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Situé au cœur de la Charente, le CAMPING COMMUNAUTAIRE vous offre un point de départ idéal pour explorer Saint-yrieix-sur-charente et ses environs. Commencez par une visite de la magnifique église St-Yrieix, un joyau de l'architecture romane. Les amateurs de nature apprécieront les balades le long de la rivière Charente et les sentiers du parc des Ribauds, parfaits pour des randonnées paisibles ou...Voir plus

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Tour de l'Arédie
628 m

Tour de l'Arédie

De la Coulée verte au bois des Rouyers, en passant par la combe du Maine, cette randonnée vous réserve de belles découvertes et beaux paysages : platanes centenaires, écluses, passerelles et autres vestiges bordent la Charente à Saint-Yrieix et Angoulême. 1. Contourner le plan d’eau par la gauche et le longer jusqu’à l’autre extrémité. 2. Passer sous la RN10 pour rallier la Coulée verte. Vous allez suivre pendant plus de 7 km l’ancien chemin de halage qui longe la Charente – entre Saint-Yrieix et Angoulême, des platanes centenaires ornant autrefois le parc de L’Houmelet, bordent le fleuve. 3. Ici se rejoignent la Touvre et la Charente. Un peu plus loin au milieu du fleuve se trouve la pile de l’ancien pont de chemin de fer du « P’tit Rouillat ». Après être passé sous le Boulevard de Bretagne puis sous la passerelle de Bourgines, traverser l’île par la droite et franchir le petit pont du parcours de canoë-kayak. 4. Longer le fleuve par la gauche. Passer devant le musée de la Bande Dessinée. Au bout du parvis, passer sous le pont de Saint-Cybard et longer du fleuve. Plus loin, la passerelle désaffectée a été construite pour réduire le trajet des poudriers qui se rendaient à pied à la Poudrerie. Continuer jusqu’à l’écluse de Thouérat. 5. Quitter le fleuve en prenant à droite la rue de la baignade. Tourner à droite sur la route de Royan et la longer jusqu’au passage protégé situé à 130 m. 6. Traverser pour emprunter la rue de Chausse-Loup en face et continuer dans la combe pendant 1,5km en ignorant tous les départs de chemins. 7. Traverser prudemment la rue de Saint-Jean d’Angély et prendre en face. Tourner à droite devant le talus de la déviation et longer les habitations jusqu’à la rue de la Coutille. 8. Traverser, prendre à gauche et aussitôt à droite pour longer la route du Petit Rouillac sur 800m – voir sur la gauche les premières éoliennes du Nord Charente. 9. Revenir un peu sur ses pas de l'autre côté du fossé pour aller contourner le bois, tourner à gauche à l’intersection, longer les habitations. Passer les barrières, continuer rue François Mauriac. 10. Rentrer dans le bois à gauche après les barrières. Revenir à la route du petit Rouillac que l’on traverse sur le passage protégé. S’engager dans le chemin blanc, passer sous le tunnel, tourner à droite et longer la rocade sur 150m. 11. Quitter le chemin pour prendre le petit sentier à gauche qui descend dans le bois. À la sortie du bois, longer le champ vers la droite pour remonter à droite dans le sous-bois. 12. Contourner le rond-point par la gauche et suivre le chemin blanc sur 350m – profiter du large panorama s’étendant des crêtes de Champniers au beffroi de l’hôtel de ville d’Angoulême. 13. Descendre à gauche vers le village du Mas et suivre la route de la prairie du Mas jusqu’à la Route des Mesniers - La forte vocation maraîchère et horticole de la commune est encore visible aujourd’hui, même si le nombre des exploitations a considérablement diminué. 14. Traverser au passage protégé situé à gauche et emprunter la rue des Pradelles de la Combe. Dans le 3ème virage, suivre en face le cheminement doux bleu jusqu’au plan d’eau. Rejoindre le parking par la gauche.

17 km
Plan d'eau de la grande prairie 16710 Saint-Yrieix-sur-Charente
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Circuit de la petite prairie
747 m

Circuit de la petite prairie

Située en zone protégée, c’est une partie sauvage de la Coulée verte longeant les bras de la Charente, qui vous mènera au charmant village de Vénat et à sa chapelle. En montant dans le bois des Rouyers, vous découvrirez la fontaine des pots. 1. Longer le plan d’eau par la gauche. 2. Au bout de l’étang, rentrer à gauche dans la Petite Prairie. Longer le fleuve pendant 1,5 km. Point de départ de la Coulée Verte, la Petite Prairie est un espace protégé pour la faune et la flore de cette prairie de fauche inondable. 3. Laisser le chemin qui s’éloigne vers la gauche pour continuer à longer le bras de la Charente. Au débouché du sentier, prendre vers la gauche le chemin qui monte rejoindre la route. Suivre vers la droite la Rue des Mesniers qui mène au village de Vénat, ancien centre administratif de la commune. 4. Prendre la deuxième route à gauche après le virage. Hors parcours, la Rue du Grand Puits conduit au lycée Saint-Joseph l’Amandier et au château XIXe de la Pouyade, complexe hôtelier et évènementiel. 5. Prendre vers la gauche la Rue de l’ancienne mairie – transformée aujourd’hui en école – et longer l’église. Prendre en face la rue Jean et Constant Priolaud. 6. Tourner aussitôt à gauche rue Jean Marvaud. Suivre la voie sans issue à droite et prendre aussitôt à gauche, pour passer devant le puits, longer le parking et revenir vers la Rue Priolaud que l’on traverse. Prendre en face le chemin qui longe le bâtiment, tourner à gauche au bout. 7. À l’intersection, prendre le chemin de droite qui mène à la fontaine des pots – ainsi nommée car on y mettait le chanvre à rouir dans des pots. Monter dans le bois, longer la déviation, dépasser le tunnel. 8. 150m après le tunnel, quitter le chemin pour prendre le petit sentier à gauche qui descend dans le bois. À la sortie du bois, longer le champ vers la droite pour remonter à droite dans le sous-bois. 9. Contourner le rond-point par la gauche et suivre le chemin blanc sur 350m – profiter du large panorama s’étendant des crêtes de Champniers au beffroi de l’hôtel de ville d’Angoulême. 10. Descendre à gauche vers le village du Mas et suivre la route de la prairie du Mas jusqu’à la Route des Mesniers - La forte vocation maraîchère et horticole de la commune est encore visible aujourd’hui, même si le nombre des exploitations a considérablement diminué. 11. Traverser au passage protégé situé à gauche et emprunter la rue des Pradelles de la Combe. Dans le 3ème virage, suivre en face le cheminement doux bleu jusqu’au plan d’eau. Rejoindre le parking par la gauche.

3 h
9 km
plan d’eau de la Grande Prairie 16710 Saint-Yrieix-sur-Charente
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La promenade des portails charentais de Vénat
2.3 km

La promenade des portails charentais de Vénat

Vénat porte encore les caractéristiques de ces villages vivant jadis de la viticulture. Découvrez puits, lavoirs et porches témoins du passé au gré de ses nombreuses ruelles sinueuses et resserrées rappelant le parcellaire médiéval. Circuit non balisé 1. Face à l’église, suivre la Rue Jean Ravanaud à droite. Longer l’ancien presbytère et tourner à gauche Rue du Presbytère. La chapelle bâtie en 1847 fut érigée en église paroissiale dédiée à Saint-Arédius en 1848. En 1950 fut érigée l’actuelle église des Planes, Notre Dame de la route. 2. Emprunter la Rue de Chantoiseau à gauche. Au bout se trouvent la fontaine et le lavoir de Chantoiseau – 3 lavoirs publics subsistent au village. 3. Continuer prudemment à droite par la Rue de la Montée de Vénat. De belles perspectives s’ouvrent sur le village et la vallée de la Charente. 4. Dans le virage, descendre la petite Rue Alcide Bassoulet à droite puis tourner à gauche en bas, Rue des Rocs Berchet. 5. Dépasser l’intersection avec la Rue du Puits, et s’engager à gauche dans le chemin rural qui mène au lavoir de Chez Bréchet. Revenir à l’intersection et poursuivre à gauche par la Rue du Grand Puits. 6. Prendre la Rue du Villars à droite puis la Rue Maurice Michaud à gauche pour y trouver une succession de porches remarquables – les porches étaient la pièce maitresse des anciennes propriétés viticoles reflétant le statut des propriétaires. Vous aurez aussi l’opportunité, si les portails sont ouverts, de voir de nombreux puits privés. 7. Retrouver à droite la Rue du Grand Puits jusqu’à l’intersection avec la Rue de l’Ancienne Mairie que l’on emprunte vers la droite. Au fond de l’impasse à gauche se trouve le château privé de la Pouyade, aujourd’hui résidence hôtelière. Il a abrité de l’après-guerre à 2020 la congrégation religieuse du Bon Pasteur. Passer devant l’ancienne Mairie école. Le bâtiment trop ancien et sa situation excentrée ne correspondant plus aux besoins de la commune qui connaissait alors une très importante augmentation de la population (776 habitants en 1821, 7113 aujourd’hui). Après le transfert vers la mairie actuelle, en 1976, une permanence administrative partielle a été instaurée pendant quelques mois pour assurer une bonne transition. Le bâtiment abrite aujourd’hui une école élémentaire et une école maternelle. 8. Tourner à gauche Rue des Févriers – beau portail. Au bout, prendre à droite, voir le puits au coin de la Rue de Chez Migounet que l’on emprunte – beau bâti. 9. Bifurquer à gauche dans la Rue Basse. A mi-chemin, s’engager dans l’impasse à gauche pour y voir un puits au fond, revenir sur ses pas, reprendre et tourner à droite pour arriver Rue des Mesniers. Traverser pour marcher sur le trottoir et continuer dans le vieux village. Avant d’arriver à l’église, tourner à gauche Rue Jean Marvaud. Rejoindre par la gauche le Rue Jean et Constant Priolaud. Traverser sur le passage piéton et tourner après la maison dans le chemin enherbé à droite. 10. Au bout de ce chemin, on peut tourner à gauche pour voir la Fontaine des Pots – ce bassin où l’on faisait autrefois rouir le chanvre dans des pots déposés au fond a été transformé en lavoir. On peut revenir sur ses pas ou continuer le chemin qui monte pour revenir par le sous-bois par le premier chemin à gauche jusqu’à la Rue de la Fond des Pots. 11. Remarquer le puits en contrebas à droite et emprunter la Rue de la Coutille jusqu’au Monument aux Morts et l’église.

2 h
6 km
église de Vénat Rue Jean et Constant Priolaud 16710 Saint-Yrieix-sur-Charente
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Circuit Entre Touvre et Charente
3 km

Circuit Entre Touvre et Charente

Blottie entre la Touvre et la Charente, la commune de Gond Pontouvre a conservé un important patrimoine naturel tout au long duquel se dévoilent digues, écluses, ponts, moulins, fontaines et lavoirs. 1- Passer sous l’arche située à gauche de la mairie pour rejoindre l’île de Foulpougne et la traverser. Au débouché de la passerelle, suivre le trottoir vers la gauche sous le viaduc de Foulpougne. 2- Emprunter à gauche les passerelles qui surplombent le parcours de canoë kayak. Continuer sur le chemin, dépasser le skate-park. 3- Passer sous le tunnel ferroviaire à gauche. Continuer sur la Rue Leyssenot puis emprunter la Rue du Souvenir à gauche. Au bout, suivre vers la droite la Rue du Petit Vouillac. 4- Au carrefour, traverser la route de Vars et continuer en face Rue des Bourguets jusqu’à la Charente. Continuer vers la droite toujours tout droit sur un beau chemin ombragé. Au lavoir, emprunter la petite sente de pêcheur qui longe le fleuve et ressortir au pied du pont de la RD 747. 5- Traverser la Route de Saint-Yrieix par le passage protégé et suivre la piste cyclable de « la Flow vélo » qui traverse le fleuve et redescend à droite vers la Coulée verte. Poursuivre en direction du Plan d’eau vers la gauche. 6- Après le passage sous la RN 10, rejoindre la passerelle sur la droite qui enjambe le fleuve. Repasser sous la RN 10 et longer la Route de Vars vers la gauche par le cheminement protégé. Voir en passant le moulin, la digue et l’ancienne écluse de Chalonne. Voir le lavoir sur la gauche avant de monter dans le village par la Rue Honoré de Balzac. Prendre à droite Place Buffon, et au bout suivre la Rue La Fontaine à gauche. Tourner à droite sur la Rue Racine. 7- Juste après le tunnel, suivre le chemin de gauche qui mène à la fontaine de Pisse-Menu. Grimper la pente contiguë et continuer tout droit parallèlement à la voie ferrée jusqu’à rejoindre la route de Puyrenaud que l’on suit vers la droite. Passer devant les maisons et poursuivre dans le chemin. 8- A l’intersection, descendre sur la droite – panorama. Au carrefour suivant, suivre la route vers la droite, la quitter aussitôt pour aller passer à gauche sous la RN 10. Tourner à droite derrière, la longer un peu avant de monter puis redescendre vers Le Treuil – panorama sur Angoulême. 9- A l’intersection, ignorer les rues sur la gauche puis la droite, continuer par la Rue de la Croix Rompue puis par le Boulevard du Grand Plantier pendant 700 m. Après le virage, prendre le chemin à gauche. 10- Au débouché de la Rue des Plantiers, aller au carrefour de la Route des Fours à Chaux. La traverser sur les passages protégés pour rattraper la petite Rue des Fontenelles parallèle - Voir au début de cette rue les vestiges des anciens fours à chaux qui ont donné son nom à la rue. 11- Au rond-point de la Pyramide, suivre la Route de Paris vers la droite en admirant depuis le pont la digue et le moulin sur la Touvre. L’origine de Pontouvre est tout simplement la contraction de « Pont sur la Touvre ». Prendre à droite la Rue Pasteur sur 500 m - Voir le lavoir restauré Place de l’Indépendance. 12- Descendre la Rue des Anglades jusqu’à la rivière. Longer la Touvre – risque de petits passages humides – remonter par la Rue des Granges vers la droite. Rattraper la Rue Pasteur et poursuivant à droite, repasser sous le pont ferroviaire de Foulpougne. 2- Reprendre la passerelle qui mène à l’île et rejoindre le point de départ.

4 h
12 km
Mairie 16160 Gond-Pontouvre
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Circuit entre fleuve et prairies
3.5 km

Circuit entre fleuve et prairies

Les arbres majestueux et les fleurs sauvages accueillent ici une faune que seule votre discrétion vous permettra de découvrir. Privilégiez les beaux jours pour longer sereinement les bords de la Charente et franchir le passage à gué de la Méronne ! 1. Du parking, traverser la route pour rejoindre la baignade. Franchir le pont en bois au fond et se diriger vers la gauche pour retrouver la Charente que l’on va longer pendant 1 km - de beaux saules et peupliers bordent le fleuve. Admirer la cascade du déversoir du moulin situé sur l’autre rive, au village de la Chapelle sur la commune de Balzac. 2. Quitter la rive pour emprunter le chemin à droite. Tourner à gauche au bout. Franchir la Méronne par les pierres du passage à gué. À l’intersection suivante, suivre le ruisseau par la gauche jusqu’à sa confluence avec la Charente. Continuer pendant 800 m– voir un peu plus loin sur l’autre rive l’église Saint-Martin et le château de Balzac. 3. Franchir la passerelle et suivre le chemin qui va déboucher sur la RD 37. La traverser et monter vers le village du Cluzeau – au XVIème siècle, il existait à la place de la ferme située dans le virage le «château de Esculiau en Angoumois ». Il est représenté sur une estampe visible au musée de Cognac. 4. Prendre à droite en haut – voir le beau porche du XVIIIème siècle. Emprunter le chemin des érables à gauche dans le virage, déboucher sur la route et la quitter un peu plus bas pour le chemin à droite. 5. Au pylône, suivre la route vers la gauche. Prendre à droite à l’intersection pour rejoindre le chemin à gauche. Monter jusqu’à la prochaine petite route que l’on redescend par la droite - vaste panorama sur la vallée. 6. Tourner à gauche au carrefour pour emprunter le chemin aussitôt à droite. Suivre ensuite prudemment la RD 37 qui va à Vindelle pendant 600 m avant de la quitter pour le chemin blanc à droite. 7. Tourner à gauche après le bosquet pour arriver à la Méronne. La traverser à nouveau par le passage à gué puis refaire le chemin de l’aller pour rejoindre les bords de Charente et le point de départ.

3 h
9 km
Parking baignade 16430 Vindelle
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Circuit des fleurs de la Charente
3.5 km

Circuit des fleurs de la Charente

Amoureux de la nature, vous serez comblés par la campagne de Vindelle ! Longez le fleuve Charente puis prenez de la hauteur pour une vue imprenable sur la vallée. A découvrir absolument ! 1. Du parking de la baignade, dos à cette dernière, passer la barrière et longer la Charente en suivant le chemin qui s’écarte doucement du bord du fleuve. Au bout, tourner à gauche pour arriver au pont de bois. Traverser la Méronne en empruntant les pierres du gué de “Puits Marot” et suivre la route vers la droite sur environ 300 m. Emprunter le sentier à droite, puis se diriger à gauche et aller tout droit dans la peupleraie. Tourner à gauche et suivre la signalisation jusqu’au port de Guissalle. 2. A voir en chemin le pont de Coursac qui a remplacé en 1874 un bac à chaîne et la gabarre du port de Coursac qui permettaient de traverser la Charente, aucun pont n’existant entre Balzac et Vindelle. Par-là s’effectuait aussi le trafic entre Vars, Montignac, Champniers, La Rochefoucault, Hiersac et Rouillac. S’acheminaient ainsi d’une rive à l’autre, pierres, sable, graviers, bois, passagers, boeufs pour les charrois, chevaux…au milieu du pont une plaque donne plus de détails. 3. Passer sous le pont. De l’autre côté, on aperçoit le moulin de Coursac. Suivant la saison, surtout au printemps, on peut admirer la fritillaire pintade, le populage des marais et la cardamine des prés, ou des oiseaux faisant leurs nids comme le râle des genêts, des cygnes, des canards… un vrai site à découvrir en le respectant. A l’arrivée au port de Guissalle on peut se détendre et pique-niquer. Le nom du village vient de Gué sal, le Gué du Sel, lieu de déchargement en contrebande du sel entre Guissalle et Chapelot pour échapper à la Gabelle (impôt sur le sel). C’est d’ailleurs pour cela que la route de Guissalle s’appelle la route des saulniers. Remonter, tourner à droite "Passage des Calicobas", puis suivre la route direction Marsac. 4. Passer devant le moulin de Guissalle, tourner à gauche, aussitôt à droite et traverser le village des Gélinards. Juste avant la sortie, tourner à droite dans le chemin. Filer tout droit, descendre et longer le bois. Remonter, tourner à droite puis à gauche. Longer pour arriver sur la route, tourner à gauche puis aussitôt à droite. Longer puis tourner à droite au 2ème chemin blanc. Au bout, descendre à gauche. À l’intersection, tourner à gauche puis de suite à droite, continuer le long du bois et rattraper la route de Vindelle. Emprunter cette dernière sur 800 m environ puis tourner à droite dans le chemin blanc. Tourner au bout à gauche et emprunter le passage par les pierres qui traverse la Méronne. Un peu plus loin, prendre le chemin à droite et au bout à gauche pour longer la Charente. Admirer la jolie cascade située au-dessous du village de la Chapelle (Balzac). Continuer jusqu’au point de départ.

4 h
12 km
Très facile
Baignade 16430 Vindelle
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Circuit de Balzac
3.9 km

Circuit de Balzac

A 10 mn d’Angoulême, surplombant un large méandre de la Charente et son affluent l’Argence, Balzac doit à la présence de l’eau de riches terres agricoles. De village en village, la campagne et son riche patrimoine se dévoilent lentement. (D/A) Aire de pique-nique RD737. Rejoindre la RD 737 que l’on longe vers la gauche sur 50 m avant de traverser prudemment pour rejoindre le chemin en face. Franchir la barrière de la zone d’activité à droite. Prendre la première à gauche et descendre au bout de la route. (1) Tourner à droite et aussitôt à gauche pour suivre le chemin qui descend vers la vallée de l’Argence. Continuer vers la droite sur la petite route de Peussec. (2) Juste après la dernière maison et avant la RD 105, emprunter le chemin de la Vieille Montée, l’allée boisée qui monte vers le plateau de Balzac. Traverser la Route de Vars pour prendre le chemin de la Croix du Merle en face. (3) Suivre la Route de l’Âge sur la gauche, puis la Route de Vindelle vers la droite pendant 200m. Tourner à droite Impasse du Champ de Frêne – hors parcours, voir l’ensemble mairie, agence postale, école et centre de loisirs à 50 m. Prudence en traversant la Route de Vindelle assez passagère pour emprunter la Route du Bois de Colas Rochier à gauche sur 500m. (4) S’engager à gauche dans le chemin enherbé. Au bout, longer la Route des Chabots vers la gauche environ 200m et entrer dans le bois à droite. Ignorer un premier sentier à gauche, tourner 2 fois à gauche puis 2 fois à droite pour quitter le bois et descendre à travers les cultures vers la Charente. Hors parcours, accès au bord du fleuve en poursuivant tout droit. (5) Tourner à droite. Au bout d’une longue ligne droite, et après 2 grandes courbes, remonter à droite vers le château – qui se visite l’été et en septembre pour les Journées Européennes du Patrimoine. (6) Après l’entrée du château, prendre la Route de la Croix vers la gauche. Hors parcours, voir l’église St Martin derrière le château. Prendre à droite devant le cimetière. Traverser le village des Reigniers. L’impasse de la Chapelle à droite descend vers un bras du fleuve. Continuer Rue de chez Souchet. A l’intersection suivante, prendre à droite sur 60 m. (7) S’engager dans le chemin à gauche. Ressortir sur la Route de la Terre des Prés que l’on suit environ 900m. (8) À l’intersection, descendre sur la gauche en direction de Vindelle et avant le bâtiment, traverser pour rentrer dans le premier chemin de droite qui descend au fleuve. Longer le parcours de canoë puis le fleuve sur 200m. (9) À l'aplomb de l'if dominant l'arborétum, traverser la prairie pour revenir vers le côteau. Suivre vers la gauche le chemin qui fait un crochet pour remonter vers l’aire de pique-nique sur la Route de la Font Saint-Martin. (10) Au carrefour, prendre la route de l’Âge en face et emprunter le chemin de gauche après la fontaine - au printemps, le chant de l’alouette vous y accompagnera. Tourner à gauche. (11) A l’intersection, faire un aller – retour pour voir la font Saint-Martin dans le côteau. Revenir sur ses pas et suivre la Route de la Gabote qui ramène au point de départ.

4 h
13 km
Aire de pique-nique RD737 16430 Balzac
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Le Périph'vert
4.1 km

Le Périph'vert

Voici une belle randonnée urbaine qui offre des panoramas exceptionnels sur le Plateau du Vieil Angoulême et qui permet de découvrir de remarquables espaces naturels préservés à Angoulême, Soyaux, L’Isle d’Espagnac et Gond Pontouvre. 1. Du musée de la Bande Dessinée, aller vers les terrains de sports à gauche. Traverser l’île de Bourgines jusqu’à la passerelle. L’emprunter. Longer la berge vers la gauche – beaux points de vue sur le fleuve et la pile, vestige du pont de chemin de fer du «P’tit Rouillat». Traverser le boulodrome et continuer en face en longeant le cimetière. 2. S’engager sur un chemin. Route de Paris, prendre à droite jusqu’au rond-point. Avenue de la République, passer successivement au-dessus de deux voies ferrées pour suivre la rue du 8 mai 1945 jusqu’à la rue de la Madeleine à l’étang prolongée que l’on prend vers la gauche. Monter l’escalier et continuer à gauche jusqu’au passage piéton. Traverser. Continuer jusqu’au rond-point, traverser et longer le boulevard sur 450m avant de tourner à gauche dans une impasse. Prendre à gauche au bout puis à droite la rue Condorcet. Rue de l’Épargne, aller à l’entrée du bois des Mérigots en face. Tourner à gauche en sortant du bois. 3. Remonter vers la gauche l’avenue de la République. Traverser plus loin pour s’engager dans le chemin de Lunesse jusqu’à la rue Papin que l’on prend à gauche sur 200m. Prendre à droite le chemin de la Font Chauvin - fontaine des lépreux au Moyen-Âge à voir sur la droite. Garder le chemin et remonter sur l’avenue Jean Jaurès. Traverser et grimper dans le talus pour suivre le sentier sous les chênes verts. Tourner à gauche en haut puis plus loin à droite. Continuer tout droit jusqu'à la l'intersection où l'on tourne à droite. Quitter le chemin avant les maisons et les longer par la gauche en descendant vers le chemin d'Entreroches que l'on suit par la gauche. Quitter le cheminement et traverser avant le virage, passer le long des maisons et continuer tout droit dans le bois. Emprunter la seconde allée du bois à droite, tourner à gauche au carrefour du Bois du Lac, et continuer plein sud jusqu’à l’Espace Matisse. 4. Rue du Général de Gaulle, traverser, continuer vers la gauche et franchir les barrières d'un petit passage à 100 m à droite. Traverser la résidence du Verger pour arriver Avenue Pétureau – hors parcours, à 50 mètres à droite voir le cimetière mérovingien et revenir sur ses pas. Tourner plus bas rue de la Belle Aude, puis à droite rue de la fontaine Charlemagne. Descendre à la fontaine, puis reprendre le chemin dans la combe. Monter sur la droite, longer les habitations sur la crête et redescendre à la fontaine du cerisier. Prendre la route de la Vreloppe à droite et dans le virage descendre à gauche dans un petit chemin qui débouche route de Saint Marc. La suivre sur 500 m vers la droite - hors parcours, à gauche, se trouve le sentier d’interprétation de la Vallée de l’Anguienne et le viaduc. Plus loin descendre le chemin de la Folie à gauche, tourner en bas à droite pour longer le ruisseau. Rue du Pont de Vinson, tourner à gauche et longer l’Anguienne par le terrain de sport. 5. Traverser la route pour arriver au Petit Fresquet. Franchir la passerelle sur le ruisseau et le longer A 200 m quitter la vallée pour monter vers le plateau de Ma Campagne à gauche. Suivre le coteau - beaux panoramas sur le plateau d’Angoulême. Rue du moulin de Grelet, tourner à droite 2 fois. Rue des falaises, descendre le chemin dans la combe. Remonter la rue de Montmoreau, la traverser pour monter à droite l’escalier qui débouche sur le square. Aller à droite jusqu’à la rue Montcalme, entrer dans la clairière à 30m. Traverser la prairie pour descendre dans le Bois de Saint Martin, passer sous la voie de l’Europe. Avant le carrefour, grimper dans le talus pour traverser le verger, longer le stade. 6. Sortir du parc, tourner 2 fois à droite, puis à gauche chemin du Soleil-Levant. Tourner à gauche chemin des Cressonnières. Au bout prendre à droite puis à gauche pour passer sous la voie ferrée. Aller tout droit et passer sous la route de Bordeaux. Suivre à droite un chemin herbeux, rue Bourbonnaise tourner à gauche, traverser la résidence. Rue de Basseau, prendre en face le chemin qui va à la Charente, prendre l’île aux vaches par la droite puis monter sur la passerelle d’où Corto Maltes scrute l’horizon. Voir le Musée du Papier et le sentier d’interprétation de l’île Marquet.

6 h
19 km
Moyen
Chais Magélis Quai de la Charente 16000 Angoulême
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Que faire à CAMPING COMMUNAUTAIRE

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Le cinéma de la Cité
4.3 km

Le cinéma de la Cité

Cinéma d'art et d'essai. Films et horaires des séances sur le site internet de la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image www.citebd.org/cinema. Les deux salles du cinéma de la Cité, salle Nemo et salle Laloux, disposent d'une acoustique optimale et d'un équipement à la pointe de la technologie permettant tout type de projection. Elles sont classées Art et Essai et labellisées Recherche, Découverte, Patrimoine, Répertoire et Jeune public par le CNC et sont membres du réseau Europa Cinémas de l'Union européenne. La programmation, riche et variée, fait découvrir en version originale des films d'auteurs de tous les horizons, les grands documentaires, le cinéma indépendant, les découvertes majeures du Septième Art et les films primés dans les meilleurs festivals. les séances ciné répertoire permettent de (re)découvrir des chefs-d'œuvre du patrimoine cinématographique, tandis que les soirées et les séances thématiques sont l'occasion de participer à des avant-premières ou des débats cinéphiles et de société. Le cinéma de la Cité participe en outre aux opérations nationales d'apprentissage de l'image dans le cadre du parcours scolaire, école, collège et lycée au cinéma, avec pour objectif de former le regard des jeunes à l'image audiovisuelle. Ses salles sont également, à l'occasion, des amphithéâtres modernes pour le millier d'étudiants du Campus de l'image. Véritable palais des festivals, il accueille enfin chaque année de nombreuses manifestations : Festival du film francophone, Festival international de la bande dessinée, Festival Télérama, Les Mycéliades et bien d'autres événements. Par respect des œuvres et des publics, les salles sont équipées d'un système de brouillage des téléphones portables et de boucles magnétiques pour les malentendants et sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. Les mercredis, samedis, dimanches après-midi et chaque jour pendant les vacances scolaires, le cinéma propose une programmation de qualité pour le jeune public, des dernières nouveautés comme du répertoire. Le ciné goûter atelier est un vrai moment créatif et récréatif proposé aux enfants : projection d'un film de la programmation ciné môme suivie d'un goûter et d'un atelier de pratique artistique.

60 avenue de Cognac 16000 Angoulême
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Que visiter à CAMPING COMMUNAUTAIRE

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Eglise de Vénat
2.3 km

Eglise de Vénat

En 1848, lorsque la paroisse de Saint-Yrieix fut rétablie, la chapelle de Vénat fut transformée en église paroissiale Jusqu’en 1792, le territoire de Saint-Yrieix dépendait de l’abbaye de Saint-Cybard d’Angoulême et les paroissiens devaient parcourir un long chemin pour rejoindre la chapelle placée sous le vocable de Saint-Yrieix, sous les remparts de la ville. Entièrement détruite pendant les guerres de religion, au cours du 16ème siècle, c’est dans le réfectoire de l’abbaye que se célébrait le culte. Puis une crue emporta le pont de Saint-Cybard en 1749 empêchant les paroissiens de s’y rendre. A la Révolution, La paroisse de Saint-Yrieix fut rattachée à celle de l'Houmeau avant d’être annexée à celle de Fléac en 1804. Trop éloignée, les paroissiens réclamèrent une chapelle permettant la célébration des cérémonies funéraires. Leur vœu fut accordé en juin 1846, et les travaux commencèrent l’année suivante à Vénat, considéré comme le cœur de la commune de Saint-Yrieix. En 1848, lorsque la paroisse de Saint-Yrieix fut rétablie, la chapelle de Vénat fut transformée en église paroissiale. Des ornements sont offerts par des paroissiens et la cloche est baptisée par monseigneur Régnier, évêque d'Angoulême. L’église de Vénat resta l’unique lieu de culte de la commune de Saint-Yrieix jusqu’en 1950, date à laquelle fut construite la chapelle Notre Dame de la route au lieu-dit « les Planes ».

2 rue Jean Ravanaud 16710 Saint-Yrieix-sur-Charente
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Eglise St Martin de Balzac
3.3 km

Eglise St Martin de Balzac

De style roman, l'église fut donnée en 1153 par le comte Guillaume IV à pierre de Lomond, abbé de saint-Amand-de-Boixe, qui devenu évêque d’Angoulême, la céda à son abbaye en 1162. La façade renforcée à ses extrémités par deux contreforts, est percée d’une porte plein cintre, possédant encore une colonne avec un beau chapiteau orné d’un dragon. Des contreforts supplémentaires ont été ajoutés. Cette grande saillie, la présence de chapiteaux galbés permettent de faire remonter l’église à la fin du 12ème siècle. L’église possède un chœur comprenant une travée droite et une abside semi-circulaire. L’abside voutée en cul-de-four, est ouverte par trois baies en plein cintre encadrées de colonnettes à l’intérieur comme à l’extérieur. C’est sur les chapiteaux de ces colonnettes que se trouve l’essentiel de la sculpture de l’édifice. Bien que de médiocre facture, le chapiteau situé au sud de la baie axiale de l’abside est particulièrement intéressant pour sa valeur symbolique. Il y est figurée une chouette harcelée par des oiseaux. Cette représentation appartient au bestiaire roman. Le chœur se prolonge à l’ouest par une travée droite couverte d’une coupole sur pendentifs et surmontée d’un clocher moderne dont l’accès se situe dans un gros contrefort marquant l’angle sud-ouest de la travée. Cette travée délimitée par quatre arcs est ouverte au nord et au sud par une baie en plein cintre qui devait à l’origine être encadrée de colonnettes. L’arc septentrional se compose de deux rouleaux supportés par des colonnes sur dosserets, composition qui devait se retrouver à l’ouest à l’époque romane. Cette dissymétrie pourrait s’expliquer par la chute du clocher qui aurait entraîner une reconstruction partielle de cette travée mais aussi d’une partie de la nef. L’église comprend une nef unique couverte d’une voûte de pierre en berceau. Cette hypothèse est confirmée par la présence de colonnes engagées sur les murs latéraux. Ces colonnes délimitent chaque travée de la nef et correspondent à l’extérieur à des contreforts. Elles étaient situées à la retombée des arcs doubleaux qui supportaient la voûte d’origine. Elles se terminent par des chapiteaux chanfreinés dont les tailloirs se prolongent par un bandeau qui marque le départ du couvrement. Il est à noter également un décrochement des murs de la deuxième travée au sud comme au nord qui doit être rapproché de l’aspect fortement déjeté des murs de la nef. Il semblerait que ces éléments soient à rattacher à une destruction partielle de l’église, probablement à l’époque moderne due à l’effondrement du clocher et de la voûte en berceau. Nous savons en effet que le clocher a été reconstruit en 1760. Cette reconstruction marque sans doute la fin des travaux entamés des le 17ème siècle comme l’atteste le style des restaurations. C’est ainsi que les murs de la nef et de la travée droite du chœur ont été en partie remontés et consolidés par d’épais contreforts. D’autre part, les piliers marquant la limite entre la nef et le chœur ont été renforcés ainsi que l’arc qu’ils supportent. Le financement de ces travaux a pu être facilité par la proximité du château de Balzac, les châtelains ayant sans doute contribué aux frais occasionnés par la restauration de l’église. La présence d’une porte percée dans la deuxième travée de la nef en direction du château est là pour le confirmer. Cette marque du 17ème siècle se retrouve en façade avec la présence d’un cavalier sculpté en bas relief, cavalier qui pourrait être une représentation de saint Martin. Cette sculpture vient rompre la grande sobriété de la façade qui comprend un portail simple formé de deux voussures sans aucun décor. Ce portail est surmonté d’une baie en plein cintre soulignée par un cordon en pointes de diamant, seul vestige du décor roman. En effet, la sculpture pratiquement absente sur cette façade y avait autrefois sa place. Sur l’un des chapiteaux des colonnes encadrant le portail, avait été représenté un dragon. Les colonnes ayant aujourd’hui disparu nous ne pouvons plus apprécier le style de cette sculpture. Mais la sculpture n’est pas le seul élément de décoration de cet édifice qui renferme une peinture murale de la fin du Moyen Age. L’église a été recouverte d’un décor peint présent ça et là sur les murs de la nef. Mais la partie la plus intéressante de ce décor se situe sur le mur nord de la travée droite du chœur. Très endommagée, elle permet cependant d’observer plusieurs personnages ainsi que des inscriptions malheureusement illisibles. Cette peinture fait apparaître un archer tirant sur un homme à demi dévêtu attaché à un poteau. Cette scène peut être interprétée comme une figuration de saint Sébastien, patron des archers, considéré au Moyen Age comme un saint protecteur de la peste. D’autres représentations sont visibles. Nous pouvons notamment reconnaître une femme tenant une épée, des écussons et un nimbe crucifère. Cependant, une grande partie de cette peinture ayant été détruite, il est impossible de faire le lien entre ces différentes représentations. Elle était à l’origine une possession des comtes d’Angoulême. Nous savons qu’une construction seigneuriale existait dés le 12ème siècle à Balzac. Pouvons-nous pour autant faire le lien entre cette construction et l’église qui de ce fait aurait pu avoir une fonction de chapelle castrale ? Il est étonnant que l’église soit isolée de tout édifice mis à part du château du 17ème siècle. Si nous nous référons à la toponymie, nous trouvons à proximité des lieux un hameau appelé La Chapelle. S’agissait-il d’une référence à une chapelle castrale ? Le problème est délicat mais l’hypothèse n’est pas a écarter dans la mesure où l’église appartenait aux comtes d’Angoulême et qu’elle était située à proximité d’une construction seigneuriale. On y arrivait autrefois du château par une charmille qui conduisait en ligne droite à la petite porte latérale. Antérieure au château actuel mais certainement postérieur au château primitif. Emplacement mal choisi pour être à la portée des habitants, le château représente la cause, l’emplacement de l’église et la porte latérale sont l’effet. Déjà trop basse elle manquait de proportion entre sa longueur et sa hauteur, elle a donc vu disparaître de ce fait le peu de coquetterie que lui donnait sa proportion et l’enceinte circulaire du chœur. Pendant le cours de la Révolution à partir de 1792 il n’y eut plus de curé à Balzac, l’église fut abandonnée à la surveillance du sonneur de cloche qui ne s’acquitta pas honnêtement de sa mission, il fut accusé d’avoir soustrait des ferrures. A cette même époque l’église servait de lieu de réunion et de vote pour les élections d’alors. L’intérieur : La nef unique dont les murs latéraux sont fortement déjetés vers l’extérieur, est couverte d’un berceau de bois, en place de celui de pierre qui existait jadis et que soutenaient deux doubleaux portés pas des colonnes engagées. Elle est éclairée par quatre fenêtres simples, deux dans la travée est, une au sud ouest, la quatrième à l’ouest, au dessus de la porte. Trois arcades ont été percées dans les murs latéraux pour donner passage à la dans les chapelles. Le faux carré et l’abside sont un peu plus étroits que la nef. La voûte était une coupole sur pendentifs. Les arcs gouttereaux sont simples : le grand arc ouest et ses piliers ont été renforcés ; celui de l’est à deux rouleaux, porté par des colonnes à dosserets. Deux fenêtres, un de chaque côté, sont encadrées à l’intérieur par des colonnettes. L’abside, semi circulaire et sous un cul-de-four, à trois fenêtres avec colonnettes sur les deux faces, et une porte ouvrant dans la sacristie à l’est. Toutes les fenêtres sont en plein cintre et très évasée vers l’intérieur ; les chapiteaux sont galbés, sauf sur les colonnettes de l’abside, où ils sont grossièrement décorés de feuillages et d’animaux. L’extérieur : La façade renforcée à ses extrémités par deux contreforts, est percée d’une porte en plein cintre, possédant encore une colonne avec un chapiteau orné d’un dragon ; au-dessus, une petite fenêtre avec un cordon à pointe de diamant, et de pignon remanié.Au-dessus de la porte, on voit les traces d’un porche à double pente. La corniche, détruite sur les murs latéraux, subsiste l’abside, ainsi que les modillons. Des contreforts supplémentaires ont été ajoutés ; les anciens contreforts de l’abside avaient 0m70 sur 0m27, mais ceux de la nef mesuraient 1m40 sur 0m90. Cette grande saillie, la présence de chapiteaux galbés permettent de faire remonter l’église au dernier tirer du 12ème siècle. Le clocher carré rebâti en 1760, à deux baies jumelles sur les faces est et ouest, et une flèche en charpente assez élevée. On trouve à l’intérieur, des fonts baptismaux en tronc de pyramide octogonale aux arêtes ornée d’un boudin et, et à l’extérieur, des traces de litre funéraire.

65 route de l'Eglise 16430 Balzac
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Eglise Saint-Christophe
3.6 km

Eglise Saint-Christophe

Eglise romane Saint Christophe de Marsac Entre 988 et 1028, le comte d’Angoulême Guillaume IV Taillefer, fait une donation au monastère bénédictin de Saint Amant de Boixe pour que soit créé un prieuré à Vindelle. La fondation du prieuré de Vindelle est aussi assurée dès le début du 10ème siècle. Le prieur est seigneur de Vindelle mais aussi de la chapelle de Balzac, aujourd’hui disparu, avec les droits de l’église – sous réserve d’y faire participer le service religieux – et droits sur une partie des terres de la paroisse de Balzac. L’église et son prieuré ont été victimes des violences des temps passés mais aussi des négligences des prieurs, surtout depuis 1400 où ils furent dispensés de résidences et se contentèrent de se faire remettre les redevances et bénéfices de leurs terres. L’église est dédiée à Saint Christophe (Porte Christ) vénéré depuis le haut Moyen âge. La situation du prieuré enserré dans une boucle de la Charente, justifierait à elle seule cette dédicace au patron des passeurs qui a aidé un enfant, le Christ en fait, à traverser une rivière en le portant sur ses épaules. L’extérieur : La façade élévation ouest, très fruste, comprend un portail axial sous un simple rouleau sommé d’un cordon à billettes et encadré de deux arcatures aveugles et étroites. Il subsiste un vestige de sculpture difficile à identifier : un personnage agenouillé ? Un cheval ? Éclairée par un oculus (17ème), la façade offre une corniche à modillons, qui relie les deux contreforts plats posés de chaque côté. Sur ces modillons sont représentés des têtes d’hommes, de singes, de monstres (notamment aux deux angles). Au-dessus, le pignon dont les rampants ont dû être refaits mélange un gros appareil irrégulier de moellons. Les murs gouttereaux de la nef (11ème et 12ème siècle) construit en petit et moyen appareil sont épaulés par de rares contreforts (un seul côté nord et trois côté sud). Les murs sont éclairés au nord par une baie étroite et une fenêtre large en plein cintre, et au sud par une seule fenêtre en plein cintre. Des traces de corniches sur modillons sont visible au nord sur la dernière travée et au sud sur les deux dernières travées ? L’église a été surhaussée de deux rangs de pierre au-delà de la corniche. Le bras de transept nord (Fin 12ème siècle) est appuyé sur son côté ouest par une construction (11ème siècle), au dessus de laquelle on voit le contrefort plat qui s’élève jusqu’à la corniche en modillons (sans décor). Le mur nord de ce croisillon est appuyé de deux contreforts plats. Une haute baie étroite, en plein cintre, éclaire cet unique bras de transept construit en appareil irrégulier. Le bras est doté d’une absidiole (12ème siècle) de taille quasi équivalente à celle de l’abside. Elle est couronnée par une corniche à modillons et deux contreforts plats confortent ce mur de part et d’autre d’une baie axiale en plein cintre. Le chevet (12ème siècle) est lui aussi épaulé de deux contreforts plats. Sa corniche est à modillons sculptés (têtes d’animaux).Le clocher (12ème siècle) se dégage de la masse de l’église. C’est une tour carré épaulée par le bras de transept au nord et par deux contreforts plats qui encadrent une baie au sud. Le dernier étage (beffroi) est éclairé au nord et au sud par deux arcades surmontées d’un rouleau. Une colonne surmontée d’un chapiteau les scinde en deux baies géminées. On peut remarquer une légère correction, de l’effet d’optique par un épaississement du milieu du fût (surtout côté sud). Une meurtrière, côté est, rappelle l’aspect défensif des églises (Guerre de 100 ans). La maison du prieuré et ses dépendances étaient accolées au sud de l’église. Il y avait deux corps de bâtiments distincts et parallèles, dont seul celui de l’est subsiste. Le mur sud de cette construction est manifestement d’origine : on y voit encore les traces d’une fenêtre romane.« Le bras sud du transept » a toujours été absent : y a-t-il eu entre les « logeurs de Dieu » désireux d’exécuter le plus de travail possible et le seigneur soucieux malgré sa bonne foi de préserver l’intégralité de sa cour, des oppositions de point de vue ? Le bras nord serait-il un rajout de l’époque où l’église est devenue église paroissiale ? L’intérieur : On profite de travaux entrepris par le curé de la paroisse Henri STOQUART dans les années 1970. Les paroissiens ont dégagé le sol de plus d’un mètre de profondeur, mettant ainsi au jour la base des piliers, qui repose sur le sol primitif où l’on trouve des sarcophages d’époque mérovingienne (sous les planches côté nord). Les deux premières travées de cette nef haute et étroite, on été renforcées par deux arcatures retombant sur un pilier plat. A la deuxième arcature, ce pilier plat rejoint la corniche chanfreinée qui délimitait, il y a quelques années, un plafond en bois aujourd’hui dégagé pour laisser voir la charpente. Ce rythme régulier d’arcature a été perturbé dès la deuxième travée par le projet de voûter la nef en berceau. Cette troisième travée est toujours voûtée. Les murs intérieurs dégagés de leur enduit laissent voir des baies bouchées (mur sud) ainsi que des traces illisibles de peintures murales (mur nord). Le carré du clocher est limité de puissants piliers à noyau cruciforme flanqués de colonnes. Les corbeilles des chapiteaux sont simplement ornées de boules à l’ouest et, ornées de têtes de monstres ou de feuillage sculptés en palmettes côté chœur. La coupole est sur trompes. Le chœur, voûté d’un cul de four, est éclairé de trois baies encadrées de colonnes à chapiteaux décorés de palmes ou d’animaux fantastiques. On ne sait pas pourquoi il manque une colonnette côté sud. Malheureusement, le chœur a été recouvert d’un enduit à faux joints sur badigeon blanc (19ème siècle). Dans les bras du transept, un escalier en bois ( 17ème siècle) donne accès aux trois cloches en bronze ( 1603-1604-1623) comptant parmi les plus anciennes du département. Elles sont classées aux Monuments Historiques depuis 1944 et l’église est inscrite à l’inventaire supplémentaire depuis la fin du 20ème siècle. Eglise ouverte tous les jours. Si fermeture exceptionnelle, demander la clé à la mairie 05 45 21 42 82.

1 Le Bourg 16430 Vindelle
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L'île Marquet
4.2 km

L'île Marquet

Située au cœur même d’Angoulême, cette île a connu, au fil des siècles, nombre de changements, qui sont aujourd’hui dévoilés au public à travers la mise en place d’un sentier d’interprétation. Un peu d’histoire L’île Marquet, joyau naturel d’Angoulême, est aussi riche d’une longue histoire durant laquelle plusieurs noms lui furent donnés. Ainsi, la plus ancienne appellation parait être celle d’Ile Saint-Pierre. Plusieurs autres appellations suivirent, en fonction des propriétaires du lieu, avant qu’elle ne porte définitivement le nom de Pierre Marquet, en souvenir du maître d’hôtel qui la posséda de 1830 à 1856. L’île Marquet est longtemps restée à vocation agricole. Au XIXe siècle, un usage industriel et commercial se développa. Ainsi vers 1830, Pierre Marquet construisit une roue pour arroser sa prairie. Cette même roue fut ensuite employée comme moteur pour actionner une féculerie de pommes de terre. Ensuite l’usine fut transformée en scierie à bois, en cartonnerie puis en moulin à plâtre. Plusieurs bâtiments subsistent d’ailleurs, dont une haute cheminée. Enfin, des bateaux-lavoirs et les blanchisseries demeurèrent, jusqu’en 1925 pour les premiers et 1950 pour les secondes. L’île conserve aussi les traces des bombardements alliés de la Seconde Guerre Mondiale, avec un immense creux encore visible aujourd’hui. Peuplée de divers jardins, puis mise en valeur par l’association Charente Nature dans les années 1980, l’île est devenue propriété de la Ville. Un îlot de nature à préserver Sur près de 8 hectares, l’île Marquet abrite une faune et une flore remarquables. Dans les boisements d’Aulne glutineux et de Frêne commun, vivent des insectes xylophages, notamment l’étrange Lucane cerf-volant et la surprenante Rosalie des Alpes. Ces boisements abritent aussi bon nombre d’oiseaux tels que des pics colorés. Les zones de clairière renferment une flore typique des prairies humides : l’Eupatoire chanvrine, la guimauve officinale ou la Cardère sauvage, le célèbre “cabaret aux oiseaux“. Ce cortège floristique attire de nombreux papillons et libellules. Cette richesse biologique ne peut se maintenir qu’avec une gestion spécifique mise en œuvre par le service des espaces verts de la Ville d’Angoulême, en partenariat avec Charente Nature.

Ile Marquet 16000 Angoulême
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Musée du Papier
4.2 km

Musée du Papier

Le Musée du Papier est installé sur les bords de la Charente dans les anciennes papeteries Lacroix devenues papeteries Joseph-Bardou "Le Nil" fermées en 1972. Les bâtiments du Musée du Papier sont construits sur le fleuve et forment un pont entre la rue de Bordeaux et l'île St Cybard. L'exposition permanente "Charente Confluences, du fleuve aux industries, du papier à l'image" est consacrée au riche passé industriel angoumoisin lié au papier et aux industries connexes. A l'étage, les expositions temporaires présentent la variété des collections et valorisent les artistes contemporains travaillant le papier. Dans les salles situées au rez-de-Charente, la circulation de l'eau rappelle l'usage de l'énergie hydraulique. Roue à aubes, vannes et coursiers sont des vestiges qui en témoignent. Il y règne une atmosphère très particulière. Cinq thèmes composent le parcours : - Découvrez le fleuve Charente et ses différentes fonctions ; - Comprenez la fabrication artisanale et industrielle du papier ; - Appréhendez l’histoire du site au cours des siècles ; - Explorez la Vallée de l' image et ses écoles de formation ; - Voyagez à travers le temps grâce à l’œuvre de l’artiste Daniel Mar en hommage aux femmes ouvrières des papeteries du Nil. Les collections du musée sont présentées régulièrement au travers d'expositions temporaires. Elles conservent la mémoire du papier sous toutes ses formes : échantillons de papier, packaging, papier à cigarettes et affiches publicitaires. Elles s'enrichissent d’œuvres graphiques contemporaines. À votre disposition pour découvrir le musée : - Application mobile gratuite téléchargeable sur les stores : "Visite Musée -Musée du papier". - Visite familiale interactive : Rizlo et Édouard deux personnages attachants vous guideront dans la découverte de la fabrication du papier à travers l'exposition permanente "Charente Confluences" (payant). - Chasse aux trésors "Méfiez-vous des camemberts", un parcours à la découverte des étiquettes de camemberts de la collection Garnaud (gratuit). - Livrets ludiques disponibles à l'accueil. Gratuit chaque 1er dimanche du mois

134, rue de Bordeaux 16000 Angoulême
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