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Nichée au cœur du département de l'Aude, Bram est une charmante ville du Languedoc-Roussillon qui regorge de trésors à explorer. Visiteurs et locaux peuvent profiter d'une multitude d'activités culturelles et naturelles à travers les ruelles pittoresques de Bram et ses environs.

Commencez votre exploration à la découverte de son centre historique, célèbre pour son plan circulaire unique, symbole...
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Le sentier panoramique de la Malepère - VTT
5.4 km

Le sentier panoramique de la Malepère - VTT

Sur les collines de la Malepère entre les villages de Montréal et Arzens à la découverte des caveaux viticoles.Magnifiques panoramas, passage dans la fôret de la Malepère (bois du chapitre et son sentier botanique) sur le territoire du busard. Retour d'Arzens à Montréal par le GR78, chemin de St Jacques de Compostelle. Balisage jauneDépart au centre du village, partir derrnière le Point d’Information Touristique en enpruntant le chemin de Ronde, puis tourner à droite, rue Porte Esquive. En arrivant sur la place de l'Espérou, prendre l'escalier descendant vers la rue des Remparts. Au petit carrefour, à gauche rue des Pénitents, puis à droite sur l'Avenue du Général de Gaulle. Sortie du village ; vue sur les collines de la Malepère et les cultures. Le remembrement n’a pas eu sur cet endroit cet effet dévastateur qui a supprimé les haies et les brise-vent. Laisser sur la gauche « Cammas de bas ». Ancien « château » (Moyen Age) on y distingue encore le « tertre » (monticule de terre sur lequel était construite la tour, unique élément de défense). Tourner à gauche sur le chemin d’où l’on aperçoit la bergerie restaurée. (A l’époque ou la Collégiale était occupée par les chanoines, des bûcherons travaillaient pour ceux-ci dans le bois du Chapitre et cette bâtisse était certainement leur demeure). Devant le bâtiment, deux gros chênes plantés sous Louis XIII (1610-1643). A hauteur de la citerne D.F.C.I. (Défense Forestière Contre l’Incendie), suivre le chemin le plus à droite. Tourner à droite en descendant.En bordure, présence d’orchidées pyramidales, genêts, genévriers. Vous suivez un sentier botanique sur 3.5 km avec mobilier d’interprétation. Après la montée, les près. Vue sur le relais TV du Mont Naut (442m), le point culminant du massif. A droite : la campagne de « Sanches » (ancien prieuré). Passer à gauche des chênes et monter à travers les près où poussent : luzerne sauvage, orchis, marguerites, lotier, bruyères. Sur la droite, des arbres morts : des ormes (décimés par la graphiose, malade cryptogamique, importée accidentellement des U.S.A. par voie maritime). Dans les bois, tourner à gauche. Le panneau rouge vous informe que la chasse est gardée et les vipères protégées. Sortie du bois. A cet endroit, guetter la présence possible des busards (mâle ou femelle) qui survolent les champs en quête de nourriture (silhouette ci-contre). A gauche, parc. Laisser sur la gauche « Calvayrac » . Jonction avec la route. En face, « Les Jasses ». Faites un saut au Mont Naut pour profiter du panorama. Après le tournant, monter sur la petite route abimée qui mène au sommet. Observation : positionnez-vous face au village de Montréal, vous apercevrez à gauche « Sanches », un ancien prieuré dans le fond de la Piège. En face, la plaine du Lauragais et derrière les contreforts du Massif Central : la Montagne Noire. A droite, le Razès et légèrement derrière, le Pic de Bugarach (1 230m) bien découpé. Sur la colline derrière, « Les Jasses », l’exploitation forestière dont le travail est rendu délicat du fait des fortes pentes. En redescendant, face à vous : à gauche, le Pic de Bugarach puis vers la droite le Madres (dôme arrondi) et les Pyrénées ariégeoises. Par temps clair, le Pic du Midi plus à droite. Retournez sur vos pas. A gauche à l’embranchement, puis redescendez la route tranquille qui bientôt passe en crête et vous laisse admirer le paysage : « Calvayrac » dans les prés, une image de carte postale. Montréal se découpe au fond. En bord de route, souvent sur les massifs d’épineux, les pies grièches (elles accrochent leurs proies sur les épines des buissons et se constituent ainsi un garde-manger). Observez à gauche en contrebas de la route le mouvement de terrain, cas d’école sur les « loupes de solifluxion ». Ce terme désigne tout mouvement de matériaux rendus plastiques ou liquides, se décollant d’un soubassement plus stable. Il concerne des matériaux argileux susceptibles de se transformer en boue par infiltration des eaux. Cette loupe (terrasses) s’est détachée de la couche et a glissé sur celle-ci (voir schéma au verso). « Le Prunet », élevage de chèvres. La route traverse les bâtiments agricoles puis descend entre deux bois dont l’un à gauche est clôturé. Fréquenté par les chèvres, le sous-bois est nettoyé et protégé ainsi des risques d’incendie. L’autre à droite de la route non clôturé, est impénétrable et présente de ce fait un risque plus grand d’où l’importance du maintien de l’élevage dans ces régions méditerranéennes. Chemin à droite sous la route vers Arzens ou Variante* (retour à Montréal direct par la D43). Apparition de la vigne, en AOC Malepère. Observez les piquets de vigne qui, autrefois étaient taillés dans le bois d’acacia (maintenant remplacés par du bois de pin traité). « Bellevue », après la propriété, un ravin humide où poussent de grands arbres (qui profitent du sol humide) : frênes, acacias, noyers, merisiers, peupliers, tous très hauts car cherchant la lumière. Les vignes deviennent plus nombreuses en descendant. Arrivée au village d’Arzens (qui comptait plusieurs tuileries, dont une existe encore sur la D119). Suivre la route principale et passer devant la halle (commerces). Suivre tout droit , vous rejoignez la variante du chemin de St Jacques de compostelle : le chemin du piémont Pyrenéen et retrouvez le balisage rouge et blanc Tourner à gauche vers le chemin de l’Horte (au niveau de la bouche d’incendie) et continuer tout droit. Longer le ruisseau bordé de saules, noyés, cerisiers. La prêle pousse en abondance sur le bord de l’eau. Cette plante qui colonisait les marais du Carbonifère, (l’époque des dinosaures), a perduré jusqu’à nos jours bien que sa taille ait diminué. Sa tige creuse contient une grande quantité de silice et c’est pourquoi on l’utilisait autrefois pour récurer les marmites. Traversée des vignobles. Montée régulière sur le chemin. On laisse à gauche « La Tuilerie Haute » et « La Tuilerie Basse » (certainement des lieux où l’on fabriquait des tuiles). Dans les cultures, présence fréquente du busard et du faucon crécerelle. Laisser à droite « Levrault » et tourner à gauche. Jonction avec la route qui mène à Montréal. Point de vue sur le versant N.-E. du massif. Après la haie du cyprès, tourner à gauche. A droite, vue sur la Collégiale de Montréal. Jonction avec la route empruntée à l’aller. Tourner à droite. Retour au parking. VARIANTE  (parcours 18 km) Suivre la route. Au carrefour, prendre la direction de Montréal. A gauche, observer les plantations de cèdres. Sur la colline de gauche, dans les bois du Chapitre, plantation de pins laricio et plus à droite de chênes rouges d’Amérique (productifs plus rapidement). Toujours tout droit jusqu’à la haie de cyprès, tourner à gauche. On longe un chemin qui mène à la petite route empruntée à l’aller. Tourner à droite vers Montréal. VARIANTE très sportive  (sentier difficile accidenté, parcours 18 km) Descendre à gauche la piste qui longe la clôture. Fin de la piste et début du sentier sportif qui descend et s’enfonce en sous-bois en « montagnes russes ». Il rejoint plus loin le circuit des bûcherons (balisé) qui vous ramène par la « Bergerie » à Montréal.

2 h
23 km
Très facile
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Le sentier panoramique de la Malepère
5.4 km

Le sentier panoramique de la Malepère

Sur les collines de la Malepère entre les villages de Montréal et Arzens à la découverte des caveaux viticoles.Magnifiques panoramas, passage dans la fôret de la Malepère (bois du chapitre et son sentier botanique) sur le territoire du busard. Retour d'Arzens à Montréal par le GR78, chemin de St Jacques de Compostelle. Balisage jauneDépart au centre du village, partir derrnière le Point d’Information Touristique en enpruntant le chemin de Ronde, puis tourner à droite, rue Porte Esquive. En arrivant sur la place de l'Espérou, prendre l'escalier descendant vers la rue des Remparts. Au petit carrefour, à gauche rue des Pénitents, puis à droite sur l'Avenue du Général de Gaulle.  Sortie du village ; vue sur les collines de la Malepère et les cultures. Le remembrement n’a pas eu sur cet endroit cet effet dévastateur qui a supprimé les haies et les brise-vent. Laisser sur la gauche « Cammas de bas ». Ancien « château » (Moyen Age) on y distingue encore le « tertre » (monticule de terre sur lequel était construite la tour, unique élément de défense). Tourner à gauche sur le chemin d’où l’on aperçoit la bergerie restaurée. (A l’époque ou la Collégiale était occupée par les chanoines, des bûcherons travaillaient pour ceux-ci dans le bois du Chapitre et cette bâtisse était certainement leur demeure). Devant le bâtiment, deux gros chênes plantés sous Louis XIII (1610-1643). A hauteur de la citerne D.F.C.I. (Défense Forestière Contre l’Incendie), suivre le chemin le plus à droite. Tourner à droite en descendant.En bordure, présence d’orchidées pyramidales, genêts, genévriers. Vous suivez un sentier botanique sur 3.5 km avec mobilier d’interprétation. Après la montée, les près. Vue sur le relais TV du Mont Naut (442m), le point culminant du massif. A droite : la campagne de « Sanches » (ancien prieuré). Passer à gauche des chênes et monter à travers les près où poussent : luzerne sauvage, orchis, marguerites, lotier, bruyères. Sur la droite, des arbres morts : des ormes (décimés par la graphiose, malade cryptogamique, importée accidentellement des U.S.A. par voie maritime). Dans les bois, tourner à gauche. Le panneau rouge vous informe que la chasse est gardée et les vipères protégées. Sortie du bois. A cet endroit, guetter la présence possible des busards (mâle ou femelle) qui survolent les champs en quête de nourriture (silhouette ci-contre). A gauche, parc. Laisser sur la gauche « Calvayrac » . Jonction avec la route. En face, « Les Jasses ». Faites un saut au Mont Naut pour profiter du panorama. Après le tournant, monter sur la petite route abimée qui mène au sommet. Observation : positionnez-vous face au village de Montréal, vous apercevrez à gauche « Sanches », un ancien prieuré dans le fond de la Piège. En face, la plaine du Lauragais et derrière les contreforts du Massif Central : la Montagne Noire. A droite, le Razès et légèrement derrière, le Pic de Bugarach (1 230m) bien découpé. Sur la colline derrière, « Les Jasses », l’exploitation forestière dont le travail est rendu délicat du fait des fortes pentes. En redescendant, face à vous : à gauche, le Pic de Bugarach puis vers la droite le Madres (dôme arrondi) et les Pyrénées ariégeoises. Par temps clair, le Pic du Midi plus à droite. Retournez sur vos pas. A gauche à l’embranchement, puis redescendez la route tranquille qui bientôt passe en crête et vous laisse admirer le paysage : « Calvayrac » dans les prés, une image de carte postale. Montréal se découpe au fond. En bord de route, souvent sur les massifs d’épineux, les pies grièches (elles accrochent leurs proies sur les épines des buissons et se constituent ainsi un garde-manger). Observez à gauche en contrebas de la route le mouvement de terrain, cas d’école sur les « loupes de solifluxion ». Ce terme désigne tout mouvement de matériaux rendus plastiques ou liquides, se décollant d’un soubassement plus stable. Il concerne des matériaux argileux susceptibles de se transformer en boue par infiltration des eaux. Cette loupe (terrasses) s’est détachée de la couche et a glissé sur celle-ci (voir schéma au verso). « Le Prunet », élevage de chèvres. La route traverse les bâtiments agricoles puis descend entre deux bois dont l’un à gauche est clôturé. Fréquenté par les chèvres, le sous-bois est nettoyé et protégé ainsi des risques d’incendie. L’autre à droite de la route non clôturé, est impénétrable et présente de ce fait un risque plus grand d’où l’importance du maintien de l’élevage dans ces régions méditerranéennes. Chemin à droite sous la route vers Arzens ou Variante* (retour à Montréal direct par la D43). Apparition de la vigne, en AOC Malepère. Observez les piquets de vigne qui, autrefois étaient taillés dans le bois d’acacia (maintenant remplacés par du bois de pin traité). « Bellevue », après la propriété, un ravin humide où poussent de grands arbres (qui profitent du sol humide) : frênes, acacias, noyers, merisiers, peupliers, tous très hauts car cherchant la lumière. Les vignes deviennent plus nombreuses en descendant. Arrivée au village d’Arzens (qui comptait plusieurs tuileries, dont une existe encore sur la D119). Suivre la route principale et passer devant la halle (commerces). Suivre tout droit , vous rejoignez la variante du chemin de St Jacques de compostelle : le chemin du piémont Pyrenéen et retrouvez le balisage rouge et blanc Tourner à gauche vers le chemin de l’Horte (au niveau de la bouche d’incendie) et continuer tout droit. Longer le ruisseau bordé de saules, noyés, cerisiers. La prêle pousse en abondance sur le bord de l’eau. Cette plante qui colonisait les marais du Carbonifère, (l’époque des dinosaures), a perduré jusqu’à nos jours bien que sa taille ait diminué. Sa tige creuse contient une grande quantité de silice et c’est pourquoi on l’utilisait autrefois pour récurer les marmites. Traversée des vignobles. Montée régulière sur le chemin. On laisse à gauche « La Tuilerie Haute » et « La Tuilerie Basse » (certainement des lieux où l’on fabriquait des tuiles). Dans les cultures, présence fréquente du busard et du faucon crécerelle. Laisser à droite « Levrault » et tourner à gauche. Jonction avec la route qui mène à Montréal. Point de vue sur le versant N.-E. du massif. Après la haie du cyprès, tourner à gauche. A droite, vue sur la Collégiale de Montréal. Jonction avec la route empruntée à l’aller. Tourner à droite. Retour au parking.

5 h
23 km
Facile
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L'abbaye de Villelongue
6.2 km

L'abbaye de Villelongue

Suivez l’ancien chemin qui reliait le village à l’abbaye de Villelongue Balisage jauneLe parcours suit l’ancien chemin qui reliait le village à l’abbaye et démarre en haut du village près des tours, au pied de la pierre de Carsac. Prendre la petite route goudronnée se situant à gauche du panneau représentant les trois sentiers de Saint-Martin-le-Vieil. A la fourche, laisser le sentier des Capitelles partir sur la gauche et continuer tout droit. Au niveau des vignes, une borne vous orientera sur un chemin séparant des parcelles. Celui-ci vous entraînera à travers vignes puis, en sous-bois sur un sentier de terre légèrement sablonneux. Après une petite heure de marche (soit la moitié de la boucle), nous arrivons sur la partie du sentier qui surplombe l’abbaye. On l’aperçoit alors, majestueuse, dans son écrin de végétation. Une visite de celle-ci et du magnifique jardin s’impose. Pour ceux qui le désirent, une variante vous emmènera jusqu’à un ancien four à chaux. Pour le rejoindre, passer sur le petit pont enjambant « La Vernassonne » et juste après le dernier bâtiment à gauche, prendre le chemin qui monte tout doucement : compter une heure aller-retour mais cela vaut le détour !  Le retour s’annonce très agréable ; pour cela, emprunter la piste démarrant du parking et longer la lisière du bois. Puis au carrefour, tourner à droite, faire un petit effort avant d’atteindre le plateau. La partie boisée sera très appréciable l’été. En retrouvant l’axe goudronné, continuer puis prendre la piste à droite et, un peu plus loin, toujours à droite, un layon. Durant la descente à 50m sur votre droite se dresse fièrement une capitelle avec toujours, l’ouverture au sud. Dès le découvert, vous reconnaîtrez le village et ses deux tours du château féodal, vous annonçant la fin de la randonnée.

2 h
9.2 km
Très facile
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Que faire à Bram

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Le Mouscaillou
30 km

Le Mouscaillou

Notre maison d'hôtes, authentique, spacieuse, très confortable, environnée de cinq ha de prairies et bois de chênes invite au bien-être. Besoin de quiétude, de contemplation : un panorama d'exception. Notre maison d'hôtes, authentique, spacieuse, très confortable, environnée de cinq ha de prairies et bois de chênes invite au bien-être. Besoin de quiétude, de contemplation : un panorama d'exception, une grande piscine au sel, belle plage en bois sertie de végétation, sur place sentier botanique. Ici dans le Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc tout est prévu pour vous faire découvrir une nature riche et préservée. Le label Panda en atteste. Pour plus d'activités physiques : découverte de la montagne, la cascade du Mouscaillou, à pied ou à vélo par les sentiers balisés. Possibilité de mise en place de randos guidées avec pique-nique. Cartes et topo-guides à disposition. A essayer aussi nos trottinettes tout-terrain : initiation sur place sensations garanties. Plus de culturel : riche patrimoine local, Albi, Castres, Cordes, Sorèze, Carcassonne... Après l'apéritif offert sur la terrasse, moment de convivialité, de partage, vous pourrez goûter notre cuisine gourmande. La grande salle du rez-de-chaussée ouverte par ses baies vitrées sur la terrasse ombragée et son remarquable panorama, vous est réservée. Le bois, la pierre, les plantes vertes y créent une ambiance douce et chaleureuse. Vous y prendrez vos repas et profiterez pour vous détendre des fauteuils du salon, sa télévision, sa bibliothèque enrichie de nombreux ouvrages nature et tourisme et de son coin bar avec frigo. . A l'étage les trois chambres, avec leurs parquets en bois, couleurs au lait de chaux, décors personnalisés, belles ouvertures sur la montagne ou la plaine de Castres, vous offrent confort et intimité. Une quatrième s'ajoute si besoin à l'une d'elle pour former l'ensemble famille qui peut accueillir jusqu'à cinq personnes. Une petite cuisine avec fond d'épicerie est mise à disposition. Possibilité d'hébergement complémentaire sur demande. Il faut prendre le temps de se faire plaisir, c'est pourquoi nous proposons des prix "attractifs" pour les séjours à partir de trois nuits.

112 chemin du Mouscaillou La B La Blancarié ESCOUSSENS 81290 Escoussens
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Via Ferrata de Mazamet
34 km

Via Ferrata de Mazamet

Envie de sensations fortes ? De défier le vide tout en se défiant soi-même ? La via ferrata de Mazamet est pour vous ! Dans la vallée de l'Arnette, via ferrata avec tyroliennes sous la Passerelle. Sur le site de la passerelle d’Hautpoul, venez arpenter les chemins rocheux et jouer les aventuriers équilibristes en toute sécurité. Ce territoire situé dans un cadre naturel protégé présente un patrimoine historique d’exception (jardins remarquables Cormouls-Houlès, ruines St-Sauveur, site archéologique classé), une faune et une flore diversifiées. A proximité, vous trouverez après avoir franchi la passerelle himalayenne de Mazamet à 70 m au dessus de l’Arnette, le village médiéval d’Hautpoul et ses jardins, sur le GR7 la Maison du Bois et du Jouet, son arborétum et son verger, une déambulation au fil de l’eau sur « l’Art nette » pour pique niquer à l’ombre des châtaigniers. Initiée en 2022, la Via Ferrata de Mazamet vient compléter l’offre touristique existante. Ce parcours vertical et ludique est ponctué de 2 poutres, 4 ponts de singes et de 4 tyroliennes (T1 Arnette, T2 Saint Sauveur, T3 Hautpoul, T4 Pic de Nore) : - Via Ferrata avec les tyroliennes Accès : 20 mn Dénivelé : 90 m Longueur : 880 ml Difficulté : AD à D+ Temps de parcours : 2 h 30 Retour : 20 mn - Via Ferrata sans les tyroliennes Accès : 30 mn Dénivelé : 110 m Longueur : 370 ml Difficulté : AD à D+ Temps de parcours : 1 h 30 Retour : 20 mn - Via Ferrata supérieure d’Hautpoul Accès : 20 mn Dénivelé : 60 m Longueur : 130 ml Difficulté : PD Temps de parcours : 45 mn Retour : 25 mn Matériel minimum requis • Casque • Harnais • Chaussures fermées • Mousqueton pour longe courte de repos • Absorbeur avec longes et mousquetons • Gants (conseillés) Tyrolienne • Utilisation d'une poulie Trac Petzl ou équilvalent • Liaison /harnais : Longe courte (30 à 40 cm) Utilisation exclusivement par ou sous le contrôle d’adulte compétent L’accès à la Via Ferrata de Mazamet est interdit : • Aux personnes de moins de 1,35m, d'un poids compris entre 40kg et 120kg ainsi qu'aux mineurs non accompagnés d’un adulte expérimenté. • En dehors des périodes d’ouverture (du lever au coucher du soleil) et la nuit. • En cas de mauvais temps notamment lorsque la voie est glissante, enneigée ou glacée, et par temps d’orage. Vous pratiquez cet itinéraire en autonomie sous votre propre responsabilité. N’hésitez pas à faire appel aux services de professionnels si vous êtes débutant Sécurité Il est dangereux de s’engager dans une via ferrata sans matériel et sans la parfaite connaissance de son utilisation. Itinéraire équipé de câbles, rampes, échelons, caractère aérien et parfois athlétique. Vous pratiquez cet itinéraire sous votre propre responsabilité. N’hésitez pas à faire appel aux services de professionnels. Longes : ne jamais utiliser de sangles ou de cordes seules, danger mortel en cas de chute ! Location du matériel La location de l'équipement (3h) se fait au bureau de l'Office de Tourisme de Mazamet en centre ville. Réservation en ligne : https://www.tourisme-castresmazamet.com/billetterie Attention, le matériel ne pourra être loué aux mineurs non accompagnés, à une personne faisant moins d' 1,35m et moins de 40kg ou plus de 120kg. Pour des raisons de sécurité, présence obligatoire de tous les participants à la remise du matériel. Nous vous demandons également de respecter les plages horaires mentionnées. Retour maximum du matériel 30 mn avant la fermeture du bureau; Tout dépassement non justifié sera facturé. Tarif : 18€/pers. Tarif groupe plus de 5 personnes : 16,50€/pers. Tarif groupe plus de 10 personnes : 15€/pers. Caution : 400€ (à déposer le jour de la location, chèque ou CB) Pour les débutants et les personnes souhaitant être accompagnés possibilité de réserver une sortie avec un guide diplômée d'Etat (Contacter Aude Escapades - Laurence Combes 06 03 50 00 85 ou Axecime - Yannick Saulnier 06 08 42 27 13). Photos : © Philippe Kling / Mathieu Escudié https://www.youtube.com/watch?v=2Oid9_l8xdQ

95 rue de la Resse 81200 Mazamet
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Que visiter à Bram

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Oppidum-Castrum de Berniquaut
22 km

Oppidum-Castrum de Berniquaut

Belvédère sur le Lauragais, oppidum, randonnées, vol libre… petits et grands promeneurs seront sous le charme ! Ce site, occupé de la Préhistoire jusqu’au XIIIe siècle, porte en lui la mémoire des femmes et des hommes qui y ont vécu. Ici, les hommes ont laissé les traces de leur passage depuis plus de 30 000 ans. Ils ont occupé les cavités naturelles aux porches imposants du versant sud du site. Puis, du néolithique jusqu’à la conquête de la Gaule des communautés agricoles et pastorales s’y sont fixées, trouvant dans ce lieu un espace défensif naturel et une position stratégique. Sur votre route vers Berniquaut vous trouverez la "Peiro Ficada" située en bordure du chemin de crête très ancien menant à Berniquaut. Ce mégalithe a pu servir de borne ou de repère paysager à différentes époques. Cette dalle rocheuse naturelle et verticale, a été appelée la « Pierre des Fusillés » depuis de nombreuses décennies, en raison de 86 cupules hémisphériques ressemblant à des impacts de balles que l’on peut observer à la surface. Ce monolithe naturel pose question : le sens des multiples creusements de cupules reste mystérieux. Même s’il est acquis que les mégalithes sont antérieurs à la présence des populations dites celtiques, il est probable que ces populations respectaient et honoraient d’une certaine manière ces rochers aux formes parfois étranges, habités par des « êtres surnaturels » desquels ils tiraient leurs pouvoirs souvent mystérieux.

81540 Sorèze
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LE RESERVOIR, ESPACE DECOUVERTE DU CANAL DU MIDI
23 km

LE RESERVOIR, ESPACE DECOUVERTE DU CANAL DU MIDI

Au pied de la digue du lac d'alimentation en eau du Canal du Midi, le Musée est consacré à la découverte de cet ouvrage exceptionnel classé à l'UNESCO. A l'intérieur du musée, vous découvrirez la projet titanesque de son concepteur Pierre Paul Riquet. Relier la Mer Méditerranée à l'Océan Atlantique... un rêve porté depuis l'Antiquité. Pierre-Paul Riquet l'a fait au XVIIe siècle ! Avec le château de Versailles, le canal du Midi est la plus importante réalisation du règne de Louis XIV. Le barrage, inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, est la clé de voûte du système d'alimentation du canal. Au pied de la digue, se trouve LE RÉSERVOIR, espace découverte du canal du Midi. Une présentation grandeur nature de l'histoire du canal, des ouvrages d'art et de son ingénieux système d'approvisionnement. EXPOSITION Le barrage de Saint-Ferréol est mis en eau pour la première fois en 1673. Avec ses 32 mètres de hauteur, il est aujourd’hui le plus vieux grand barrage français en activité. A l’occasion de cet anniversaire, LE RESERVOIR, espace découverte du canal du Midi, revient sur l’histoire de ces géants de bois, de pierres, de terre et de béton qui jalonnent aujourd’hui nos paysages. Au travers de cette exposition, nous interrogeons le rôle et la place de ces ouvrages sur nos territoires ainsi que notre rapport à l’eau dans un contexte où « l’or bleu » est plus que jamais précieux. GALERIE DES ROBINETS Le Réservoir organise régulièrement des visites de la galerie des Robinets. Cette visite permet de vous plonger dans les entrailles de l'ouvrage de Saint-Ferréol au coeur d'une voûte de 70 m de longueur avec un jeu de sons et de lumières. C'est tout au bout de ce tunnel que se trouvent toujours 3 robinets du XIXe s. Billetterie en ligne sur le site internet du Résevoir. Visites groupes renseignements sur mediation@lereservoir-canaldumidi.fr. Notre musée a la marque "Valeurs Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc".

1 Avenue Paul Riquet, Saint-Ferréol 31250 REVEL
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾