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Découvrez La croix-sur-roudoule, Alpes-Maritimes

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Bienvenus à La croix-sur-roudoule, nichée dans la magnifique région des Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-Côte d'Azur. Cette charmante ville vous offre un accès exceptionnel à une multitude d'activités et de sites pittoresques. Pour les amateurs de randonnée, les sentiers environnants dévoilent des paysages à couper le souffle, notamment la fameuse boucle de la Vallée de la Roudoule. Aventurez-vous ...Voir plus

Se balader autour de La croix-sur-roudoule

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Circuit de Saint Pons
6.6 km

Circuit de Saint Pons

Etonnante variété de sites pour cette randonnée qui permet de découvrir les hameaux satellites qui émaillent la commune de Daluis. A signaler une curiosité géologique, la Grotte du Chat, qui permet une approche spéléologique. A noter les campagnes du Bez, riches et verdoyantes, véritable décor virginal irriguées par l'ancien canal du Riou. Du parking de l'auberge (670m) au quartier de la Salette, traverser le pont sur le vallon homonyme et, depuis la balise 60, débuter une côte raide jusqu’au réservoir en bordure de la D.96. Par la route ou par le sentier, traverser le quartier des Plans pour rejoindre le quartier St Martin (900m - b.50). Une petite route file vers l’Ouest pour passer à la balise 40, d’où part une piste de terre qui mène à la Grotte du Chat (b.48). La grotte est composée de deux galeries parallèles de 720 mètres de long ouvrant sur un tentaculaire labyrinthe. Son accès est actuellement interdit, une étude Natura 2000 étant en cours. Ce site héberge divers chiroptères ainsi que le “spélerpès de Strinati”, amphibien assez rare. Le cheminement descend légèrement pour traverser le ruisseau de la Clape et le torrent du Riou (898m). Remonter au milieu d’une belle chênaie pour contourner la bergerie de Bez (1093m). Après la grande clairière, longer vers le Sud-Est un canal d’irrigation que l’on quitte à la balise 47 (1100m) pour descendre vers une ruine avant de rejoindre le col de St Pons (1045m - b.46). Ici se trouve la borne n°38 de 1823 avec d'un côté la fleur de lys et de l'autre la croix de Savoie (voir: Frontières du Comté de Nice de Luc Thevenon aux éditions Serre 2005). Le sentier part de suite vers l’Est, pour franchir un mamelon (1115m), puis en restant presque de niveau atteint le haut des Barres de Martignac (1120m). Changement très important d’orientation puisque c’est plein Sud que le sentier assez raide et aérien atteint le pied du bombement de la cime du Content (1145m) en suivant exactement la ligne de partage des eaux qui est la limite départementale entre les Alpes Maritimes et les Alpes de Haute Provence. Une descente assez raide sur la crête, entre la forêt et l’éboulis, conduit vers la balise 45 (980m). Le sentier s'élève sur une pente régulière pour passer le point haut (1020m). Débute alors la descente vers l'Ouest avec deux lacets bien tracés, puis changement de direction vers l'Est jusqu'à une intersection (880m - b.44). Continuer la descente sur ce sentier qui se joue des barres rocheuses grâce à de nombreux lacets qui permettent de rejoindre sans difficulté le pont routier sur le Riou (645m - b.43). En faisant très attention à la circulation, remonter sur près de cinq cents mètres la route D.2202 afin de regagner le point de départ.

4 h
12 km
Difficile
06470 Daluis
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Circuit Riou/Pinée
6.6 km

Circuit Riou/Pinée

Le départ de cette longue randonnée dans le bassin du Riou s'effectue depuis St Martin, hameau supérieur de Daluis. Sur ce site s'élevait vers le XIIème siècle, une abbaye dont les bénédictins venaient de St Eusèbe d'Apt. La famille de Thorame, originaire d'Apt et propriétaire du fief de Daluis, avait doté la haute vallée du Var de plusieurs fondations religieuses de ce type. Le programme complet de cartographie, balisage et entretien est réalisé par le Conseil Général des Alpes - Maritimes auquel le législateur a donné compétence en matière de Plan Départemental de Randonnée ( loi du 22 juillet 1983, complétée par la circulaire du Premier Ministre du 30 août 1988 ). Il a été adopté par l'Assemblée départementale le 22 janvier 2004. Toutes les informations touristiques ont un caractère indicatif et n'engagent pas la responsabilité de la commune et du rédacteur. Il appartient aux usagers de prendre toutes précautions imposées par les conditions locales. Depuis la route D.2202, monter en véhicule par la D.96 au village de Daluis, puis au hameau St Martin. A proximité du quartier St Martin (900m - b.50) prendre la piste menant à la grotte du Chat, la suivre jusqu'au bout et dépasser l’entrée de la grotte. La piste fait place à un sentier (b.48) qui descend jusqu'au torrent du Riou (898m). Au bord du Riou, à l’aplomb de la Grotte du Chat, jaillissent des sources sulfureuses très odorantes, d'une température constante de 16°, non exploitées. Les vertus de ces eaux médicinales sont à redécouvrir, car aucune trace écrite ne subsiste de ce savoir ancien, issu du paganisme et bien ancré dans nos campagnes Traverser le Riou à gué et par une montée commode en forêt, rejoindre les campagnes du Bez (1093m) qu'on contourne pour arriver au canal d'arrosage de Sausses. Parvenu à la balise 47 prendre direction Ouest le sentier qui grimpe vers le col de Mélina. Le sentier monte par quelques lacets jusqu'à une intersection (1200m - b.59). Débuter plein Nord une longue traversée ascendante (3km environ) tantôt dans les bois, tantôt entre les alpages pour trouver la balise 56 (1620m). Ce secteur riche en lavandes était autrefois exploité par les habitants de Sausses, qui marchaient plusieurs heures afin de récolter ces fleurs qu’ils distillaient ensuite. Quitter la direction du col de Mélina, pour prendre à droite (Est) afin de descendre et traverser le haut du torrent du Riou (1540m). S'élever vers le lieu-dit les Routes (1567m) et après une longue traversée, entamer la descente sur le lieu-dit la Pinée (1479m - b.55) via les balises 54a et 54. La pente d’abord faible devient plus raide et, grâce à quelques lacets, permet de rejoindre la balise 53 proche d'un pylône. Tantôt sur la petite route, tantôt sur sentier, le cheminement passe devant la chapelle restaurée de St Martin. Couper deux lacets puis reprendre à droite la route D.96 pour retrouver le point de départ.

5 h
16 km
Difficile
06470 Daluis
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Circuit de Roua
6.6 km

Circuit de Roua

Le col de Roua était jadis la plus importante voie de communication entre Puget-Théniers et Guillaumes. Ce parcours déjà pratiqué par les Romains fut utilisé régulièrement jusqu'en 1883. Le sentier est d’ailleurs toujours classé comme voie départementale. On ne s’étonnera pas d’y trouver d’agréables chemins suffisamment larges pour progresser à deux de front, dans un paysage digne d’un décor de western!! Depuis le parking de l'auberge (670m) au quartier de la Salette , suivre sur la gauche l'ancienne voie pour déboucher sur la route D.2202 en amont du nouveau pont routier. Descendre pour suivre le chemin, puis la petite route qui longe le fleuve Var jusqu'au pont Durandy (654m). Franchir le long et étroit pont et à partir de la balise 103, grimper par de courts lacets sur la crête de Farnet pour s'élever de près de 300 mètres de dénivellation avant de trouver la piste de Liouc (940m - b.106). C’est dans ce quartier qu’en 1954 sont découverts les premiers indices d’uranium des Alpes-Maritimes, les recherches resteront sans lendemain, l’exploitation ne se justifiant pas. Suivre la piste par deux lacets et, dans une épingle à cheveux (b.107), continuer à gauche vers le Nord sur la piste forestière. Passer à la balise (b.108) pour continuer la progression vers l'Est (à droite) sur cette piste qui contourne par le Nord la crête de Farnet supérieure. Parvenu à la balise 109 (1200m) quitter la piste pour emprunter un bon sentier en sous bois qui conduit en contre bas du col (b.251), avant de rejoindre le col de Roua (1264m - b.250) pour découvrir au Sud le large bassin de la Roudoule. Retourner à la balise 251 et filer vers le Nord par un sentier qui ramène à la piste (1217m - b.141). Cheminer tantôt en descente, tantôt en montée en dominant le plateau de la ferme isolée de Roua. Cette ferme a longtemps été une étape pour les muletiers empruntant cet itinéraire qui était le seul à relier Puget-Théniers et Guillaumes. On atteint ainsi sans peine le croisement de la balise 140 (1300m). S’engager ici dans une descente soutenue vers le Var, dans l’adret du ravin de Roua. Peu avant le fleuve (730m - b.110), franchir le vallon de Talon (700m) et remonter dans les terres rouges. Sur le premier mamelon, emprunter tout de suite à droite un parcours sur sentier non balisé dans le quartier des Varzelles qui reste presque de niveau, et évite ainsi de remonter vers le hameau de Liouc. Retrouver, à partir de la crête de Farnet, l’itinéraire suivi à l’aller pour redescendre au pont Durandy et regagner le point de départ.

5 h
22 km
Moyen
06470 Daluis
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Circuit de Giordanet
6.6 km

Circuit de Giordanet

Ce splendide circuit au cœur des terres rouges, se déroule à travers l'un des paysages les plus insolites du secteur. Le cheminement remet en mémoire le passé minier, qui fut une richesse pour l'emploi et l'économie de cette contrée. On remarquera les gisements de cuivre, à la base de la falaise de grès blanc du Trias, sous la tête de Giordanet. Le programme complet de cartographie, balisage et entretien est réalisé par le Conseil Général des Alpes - Maritimes auquel le législateur a donné compétence en matière de Plan Départemental de Randonnée ( loi du 22 juillet 1983, complétée par la circulaire du Premier Ministre du 30 août 1988 ). Il a été adopté par l'Assemblée départementale le 22 janvier 2004. Toutes les informations touristiques ont un caractère indicatif et n'engagent pas la responsabilité de la commune et du rédacteur. Il appartient aux usagers de prendre toutes précautions imposées par les conditions locales. Depuis le parking de L'auberge (670m) au quartier de la Salette, suivre sur la gauche l'ancienne voie pour déboucher sur la route D.2202 en amont du nouveau pont routier. Descendre en face, près de la fontaine, pour suivre le chemin, puis la petite route qui longe le Var jusqu'au pont Durandy (654m). Franchir le long et étroit pont pour, à partir de la balise 103, grimper par de courts lacets sur la crête de Farnet. S'élever de quelques 300 mètres de dénivellation pour traverser la piste du Liouc (940m - b.106). Rejoindre peu après les dernières maisons du quartier du Liouc à un carrefour important de sentiers (980m - b.105). Prendre vers l'Est le sentier qui remonte par la rive droite du ravin de Castel (sans aller jusqu’au bout de la piste qui conduit à un captage) afin de le traverser (1146m). S'élever par un large crochet vers les barres rocheuses caractéristiques des Castels (1185m) en restant sur la rive gauche du ravin de Castel. Ce toponyme est facile à expliquer, puisque très souvent les formes rocheuses de ces sites leur donnent un aspect de château; parfois ce fut le lieu de fortifications précaires pour nos lointains ancêtres. Le sentier toujours ascendant conduit au collet de Larmelle (1344m - b.252) qui est le terme d'une piste de terre montant de Léouvé. Le sentier côtoie cette piste à la descente sur près de 200 mètres jusqu’à la balise 252a (1310m) où l’on bifurque à gauche Une traversée vers le Nord passe sous les barres rocheuses de la Tête de Giordanet, afin de déboucher sur le stratégique col de Roua (1284m - b.250). Les anciennes galeries d’exploitation du minerai, activité qui se prolongea jusqu’à la fin du XIXème siècle, se repèrent, avec un oeil exercé, par des déblais importants qui dominent le sentier du Liouc à Roua. Continuer quelques mètres vers le Nord pour trouver la balise 251, s’engager vers l’Ouest (à gauche) pour cheminer à travers une superbe futaie de pins et un frais sous-bois de noisetiers jusqu’à une piste forestière (b.109). Suivre cette piste qui se déroule sur le versant Nord de la crête supérieure de Farnet pour regagner le quartier du Liouc via les balises 108, 107 et 106. Retrouver le sentier utilisé à l’aller pour regagner le parking.

5 h
14 km
Difficile
06470 Daluis
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Sentier les Moulins d'Entrevaux
6.6 km

Sentier les Moulins d'Entrevaux

Face à la citadelle et aux remparts, le sentier d’interprétation et l’application des moulins d’ Entrevaux vous entraînent à la découverte physique et virtuelle du patrimoine naturel et rural du village. De l'office du tourisme, prendre à droite la montée de la porte royale, puis à gauche, l'avenue Vauban. Descendre en direction de la gare. Face à vous, emprunter une piste goudronnée qui s'élève en direction du moulin à huile d'olive. Un panneau vous indique : "Accès piéton par les moulins à huile et à farine"et une balise jaune mentionne le départ de circuits de randonnées. Vous arrivez alors au panneau : "au moulin à huile". Continuez à monter et rejoindre la route du clos de Félines. De l'autre côté, admirer alors le lavoir, un panneau intitulé "au lavoir" vous présente cet ancien lieu de vie des années 50. Tourner à droite, et s'engager dans une petite impasse . Gravir les quelques marches qui passent devant l'entrée du gîte du Meunier. Le gîte possède une petite terrasse extérieure. Continuer à monter et gagner sur votre droite une autre petite terrasse. Un panneau "le belvédère du canal" est visible au niveau de la façade du gîte. En profiter pour admirer la vue sur la vieille ville et la citadelle. De cette terrasse, rejoindre la route du clos de Félines derrière vous et redescendre au village. En revenant, vous traverserez le pont qui enjambe la Chalvagne avec son aqueduc. Juste après ce pont, sur votre gauche, vous trouverez deux panneaux d'interprétation : l'usine électrique et la Chalvagne. De là, regagner le bureau de l'office du tourisme par la place Louis Moreau.

1 h
1.1 km
Très facile
Office du tourisme 04320 Entrevaux
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Parcours patrimonial de la vieille ville
6.6 km

Parcours patrimonial de la vieille ville

1 Porte Royale, Redoute à Machicoulis Entrée principale du village depuis 1658 avec redoute à mâchicoulis du 18ème siècle percée d’ouvertures côté route. Les mâchicoulis permettaient de jeter toutes sortes de projectiles sur les assaillants. 2 Pont-levis et tours En 1690, 2 tours arrondies sont construites de part et d’autre du pont ainsi qu’une bretèche à mâchicoulis située au-dessus recevant les 2 flèches du pont-levis, dit « à bascule », relevé la nuit jusqu’à milieu du 19ème siècle. 3 Corps de garde Cette vaste pièce permettait autrefois aux soldats assurant la garde de l’entrée du village, de communiquer avec le chemin de ronde. 4 Prison Cette salle de police permettait d’isoler les suspects, petits délinquants ou bien servait de salle de « dégrisement ». 5 Hôtel du Commandant de la Place Résidence de l’officier qui commandait la place forte ou gouverneur. Porte monumentale à deux vantaux avec imposte vitrée, génoise à triple rang et angles des toits arrondis symbolisant les habitations de la noblesse. 6 Tour bastionnée de la Portette Ce bastion et celui de la caserne étaient des tours d’artillerie. La toiture, tout à fait exceptionnelle dans les constructions de Vauban de cette époque, caractérise ces deux bastions. 7 Balcon du 17e siècle Balcon en fer forgé caractéristique des habitations de la noblesse. Cet hôtel fut celui des Comtes de Grasse Briançon. Il a été remanié mais il montre cependant le peu de fortune de la noblesse rurale. 8 Hôtel des Barons de Glandèves Les Glandèves, furent seigneurs d’Entrevaux jusqu’en 1542 et conservèrent cet hôtel jusqu’à la Révolution. Génoises à triple rang, vastes et nombreuses fenêtres, escalier monumental, cet hôtel a été transformé en caserne en 1823. En avant, côté rempart se situe le « bastion de la caserne ». 9 École de la Charité Dites « Ecoles des Frères », elles ont été créées au 17e siècle pour l’instruction des garçons. Elles ont servi de caserne sous la révolution. 10 Cathédrale Construite de 1604 à 1667, de style gothique provençal avec coeur baroque, elle est dédiée à « Notre-Dame de l’Assomption ». Située à l’extrémité orientale de la ville elle est intégrée aux fortifications depuis la fin du 17ème siècle. 11 Porte d’Italie Point classique des attaques, dont celle des troupes de Charles-Quint en 1536. Cette porte, point faible, fut puissamment fortifiée par Vauban : corps de garde avec échauguette (dont il ne reste que des traces), pont-levis, bouches d’artillerie. 12 Double corne Ce rempart (de forme triangulaire en M) protégeait le premier pont-levis, lui-même surplombé par un mur de tirailleurs et le fort Pandol. Le chemin dit « des oliviers » conduisait en Italie et était une voie d’invasion pour les troupes savoyardes. 13 Chapitre des chanoines Les chanoines assistaient l’évêque dans ses fonctions. La porte est de style renaissance, sur les pieds droits sont sculptés des éléments en forme de quille. 14 Palais épiscopal Résidence de l’évêque intra-muros. Notez la génoise à triple rang, la porte à deux vantaux surmontée d’une imposte vitrée, les grandes fenêtres. Les Evêques appartenaient tous à la noblesse. 15 Porte Renaissance Belle porte du 15e siècle, avec linteau de pierre en accolade (fin du gothique, début renaissance). 16 Tour de l’horloge Avec son campanile en fer forgé, classique en Provence. 17 Four banal Les fours à pain étaient en général la propriété des seigneurs, leur utilisation était soumise à redevance, d’où leur nom. Les particuliers qui possédaient un four devaient quand même acquitter un droit au seigneur. 18 Échoppe médiévale Caractérisée par les deux présentoirs à marchandise des deux côtés de la porte. De nombreuses échoppes ont été transformées, vous en retrouverez les traces au fil des rues. 19 Ancien hospice St-Jacques Au moyen âge, l’hospice était à la fois hôtel pour les voyageurs et établissement de soins pour les malades. Il a servi d’hôpital jusque dans les années 1960. 20 Porte de France Avec pont-levis à bascule et corps de garde attenant. 22 Salle d’armes Magasin de réserve, armurerie. 23 Accès à la citadelle et au musée de la Poudrière Pour atteindre la forteresse : 25 minutes de marche, 800 m de chemin répartis en 9 rampes successives, 156 m de dénivelé. Le musée de la poudrière retrace l’histoire militaire du village, ces 58 m2 pouvaient contenir 9 tonnes de poudre. Ce qui était beaucoup trop pour Entrevaux et extrêmement dangereux.

1 h
915 m
Très facile
04320 Entrevaux
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Tête de Pibossan
6.6 km

Tête de Pibossan

Objectif peu couru, car en partie finale hors sentier, la Tête de Pibossan offre un panorama inoubliable sur la moyenne et haute vallée du Var. On pourra ainsi découvrir, en cheminant en crête, les territoires des deux chefs-lieux de canton Puget-Théniers et Guillaumes. Ce point dominant est maintenant équipé d'une grande antenne-relais. Le programme complet de cartographie, balisage et entretien est réalisé par le Conseil Général des Alpes - Maritimes auquel le législateur a donné compétence en matière de Plan Départemental de Randonnée ( loi du 22 juillet 1983, complétée par la circulaire du Premier Ministre du 30 août 1988 ). Il a été adopté par l'Assemblée départementale le 22 janvier 2004. Toutes les informations touristiques ont un caractère indicatif et n'engagent pas la responsabilité de la commune et du rédacteur. Il appartient aux usagers de prendre toutes précautions imposées par les conditions locales. Depuis le parking de l'auberge (670m) au quartier de la Salette, suivre sur la gauche l'ancienne voie pour déboucher sur la route D.2202 en amont du nouveau pont routier. Descendre en face, près de la fontaine, pour suivre le chemin, puis la petite route qui longe le Var jusqu'au pont Durandy (654m). Franchir le long et étroit pont qui mène à proximité de la maison du Chaudan, et, à partir de la balise 103, grimper par de courts lacets sur la crête de Farnet. S'élever de quelques 300 mètres de dénivellation pour traverser la piste de Liouc (940m - b.106). Monter aux premières maisons du hameau de Liouc que le sentier traverse. A la balise 105 (980m) prendre vers l'Est le sentier en écharpe qui longe la rive droite du ravin de Castel afin de le traverser (1146m). 'élever par un large crochet vers les barres rocheuses des Castels. Puis le sentier grimpe paisiblement jusqu’au collet de Larmelle (1344m - b.252). Bifurquer vers le Sud-Ouest, par un cheminement assez évident sur la croupe, pour s’élever en bordure d’un bois jusqu’à la bergerie (1450m) dominant une charrmante combe herbeuse. La progression se poursuit en restant sur la ligne de partage des eaux pour découvrir tout d’abord la crête de la Lare (1556m) et quelques centaines de mètres plus loin le point culminant à la Tête de Pibossan (1620m). A partir d’un point précis de cette crête (vers la cote 1500) on peut apercevoir à la fois les villages de Guillaumes et de Puget-Théniers. Du sommet descendre Sud-Est, hors sentier, la crête de la Grau jusqu'à retrouver après plus de 400mètres de dénivellation négative le sentier d'Amarines (1180m - b.241). Celui-ci traverse tout le flanc de Pibossan pour gagner et traverser le village de Saint Léger (1050m) via les balises 242 et 247. L’itinéraire emprunte ensuite la piste de Panegière qui se rétrécit en sentier pour franchir la crête de la Faye (1044m - b.102). Amorcer la descente dans le bois de la Faye et par de nombreux lacets, déboucher sur la piste de la Faye (b.101) avant de franchir le pont sur le Var (636m - b.100). Pour regagner le point de départ emprunter sur près d’un kilomètre la route D.2202 en faisant très attention à la circulation.

7 h
18 km
Difficile
06470 Daluis
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Que faire à La croix-sur-roudoule

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Fort de Savoie
29 km

Fort de Savoie

Le Fort de Savoie est un superbe ouvrage militaire du 17° siècle. Dans les salles autrefois utilisées par les soldats de la garnison, vous découvrirez l'exposition permanente "Histoire(s) d'un fort" mais aussi la projection immersive "Le récit de Vauban" Suivez la mascotte de l'exposition Claude Du Puy soldat à l'époque de Louis XIV, à la découverte du fort et de son histoire. Des panneaux pédagogiques abordent différents thèmes, dont les étapes de sa construction, qui susciteront votre curiosité. Ce parcours s'achève par une spectaculaire exposition immersive intitulée "Le récit de Vauban" permettant de vivre une expérience unique et de se laisser porter au cœur de l’histoire ! Véritable plongeon dans le passé, ce spectacle multimédia transporte les visiteurs dans le temps et l’espace à la découverte des moments forts qui ont marqué l’histoire de Colmars-les-Alpes et de ses fortifications. La salle de garnison devient une surface de projection grand angle donnant la part belle aux paysages, aux scènes de vie, à la construction des forts…5 projecteurs lasers, un dispositif sonore 5.1, Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban, qui reprend vie et s’adresse aux spectateurs…Un spectacle bluffant d’une durée de 20 minutes qui donne les clés de compréhension de la cité fortifiée et facilite sa découverte. « Une expérience globale de haut niveau : historique, poétique, festive, porteuse de sens et créant du lien… » Le fort accueille périodiquement des animations festives et culturelles : concerts, spectacles, soirées théâtre, conférences, fête médiévale, escape game ! Attention il peut être fermé en fonction des évènements qui s'y déroulent : Contactez l'Office de Tourisme avant de vous déplacer.

quartier Sainte Anne 04370 Colmars
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Que visiter à La croix-sur-roudoule

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Les fortifications d'Entrevaux
6.6 km

Les fortifications d'Entrevaux

La muraille d'enceinte d'Entrevaux est ponctuée de trois portes, d'une portette, ainsi que de deux fortes tours bastionnées adaptées à l'artillerie. La porte principale est précédée d'un pont franchissant le Var et d'une avant-porte ou redoute. Même s'il est établi qu'une muraille d'enceinte existait au XIV°siècle dont il ne reste plus trace visible, nous ne disposons pas en revanche d'informations précises relatives à l'édification d'une muraille défensive pour le village. Un dessin réalisé vers 1580-1590 par un espion-topographe à la solde des Etats savoyards montre sur le front sud/sud-est, non protégé par l'escarpement naturel, une muraille d'enceinte avec courtines et tours de flanquement, qui se prolonge vers le château, situé en contrehaut du bourg. A cette date, le village dispose de deux tours-portes sans pont-levis. L'introduction d'une nouvelle cathédrale vers 1624, intra muros, nécessita de repousser les limites de l'enceinte vers l'est, et entraîna l'édification d'une troisième tour-porte. L'évolution principale et l'impulsion décisive découle des travaux de renforcement et d'édification consécutifs à la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697) qui opposa le duc de Savoie à la France. S'ensuivirent des travaux de renforcement selon les plans de l'ingénieur militaire Antoine Niquet, directeur des fortifications de Provence, comme la réfection partielle du front sud de l'enceinte. Vauban, lors d'une tournée d'inspection dans les Alpes à l'automne 1692, rédigea un projet relatif aux fortifications d'Entrevaux, qui n'aboutit pas, hormis pour quelques réalisations, notamment le renforcement du front est, le plus exposé, insuffisamment défendu par les travaux relatifs aux recommandations de Niquet. Le séjour effectif de Vauban à l'automne 1700 s'avéra plus fructueux. Le second mémoire daté à Entrevaux du 5 novembre 1700 proposait en effet d'étoffer la défense par une muraille d'enceinte avec chemin de ronde, sur les fronts sud-ouest et ouest, agrémentée au-devant de la Porte de France, de l'autre côté du Var, d'un vaste ouvrage avec caserne destiné à protéger la ville par le devant, jamais réalisé. Le lieutenant général des fortifications préconisa également de mettre en place un bastion à usage de batterie d'artillerie hors-les-murs dans la pente, au nord. L'ensemble, accompagné d'une rampe d'accès au château, devait composer une véritable citadelle. Tout ne put être réalisé, et ce qui le fut ne suivit pas exactement les plans de Vauban. Ainsi la rampe d'accès au château ne fut-elle achevée qu'en 1746. En réalité le XVIII°siècle ne toucha pas au système défensif de façon notable. Les dépenses se limitèrent à des réparations jusqu'au début du XIX°siècle. La Restauration constitue l'ultime étape des aménagements militaires, sous la direction du capitaine du génie Brusco, dernier ingénieur royal en résidence à Entrevaux. On notera la réalisation de certaines préconisations de Vauban, comme l'achèvement de l'enceinte de la ville sur le front ouest/sud-ouest, la mise en place de traverses le long de la rampe d'accès au château à partir de 1829 ou encore la transformation de l'ancien hôtel des barons de Glandevèz en caserne. On n'observe ensuite plus de modifications d'importance. Le 10 août 1853 Entrevaux fut même déclassée en place de 2e série. En 1913 la caserne dite de Bois-Gérard fut agrandie, mais le départ du personnel militaire en 1922 puis le déclassement militaire de la place d'Entrevaux officialisé par décret du 30 novembre 1928 signifiait la fin d'une époque. Le 2 juillet 1930 la municipalité d'Entrevaux acheta à l'administration des domaines l'ensemble des anciens terrains, ouvrages et bâtiments militaires pour la somme de 41 616 francs. Il fut dès lors question de la protection de l'ensemble architectural : l'arrêté du 28 février 1944 confirma son classement au titre des Monuments Historiques. Il fallut pourtant attendre quarante ans avant que ne soient entrepris des travaux de restauration, sous la direction de l'architecte en chef des Monuments historiques Francesco Flavigny, pour le château et quelques éléments de l'enceinte comme la restauration de la Porte royale. Ils se poursuivent aujourd'hui. source : Inventaire général du Patrimoine culturel Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

04320 Entrevaux
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Moulin à farine
6.6 km

Moulin à farine

Le moulin à farine, avec ses meules en pierre et ses machineries, est un témoignage du patrimoine agricole d’Entrevaux. En 1542, les habitants d'Entrevaux se libèrent de la tutelle du duc de Savoie et offrent leur ville à la protection du roi de France. En guise de récompense, la communauté d'Entrevaux est exemptée de toute charge ou impôt, et conserve notamment la jouissance des revenus des moulins. Un acte notarié du 25 mai 1546 établit les fondements des droits d'eau concernant le canal du moulin, ce qui indique qu'un moulin se trouve déjà à cet emplacement au XVI° siècle.Le bâtiment actuel ne date probablement que de la fin du XVIII° siècle. Il a été partiellement surélevé en 1894-1895. Situé dans une zone de forte pente, l'essentiel des installations se trouvent donc en étage de soubassement, dans un premier vaisseau perpendiculaire au sens de la pente. Dans ce vaisseau, voûté en berceau, se trouvent le blutoir puis, au fond, dans une partie surélevée, les deux paires de meules. Sous chaque paire de meules se trouve encore une roue hydraulique horizontale, mise en mouvement par une chute de près de 5 m. Parallèle au premier vaisseau, le second est beaucoup moins profond. Il est dépourvu d'installation de meunerie. Au-dessus de cet espace se trouve un logis construit en rez-de-chaussée surélevé et couvert d'un toit à deux pans. L'ensemble de la maçonnerie est en moellons de calcaire. source : Inventaire général du Patrimoine culturel Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

04320 Entrevaux
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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾