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Mathilde EURL : des découvertes au cœur du Cantal

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Bienvenue à Le rouget, Cantal, en Auvergne, un bijou naturel niché au cœur de l'Auvergne. Ici, votre aventure commence par la découverte des paysages époustouflants du Cantal. Embarquez pour une balade à travers les Monts du Cantal, où les randonnées offrent des vues panoramiques imprenables. Ne manquez pas les célèbres cascades, idéales pour une pause rafraîchissante.

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Le Rouget-Pers
624 m

Le Rouget-Pers

Le bourg du Rouget est réputé pour son marché dominical. Un peu plus au nord, Pers tutoie les rives du lac de Saint-Étienne-Cantalès. Ces deux villages si peu semblables ont fusionné en 2016, mais leurs destins sont liés depuis bien plus longtemps... Le dimanche matin, pour repérer l'emplacement du marché du Rouget, l'un des plus renommés de la région d'Aurillac, vous n'avez qu'à ne pas perdre de vue le clocher de l'église Sainte-Thérèse. À défaut de servir réellement de phare, c'est vers l'intérieur que l'unique lieu d'art sacré contemporain du Cantal prodigue sa lumière. C'est à l'artiste local Jean Labellie, peintre non-figuratif de notoriété mondiale, chantre des couleurs vives, que fut confié le soin d'inonder de lumière la nef de Sainte-Thérèse au tournant des années 1960. Solidité du granit, rusticité des formes, chaleur des rouges et des bleus resplendissants, tout ici est propice à la paix et au recueillement. On pourra se demander ce qu'il est advenu de l'église paroissiale initiale pour qu'un édifice moderne lui soit substitué. Eh bien rien : il n'y en a jamais eu, car il n'y avait pas de paroisse non plus ! La commune du Rouget n'est apparue qu'en 1945 alors qu'elle n'était qu'un hameau de la commune de... Pers, justement. La présence d'une gare a permis l'émancipation économique puis administrative du Rouget, qui est devenu un véritable petit bourg pourvu de nombreux commerces. De son côté, Pers a beaucoup moins changé au cours du siècle passé, et c'est ce qui en fait tout son charme. Un cœur de village ancien, une église de fondation romane, des abords des plus bucoliques... et un lac qui n'existait pas non plus avant la dernière guerre puisqu'il s'agit de celui de Saint-Étienne-Cantalès ! Pour profiter des berges du lac en toute quiétude, l'idéal est d'emprunter le Sentier des Fraulières, une boucle pédestre partiellement boisée de 7 km qui débute devant l'ancienne mairie de Pers. À son extrémité nord, on y profite d'une jolie vue sur le viaduc du Ribeyrès, l'un des ouvrages d'art ferroviaires majeurs du Massif Central. Construit tout en métal dans les années 1860 afin d'enjamber la Cère, ses piles ont dû être enchâssées dans du béton lors de la construction du barrage de Saint-Étienne-Cantalès afin qu'elles ne se corrodent pas au contact des eaux du lac de retenue. Le tablier, lui, est resté dans son état d'origine. Deux autres promenades pédestres vous sont proposées sur la commune du Rouget-Pers, aux abords immédiats du Rouget précisément : le Circuit du Lac et Lascombes-Basses, respectivement 10 et 6 km, partent à l'assaut des pâtures et des bois qui encadrent l'étang du Moulin du Teil. Ce plan d'eau équipé constitue d'ailleurs une destination en soi, c'est un lieu de détente prisé des Rougétois - surtout des pêcheurs à la truite ! - et l'endroit parfait pour un pique-nique, histoire de profiter aussitôt des petites trouvailles faites sur le marché par exemple... Du plan d'eau du Moulin du Teil, on peut aussi bien envisager une jolie demi-journée de VTT : avec Ronde en Ségala, vous voilà partis pour 28 km tout en doux reliefs, parfait pour s'amuser en famille. Pas assez rapide, le VTT ? Alors voici ce qu'il vous faut : le karting de Pers, à quelques encâblures du lac de Saint-Étienne-Cantalès, est l'un des plus réputés d'Auvergne ! Sensations fortes, activités sportives en famille ou détente la plus complète, vous voyez, au Rouget-Pers, vous trouverez à coup sûr comment vous faire plaisir...

15290 Le Rouget-Pers
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Roumégoux
2.4 km

Roumégoux

Roumégoux, aux confins du Quercy, se distingue comme nombre de villages cantalous par le charmant clocher à peigne de son église Saint-Pierre et Saint-Paul. Le village est aussi connu pour sa chapelle Notre-Dame-du-Bourniou, qui s'élève 2 km plus loin. L'une des cloches de Saint-Pierre et Saint-Paul date de 1536 et est classée Monument historique. Lorsqu'on pénètre dans l'édifice du XVe siècle par le porche percé dans le mur-clocher, on découvre une petite nef séparée du chœur par un arc triomphal de style gothique. Le chœur, de forme presque carrée, est éclairé par deux fenêtres en arc brisé, avec des vitraux représentant saint Paul et saint Pierre tenant les clefs du paradis, le tout surmonté d'un oculus. L'édifice fut enrichi au fil des siècles par du beau mobilier et orné de statues en bois doré : statue de saint Géraud classée à l'inventaire des Monuments historiques, les magnifiques saint Paul et saint Pierre, une statue de la Vierge ainsi qu'un très beau retable. Pourquoi une chapelle et une fontaine au beau milieu de la route de Saint-Saury ? Puisqu'il était désireux de reposer dans son abbaye à Aurillac, la dépouille du comte d'Aurillac, saint Géraud, fut ramenée à pied par des porteurs depuis Saint-Cirgues, dans le Lot voisin. En chemin, les porteurs s'arrêtèrent pour se désaltérer mais ils ne trouvèrent rien. En revenant vers la dépouille, ils constatèrent avec étonnement qu'une fontaine avait jailli sous le corps. Aujourd'hui cette fontaine à l'eau vertueuse existe toujours. Les habitants des alentours comprirent que le lieu avait été sanctifié et ils s'empressèrent d'y construire la première chapelle. En 1690, elle fut reconstruite car la chapelle avait subi les vicissitudes du temps et des Hommes. Au XIXe siècle, en raison du succès des pèlerinages, elle fut agrandie. Aujourd'hui la chapelle est dédiée à la Vierge sous le vocable Notre-Dame-des-Grâces. Amis randonneurs et cyclistes, malheureusement, vous ne profiterez pas des bienfaits des eaux de la fontaine ! Elle se trouve ni sur le circuit des Moulès, le parcours de randonnée de 10 km qui débute et s'achève à Roumégoux, ni sur l'itinéraire de la Ronde en Ségala, le parcours VTT de 27 km qui traverse le village. Mais cela ne vous détournera sûrement pas du plaisir de sillonner à pied ou à vélo les douces ondulations de cette partie de la Châtaigneraie...

15290 Roumégoux
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Omps
4.9 km

Omps

Omps est un petit village d'origine médiévale, comme l'atteste la forme circulaire des maisons qui se blottissent autour de l'église. L'itinéraire de randonnée qui part d'Omps s'appelle le Sentier des belles vues : devinez pourquoi ?... Les différentes rénovations de l'église Saint-Julien, dont celles des XVe et XIXe siècles, n'ont guère trahi ses origines romanes. Elle est construite en forme de croix latine et en pierre de granit et est couverte de tuiles de lauze, symboles de l'architecture rurale en Auvergne depuis le siècle dernier. L'intérieur est composé d'une nef dont la voûte est cintrée. Au fond de la nef, on peut voir un joli bénitier en granit qui date de 1821 et sur le baptistère trône une statue de saint Julien en plâtre. Toutes les fenêtres sont cintrées et munies de vitraux des XIXe et XXe siècles. On y trouve une importante statuaire, dont une Vierge à l'enfant en bois doré, accompagnée de saint Antoine à gauche et saint Gabriel à droite. Ces statues sont d'ailleurs très représentatives de l'art sacré populaire auvergnat. Dans l'une des chapelles du transept, on découvre une magnifique pietà en bois polychrome du début du XVIe siècle et protégée au titre des Monuments historiques. Elle représente la Vierge Marie, assise, vêtue en religieuse bénédictine portant le corps du Christ sur ses genoux après la descente de la croix. Au fond, se trouve une statue de sainte Anne. Enfin, l'église abrite un remarquable confessionnal en bois travaillé. C'est peu dire que le château fort n'a pas connu le même destin, à tel point qu'on ne connaît même pas sa localisation précise. Perdu puis repris par les catholiques aux protestants qui en avaient fait un temple lors des guerres de Religion, il semble qu'il y ait été démantelé à l'issue de cette période de troubles. Au centre d'Omps, c'est désormais le château de La Plaze qui nous accueille. Il n'est pas exclu que cette coquette résidence de la fin du XVIIIe siècle ait été érigée sur les fondations du château fort. Mais rien n'est sûr... Ce qui est certain, c'est que vous profiterez d'un joli spectacle naturel en empruntant le bien nommé Sentier des belles vues. Le massif du Cantal s'étirera devant vous dans toute sa majesté et vous aurez le lac de Saint-Étienne-Cantalès tout à vos pieds. Amateurs de plantes, vous serez même doublement comblés car les abords d'Omps en recèlent une grande variété : campanules, chélidoines, gaillets, myosotis et autres rhinanthes vous attendent à Omps !

15290 Omps
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Parlan
5 km

Parlan

On ne parle pas de démographie galopante, mais force est de constater que Parlan séduit de nombreuses familles nouvelles. Les visiteurs, eux, auraient tort de galoper sur les 23 km de parcours qu'offre le village tant la campagne alentour est attrayante. L'église Saint-Georges de Parlan date probablement de la même époque que le château, le XIIe siècle. À l'origine, c'est d'ailleurs sa chapelle : on retrouve une porte dans la tribune qui communiquait avec le château pour permettre aux seigneurs d'assister à l'office. De quel château, vous demanderez-vous une fois sur place ? Cherchez un peu, dans le bosquet voisin, les vestiges d'une tour attestent encore de sa présence passée. Comme beaucoup d'autres dans la région d'Aurillac, symboles d'un pouvoir aristocratique honni, il fit les frais en mars 1792 de la jacquerie menée par le commandant de la garde nationale d'Aurillac, l'Arpajonnais Jean-Baptiste Milhaud, futur général napoléonien. Dans l'église, ne subsiste de cette époque initiale qu'une croisée d'ogives sur le bas-côté, qu'on trouve en entrant à gauche, et sur la clef de voûte, les armoiries des seigneurs de Parlan. Des remaniements conséquents eurent lieu au XVIe siècle et, en 1827, l'église fut agrandie et son clocher reconstruit. Aujourd'hui encore, des traces de l'ancien mur sont visibles à l'extérieur ainsi que les restes de l'ancienne porte d'entrée. À l'intérieur, on retrouve du mobilier datant du XVIIe siècle jusqu'au XXe siècle. Dans la nef il y a deux statues : l'une en bois polychrome représentant saint Roch, l'autre, saint Georges, patron de la paroisse, en bois polychrome doré du XIe siècle. Dans le chœur, de l'imposant retable qui existait auparavant n'ont survécu que trois éléments accrochés au mur dont un Christ. Par ailleurs, dans la chapelle de droite, on rencontre un retable du XIXe siècle en bois polychrome doré avec, en son centre, une statue de la Vierge à l'Enfant. Dans la chapelle de gauche on trouve un autre retable en bois polychrome accompagné s'une statue de l'Immaculée Conception du XVIIe siècle. Enfin, on peut voir trois toiles de l'artiste aveyronnais Hervé Vernhes représentant des scènes quotidiennes et religieuses de la vie rurale. Elle est certes bien postérieure à l'église vers le bas-côté nord de laquelle elle est tournée, mais elle fait tout de même figure d'ancêtre dans son genre : une pompe à essence de marque Satam des années 1930 trône sur un trottoir du village ! Bon, inutile de préciser qu'elle n'est plus en service... Et de toute façon vous n'en auriez pas eu besoin pour profiter des deux itinéraires que propose la commune. Le plus court, "La Croix del fût", fait 8,6 km et explore la partie ouest du territoire communal. Le plus long, "Entre fours et moulins", vous entraînera vers l'est du village sur 14,4 km. Quel que soit votre choix, c'est un paysage sagement vallonné de prairies, de bois et de petits plans d'eau que vous sillonnerez. Un paysage jalonné de hameaux à l'abondant patrimoine vernaculaire : granges-étables, moulins, fours à pain, sécadous, maisons avec bolet, ce perron couvert par l'avancée du toit et desservi par un escalier extérieur... S'il vous est difficile de choisir, ne choisissez pas : couplez les deux et élancez-vous vers une journée 100% parlanaise de 23 km !

15290 Parlan
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Église de Saint-Mamet
6.1 km

Église de Saint-Mamet

L'église de Saint-Mamet apparaît pour la première fois dans un document de 1019 qui mentionne qu'avec celle de Saint-Jean (église de La Salvetat) elle furent offertes à l'abbaye de Conques par des seigneurs de Calmont d'Olt. Jusqu'au XIVe siècle, l'église et la paroisse de Saint-Mamet appartenaient à l'abbaye de Conques. Elles passèrent ensuite au chapitre cathédral de Clermont auquel revint jusqu'à la Révolution, le choix et la nomination du curé du lieu. L'édifice actuel n'est bien sûr pas celui de l'an mil, construit selon la légende sur la tombe de saint Mamet. Ce diacre fût avec saint Mary, compagnon de saint Austremoine, venu évangéliser cette partie méridionale de l'Auvergne. De ce premier lieu de culte rien ne subsiste, il fut remplacé au XIIIe siècle par une église gothique. La belle fenêtre ogivale qui éclaire le chœur avec des petites colonnettes est d'ailleurs une caractéristique de cette époque. Sa nef est composée de deux travées et appartient tout comme le chœur aux XIVe et XVe siècles. Le tout est voûté en pierre. Sur la clef de la croisée d'ogives du chœur, est figurée la main de dieu créant le monde. L'église était alors de plan classique formant une croix latine dont le transept était matérialisé par deux chapelles latérales, auxquelles d'autres vinrent s'adjoindre au cours des siècles. Dans le chœur on peut voir un magnifique retable inscrit aux Monuments Historiques comportant les statues de saint Mamet et saint Roch. Par ailleurs, tout l'édifice souffrit terriblement des guerres de Religion. En effet, en 1569, les Huguenots s'emparent de la ville, l'incendient avec l'église et tuent le prêtre. L'occupation d'Aurillac et des forts alentours dont celui de Saint-Mamet par les calvinistes, permit à ces derniers de se livrer à toutes les exactions et destructions possibles. Ils assouvirent leurs haines des catholiques, en saccageant et incendiant plus particulièrement toutes les églises des environs. Après leur départ, il fallut panser les plaies, restaurer et sortir des décombres les bâtiments et édifices religieux. L'église de Saint-Mamet fut restaurée grâce aux dons des paroissiens. En 1680, un terrible incendie détruisit la quasi-totalité du village dont l'église. Un mois après le désastre, les consuls et corps communs décidèrent de sa remise en état. Au XIXe siècle l'église est agrandie car le nombre de paroissiens a beaucoup augmenté : on démolit les chapelles latérales et on les remplace par des bas-côtés. Depuis ces importants travaux, l'église n'a pas subi d'autres transformations. si ce n'est son porche néo-roman mis en place à la fin du XIXe siècle.

15220 Saint-Mamet-la-Salvetat
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Saint-Mamet-la-Salvetat
6.2 km

Saint-Mamet-la-Salvetat

Saint-Mamet-la-Salvetat, deuxième commune de la Châtaigneraie cantalienne par la population, en est le chef-lieu. Petit bourg aux multiples commerces et services, Saint-Mamet offre l'un des points de vue les plus saisissants sur le volcan cantalien. Malgré le développement de l'habitat pavillonnaire, le cœur du village n'a rien perdu de son charme typiquement cantalien, avec ses murs de pierre d'origine volcanique et ses toits de lauze très pentus qui laissent deviner la préoccupation de leurs bâtisseurs quant à la rudesse récurrente du froid. La rue principale dégage toujours une plaisante impression d'harmonie, que l'austère façade de l'église Saint-Mamet ne vient pas rompre, bien au contraire. Bien que ce sobre édifice ne laisse rien paraître, une série de vicissitudes a jalonné son histoire millénaire : saccages lors des guerres de Religion, incendie en 1680, transformations du XIXe siècle parachevées par la construction du porche néo-roman qui vous accueille. Ne manquez pas de pousser ses portes, vous y admirerez un monumental retable en bois doré ainsi qu'un grand tableau illustrant le martyre de saint Laurent, brûlé vif sur un gril. Le saint patron des rôtisseurs a justement légué son nom au sommet qui domine le centre du bourg : le puy Saint-Laurent. En seulement quelques enjambées, on y rejoint la délicieuse chapelle romane qui en couronne le sommet. Grâce à la table d'orientation voisine, vous vous essaierez peut-être à identifier les sommets cantaliens qui se déploient soudain devant vos yeux : puy Mary, puy Griou, plomb du Cantal... nulle part ailleurs ceux-ci vous sembleront aussi proches et majestueux. Elle, vous ne la verrez qu'en vous rendant sur place : la commanderie de La Salvetat, comme toutes ses homologues, nous renvoie aux temps des croisades et de leurs bras armés, les ordres militaires. Puisant leur origine dans le besoin de la Chrétienté de défendre ses possessions en Terre sainte, quelques-uns de ces ordres acquirent une puissance et des richesses telles qu'elles suscitent encore l'imagination de nos jours. Les commanderies situées en Europe avaient un rôle fondamental puisqu'elles assuraient le financement des armées actives en Orient grâce aux terres agricoles dont elles avaient la charge. Elles assuraient en outre le recrutement et la formation des fameux moines-soldats et prodiguaient les soins à ceux des leurs blessés au combat, et elles offraient refuge aux pèlerins en route vers Jérusalem. Les Hospitaliers furent les maîtres des lieux jusqu'à la Révolution française, et si l'église, devenue paroissiale, et le logis du Commandeur, vendu comme bien national, ont subi maintes adaptations depuis le Moyen Âge, l'ensemble conserve toutefois un certain pouvoir évocateur. Aujourd'hui, les randonneurs ont remplacé les pèlerins et les moines-soldats, à La Salvetat comme à Saint-Mamet. La commune compte en effet pas moins de quatre itinéraires : "La Salvetat", long de 5 km, offre un parcours largement boisé et agrémenté de beaux points de vue. Une partie de son tracé est commune avec "Le Rêtre", l'itinéraire le plus long (14 km), dont le départ se trouve à Saint-Mamet. Au départ de Saint-Mamet, mais se dirigeant vers le nord, "Le Puy-Saint-Laurent" permet de prolonger un peu l'ascension du petit sommet. Si ses 3 km ne vous suffisent pas, optez alors pour "Le Pénard", qui en fait 8, et où vous apprécierez le patrimoine bâti que vous rencontrerez en chemin, en plus bien entendu des occasions de rêver devant la ligne d'horizon que dessinent les monts du Cantal.

15220 Saint-Mamet-la-Salvetat
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾