles, jusqu’à 150 m2 de superficie. Près d’un village typique entre l'Oisans et le Vercors, les campeurs auront le choix entre un espace ensoleillé au bord du lac, ou à l’ombre des arbres. De petits ruisseaux traversent le camping, dans lesquels les enfants aiment faire naviguer leurs créations. Mini-golf, châteaux gonflables, snack et restaurant viennent compléter l’offre du Valbonheur. Pour le bronzage, la baignade et le paddle, direction la plage au bord de la piscine naturelle qu’est le plan d’eau de Valbonnais.

Refuge (2130 m.) gardé tous les jours de mi-juin au 1er week-end d’octobre et les week-ends à partir de fin mai. 58 places disponibles en période gardée, 9 places en période non gardée. Traversez le hameau de l'Alleau (934 m) , arrivez jusqu'à la passerelle au bout de laquelle se trouve le panneau explicatif sur la Muzelle. La montée est alors soutenue (comptez 3/4 d'heures de marche pour arriver au hameau en ruines du Pleynet). Le sentier quitte alors la forêt et longe le torrent de "la pisse" et ses cascade venant du glacier de la Muzelle. Traversez la passerelle du Clos du Sela (1910 m), l'ascension devient plus ardue dans l'ardoisière et les prairies. Arrivé aux tourbières, le glacier et le sommet de la Muzelle se reflètent dans le lac du même nom. Une vue tout simplement magique ! Réservations : joindre le numéro de téléphone indiqué, à partir du mois d'avril.

Le fond du vallon vient buter contre les parois de la roche de la Muzelle, du pic du Clapier du Peyron et de la tête de la Muraillette. L'histoire moderne de ce lieu est marquée par l'alpinisme. C’est le 2 Juillet 1875 que Coolidge guidé par Almer père et fils ouvrit la voie normale à la Roche de la Muzelle par la face est-nord-est et l’arête nord-est. A cette époque, même si une cabane pastorale servait d’abri aux alpinistes, le bivouac était encore de mise dans le vallon de la Muzelle. En 1967, c'est dans ce cirque rocailleux que la commune a édifié le refuge au bord du lac de la Muzelle.   

Refuge (2130 m.) gardé tous les jours de mi-juin au 1er week-end d’octobre et les week-ends à partir de fin mai. 68 places disponibles en période gardée, 9 places en période non gardée. Refuge au coeur du Parc : respectez sa réglementation et laissez votre chien à la maison ! Bons plans A disposition en période non gardée : vaisselle, couvertures, matelas, mais pas de poêle à bois. Accès Le refuge est situé au bord du lac de la Muzelle