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Nichée dans le 9e arrondissement de Marseille, la Provence-Alpes-Côte d'Azur dévoile ses trésors autour de MARLY PARC SAS. Commencez par une visite du Parc National des Calanques, où randonnées et vues panoramiques sur la Méditerranée vous attendent. Explorez la splendide crique d’En-Vau, idéale pour la baignade et le snorkeling. Non loin de là, le charmant Vallon des Auffes offre une plongée dans...Voir plus

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Randonnée Fontaine de Voire et sommet de l'homme mort
1.1 km

Randonnée Fontaine de Voire et sommet de l'homme mort

Cette randonnée difficile vous fait découvrir plusieurs sites comme la fontaine de Voire, la grotte Dechaux, le sommet du plateau de l'homme mort et le bois de la Selle. Les sentiers sont raides, mais les efforts sont récompensés par une sublime vue panoramique à 360° et la découverte de lieux moins connus par les randonneurs. L’accès au point de départ de la randonnée se fait avec un bus régulier de la RTM (ligne 23). Descendez à l’arrêt « centre commercial Sormiou ». Après avoir effectué quelques pas, empruntez à droite le boulevard Louis Pierotti. Marchez toujours tout droit jusqu’à atteindre une barrière verte qui marque le début d’une piste DFCI. Contournez-la et continuez toujours tout droit en suivant des marques de couleur rouge qui font traverser le vallon boisé de la Jarre (1). Jusqu’à ce que vous atteigniez la fontaine de Voire (2). Vous entamez votre première montée dans une gorge étroite qui débouche sur une clairière en forme de petit cirque. Prenez sur la gauche et suivez les marques de couleur jaune qui vous entraînent sur un chemin qui grimpe encore un peu plus durement. Il contourne une barre rocheuse sur laquelle on aperçoit deux grands orifices. Il s’agit de la grotte Dechaux (3). Continuez votre ascension. A mi-hauteur vos efforts sont récompensés par une vue dégagée sur l’archipel du Frioul, les plages du Prado, le parc Borély, l’Orange Vélodrome et Notre-Dame de la Garde. En arrivant au point culminant de cette montée, vous bénéficiez d’une bonne vue sur le quartier de la Cayolle, la station d’épuration, et au loin le Mont Puget et au-delà le Mont Carpiagne. Sans oublier encore plus loin les falaises Soubeyranes à Cassis. L’itinéraire continue et vous emmène vers le prochain raidillon. Au croisement, prenez à droite, pour rester sur le sentier jaune. Vous atteignez une hauteur qui offre toujours une belle vue sur les quartiers de la Cayolle et de la Panouse, et plus généralement sur toute la partie Est de Marseille. En poursuivant, la vue se dégage encore et permet de situer par exemple le Mont Puget, la Grande Candelle, les Falaises de Devenson et tout au loin, le Cap Sicié. Vous quittez la hauteur pour slalomer entre des pins qui forment un rafraîchissant sous-bois et dans lequel vous croisez un sentier marqué par une trace verte. Restez sur le jaune qui remonte rapidement et permet de voir le début de votre itinéraire de randonnée, et notamment le sentier bien raide qui contourne la grotte Dechaux. La récompense ultime n’est plus très loin. Le sentier jaune rejoint le sentier bleu pour vous conduire vers le sommet Ouest du plateau de l’homme mort (4). C’est le moment de sortir votre sandwich de votre sac à dos et de vous accorder une pause. La vue est à couper le souffle. Cette fois-ci vous avez atteint le toit des Calanques. Faites un 360 sur vous-même pour balayer du regard votre environnement. Aucun sommet ne pourra vous échapper : le Garlaban, le Mont Carpiagne, le Mont Puget, le Pic de Bertagne qui domine le massif de la Sainte-Baume tout au loin (surmonté d’une coupole blanche qui abrite une station radar et radio), la Grande Candelle, les îles qui forme l’archipel de Riou et le sommet de Marseilleveyre. Quittez le plateau en suivant les marques de couleur bleue. La randonnée vous fait descendre un ressaut rocheux. Par endroit la roche calcaire est lisse et des gravillons peuvent vous faire glisser dans ce passage délicat. Aidez-vous de vos mains pour descendre prudemment. Quelques mètres avant le col de la Selle, dans un endroit arboré, quittez le sentier bleu pour suivre maintenant les marques de couleur verte qui vous font descendre à droite en direction du bois de la Selle. Le prochain point de repère sera un croisement au milieu du bois de plusieurs sentiers (noir, rouge, vert et jaune). Poursuivez votre descente en suivant les marques de couleur jaune et rouge. Le rouge est la dernière couleur qui vous ramène vers le point de départ de cette belle boucle. Ne ratez donc pas la dernière fourche, là où les marques jaunes et rouges se séparent. Une dernière petite montée offre une belle vue en encorbellement sur l’archipel du Frioul, le port de la Pointe-Rouge, les espaces boisés de la Campagne Pastré et notamment sur le château Pastré (5). Un peu plus loin un mur vous intriguera peut-être (6). Petit coup d’œil sur la montagne de l’Aigle (située entre le mur et la ville). Vous passez entre deux cairns et continuez votre descente en direction de la fontaine de Voire. Belle vue sur la grotte Dechaux et sur la baume de la fontaine de Voire. Vous retrouvez le début du sentier emprunté tantôt. Reprenez-le en sens inverse pour terminer la randonnée.

3 h
7.3 km
Moyen
122 chemin de Sormiou A l'arrêt de bus "Centre Commercial Sormiou" 13009 Marseille
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Randonnée de Luminy au belvédère de Sugiton
2.7 km

Randonnée de Luminy au belvédère de Sugiton

Balade facile vers le belvédère de Sugiton qui permet d'embrasser du regard une grande partie des Calanques. Balade adaptée à une poussette tout terrain. Idéal pour les marcheurs qui n’aiment pas les grands écarts de dénivelés ou qui n’ont que peu de temps, et qui veulent tout de même découvrir les Calanques à pied. Quel que soit le moyen de transport que vous allez utiliser (bus, vélo ou voiture), la randonnée démarre devant une barrière qui donne accès au domaine de Luminy. Avez-vous emporté suffisamment d’eau ? Non ? Alors profitez de la fontaine qui se trouve à quelques mètres derrière vous, sous les arbres pour remplir votre gourde. La randonnée démarre au cœur du campus de Luminy. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le domaine de Luminy passe sous la propriété de l’État. Tout en préservant le caractère naturel du lieu, c’est dans les années 1960 qu’un campus est aménagé en son centre, tandis que ses zones périphériques sont cédées à la Ville de Marseille en 1963 pour accueillir des structures de loisirs et de détente. Conçu par René Egger, architecte officiel de la ville, le campus s’inspire des modèles anglo-saxons pour s’adapter aux contraintes du site, entre patrimoine naturel et relative isolation. L’École d’art et d’architecture, avec ses patios, galeries, calades et pilotis, a été reconnue patrimoine du XXe siècle en 2007. Depuis septembre 2023 l’école nationale supérieure d’architecture (ENSA) a quitté son site historique, inauguré en 1968. Les 7000m² disponibles se cherchent une nouvelle vocation. Aujourd’hui, l’ensemble des installations accueille environ 10 000 personnes, dont étudiants, professeurs, chercheurs et entrepreneurs. Au départ de la randonnée, on traverse un bel espace boisé abritant des arbres centenaires. Autrefois, Luminy et Sugiton faisaient partie d’un même domaine forestier et agropastoral. Le sentier, qui monte légèrement, culmine au col de Sugiton. Ensuite, on bifurque à droite et la piste (1) vous emmène au pied du belvédère, où elle se termine. La récompense est une vue panoramique (2) à 360° sur les Calanques, le Cap Canaille, le hameau de pêcheurs de Morgiou (3), l’archipel de Riou qui dépasse au-dessus des crêtes, le Mont Puget, la falaise des toits (4) et la beauté infinie de la mer Méditerranée. En période de contingentement de la Calanque de Sugiton, cet itinéraire reste accessible et n’est pas concerné par la réservation d’accès. Pour le retour, il suffit de faire le même itinéraire en sens inverse.

5 km
Très facile
5 171 avenue de Luminy 13009 Marseille
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Balade urbaine : une véritable coulée verte entre les quartiers de Saint-Giniez, Bonneveine et Mazargues
3.2 km

Balade urbaine : une véritable coulée verte entre les quartiers de Saint-Giniez, Bonneveine et Mazargues

Cette balade que l’on peut aussi bien parcourir à pied qu’en vélo fait découvrir des quartiers marseillais, qui abritent quelques sites qui méritent le détour. Le parcours est particulièrement agréable quand il fait chaud car il est ombragé. Le point de départ se situe à hauteur d’un pont, au début de l’impasse René Magnac (1). Vous longez le complexe sportif qui porte le nom de l’ancien président du club de l’ASPTT qui a beaucoup œuvré pour son développement. Vous débouchez sur l’avenue de Mazargues et continuez sur une partie plus verdoyante, jusqu’à atteindre l’arrière du bâtiment qui abrite le Ballet National de Marseille (2) et le parc Henri Fabre (3). Continuez toujours le long du lit originel du fleuve Huveaune pour gagner l’entrée principale du parc Borély (4). Admirez la vue sur le château (5). Franchissez les grilles et poursuivez votre chemin sur la gauche pour rejoindre la roseraie. Passez sous l’imposant et majestueux platane afin de rejoindre l’île de l’ancien établissement le « Pavillon du Lac ». Quittez l’île pour vous diriger vers l’entrée du jardin botanique (6). Si vous avez fait le nécessaire pour réserver votre entrée, (elle est gratuite mais obligatoirement sur réservation), le dépaysement est total. Après ce détour, passez devant la fontaine de l’Homme aux Oiseaux pour atteindre l’aire de jeux dédiée aux enfants. Un portillon permet de quitter le parc Borély pour accéder à l’avenue Clot-Bey. Traversez l’avenue et continuez votre route dans l’étroite traverse Paul qui zigue zague entre les propriétés. Les murs de clôture protègent du regard de belles demeures. Vous débouchez finalement sur la rue Albert Dubout et au bout, descendez sur la droite, le long de l’avenue d’Haïfa. Vous atteignez le [mac ]musée d’art contemporain (7) et le Pouce de César (8). Par l’avenue de Hambourq vous accédez ensuite au parc central de Bonneveine (9) où l’on retrouve également quelques œuvres monumentales d’art contemporain. Poursuivez à travers le parc pour longer les terres de la société d’horticulture et du parc Bortoli (10). Vous avez atteint la fin du parcours. Plusieurs options s’offrent à vous : Continuez la visite pour découvrir le quartier de Mazargues, prenez les bus 22/22S qui vous permettent de regagner le rond-point-du-Prado ou prenez le bus 45 qui vous rapproche du bord de mer, du quartier de la Pointe-Rouge et de la campagne Pastré.

2 h
4.6 km
Très facile
88 Boulevard Michelet Au début de l’impasse René Magnac 13008 Marseille
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Que faire à MARLY PARC SAS

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1 journée à vélo : visite de Marseille et baignade dans les Calanques
6.6 km

1 journée à vélo : visite de Marseille et baignade dans les Calanques

Profitez d’une journée de détente pour visiter le centre ville de Marseille et partir à la découverte des Calanques ! Au programme : monuments, baignade et cuisine traditionnelle ! CETTE RANDONNÉE À VÉLO DE 30KM VOUS EMMÈNERA SUR LES PLUS BELLES PLAGES ET LES PLUS JOLIES CRIQUES DES CALANQUES ! Débutez votre tour commenté par la découverte de l’incroyable Abbaye Saint Victor puis des quartiers pittoresques de la cité phocéenne. Pédalez jusqu’au Palais de Pharo qui surplombe la mer et offre une vue exceptionnelle. Le Vallon des Auffes, petit port perché pittoresque, vous enchantera avec ses nombreux cabanons, cafés et restaurants ! Poursuivez votre randonnée à vélo en passant par la Corniche Kennedy, les magnifiques plages du Prado et le petit port de pêche de Madrague Montredon ! Vous aurez le temps pour vous restaurer sur le port de Goudes (selon programme). Puis, repartez en direction de la presqu’île de Cap Croisette situé au cœur de l'archipel de Riou au cadre dépaysant. Baignez-vous dans la Calanque de la Maronaise puis visitez le petit port de la Calanque de Callelongue qui vous charmera par son relief et son eau cristalline. Terminez votre randonnée à vélo en traversant le parc Borelli et en admirant la fameuse basilique Notre Dame de la Garde, aussi appelée Bonne Mère ! Cette journée à vélo à travers les plus beaux sites de Marseille et des Calanques vous laissera de beaux souvenirs entre baignade, panoramas, cuisine et charme local !

rue Plan Fourmiguier 13007 Marseille
Réservez à partir de 76 EURRéservez
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Basilique Notre-Dame de la Garde
5.6 km

Basilique Notre-Dame de la Garde

Notre-Dame de la Garde " La Bonne Mère ", figure emblématique de la ville veille sur les marins, les pêcheurs et tous les Marseillais. Lors de votre séjour à Marseille, plusieurs jours ou simplement un weekend, allez lui rendre visite et admirez du haut de la colline, le panorama qui s'offre à vous. Un point de vue unique sur la ville, le Vieux-Port, le quartier du Panier, les îles du Frioul et d'If, le Nord de Marseille, les quartiers de la plage et les collines qui encerclent Marseille. La colline de la Garde (154 m) a toujours été un poste d'observation. On dit traditionnellement que la vigie existe depuis les temps préhistoriques et plus sûrement depuis l'époque romaine. Au XVe siècle une ordonnance de Charles II d'Anjou inscrit la colline de la Garde dans la liste des relais. Ce système de vigie va s'améliorer au fil des siècles et la fonction perdurera sur la colline jusqu'en 1978. Pour protéger Marseille des armées de Charles Quint par le Connétable de Bourbon, François Ier fait construire un fort en 1524 au sommet de la colline, qui constitue avec le château d'If à l'entrée du port, une défense maritime dont la ville était dépourvue. De nos jours, on peut encore constater la présence du fort servant d'assise à la basilique actuelle et deviner (de nos jours, elle est pratiquement effacée) au-dessus du porche nord la signature l'emblème du Roi : une salamandre. Mais la colline de la Garde prend toute sa signification : signal sacré, signal urbain, dans la construction de la basilique en 1853. Désormais la silhouette de l'édifice devient indissociable de l'image de Marseille. Cependant plusieurs églises chapelles ont précédé sa construction. La première en 1214, quand un ermite, maître Pierre, reçoit l'autorisation de construire sur ce terrain appartenant à l'abbaye Saint-Victor. A partir du XVIe siècle la chapelle se transforme peu à peu en un centre de dévotion des marins. De cette époque datent les premiers ex-voto qu'ils viennent y déposer. Ainsi la colline de la Garde a-t-elle dès lors une triple vocation: un poste de vigie, un ouvrage militaire, un lieu de culte et de pèlerinage. Au milieu du XIXe siècle, le sanctuaire s'avère trop petit pour les nombreux pèlerins qui le visitent. Monseigneur de Mazenod décide d'y construire une grande basilique Notre-Dame de la Garde. La première pierre est posée le 11 septembre 1853, les travaux sont confiés à l'architecte Espérandieu et la consécration a lieu le 5 juin 1864. De style romano-byzantin : coupoles, polychromie des pierres, ors, mosaïques, la basilique répond parfaitement au programme des grandes constructions entreprises à Marseille sous Napoléon III. L'édifice se compose de deux parties : une église basse, crypte voûtée qui abrite notamment un crucifix polychrome datant de l'église la chapelle du XVIe siècle, une " Mater Dolorosa " terre cuite de Carpeaux, une église haute, le sanctuaire, consacrée à la Vierge (fête et pèlerinage le 15 août) où abondent les mosaïques à fond d'or et les marbres polychromes lui donnant l'aspect d'un reliquaire. A signaler : les portes de bronze et le maître-autel dessinés par Révoil, co-architecte de la basilique, une Vierge en argent de Chanuel, une " Annonciation ", bas-relief en faïence polychrome, oeuvre florentine du XVIe siècle. La présence de nombreux ex-votos ex-voto exposés sur les murs, suspendus entre les piles de la nef, constitue une véritable collection d'art naïf, chronique attachante de la société marseillaise, témoins éloquents de la foi populaire, dédiés à celle que les Marseillais de toutes confessions désignent comme " la Bonne Mère ". Le campanile supporte une statue monumentale de la Vierge. Elle fut confiée au sculpteur Lequesne, exécutée en bronze doré à la feuille d'or par les ateliers Christofle à Paris, et mise en place en septembre 1870. Depuis l'esplanade, devant le sanctuaire, on découvre la vue la plus impressionnante de Marseille et de son site. Entre 2001 et 2008, les parties extérieures et le décor intérieur de mosaïques et de marbres de la basilique, ainsi que la crypte, ont été restaurés. Le buffet d'orgue en noyer de 1926 a été agrandi et modifié par la manufacture provençale d'orgues en 1981 en ne réutilisant qu'une partie de la tuyauterie de Merklin. L'harmonisation a été réalisé par Tricoteaux.

Rue Fort du Sanctuaire 13007 Marseille
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Musée Cantini
6.2 km

Musée Cantini

Cet hôtel particulier, édifié en 1694 par la Compagnie du Cap Nègre, fut acheté en 1709 par la famille de Montgrand qui le conserva jusqu'en 1801. Il connut par la suite plusieurs propriétaires, restant pendant plus d'un demi-siècle le siège du “Cercle des Phocéens” installé en 1836, avant d'être acquis par Jules Cantini, important marbrier qui prit part à la construction de nombreux édifices civils et religieux à Marseille sous le Second Empire. Grand amateur d'art, Jules Cantini en fit don à la ville en 1916, afin qu'il devienne un musée consacré à l'art de notre temps. Ce prestigieux établissement culturel marseillais est consacré à la période dite " moderne " du vingtième siècle, laquelle s'étend entre 1900 et les années 1960. La collection compte quelques grandes individualités qui marquèrent profondément le vingtième siècle, comme Henri Matisse, Oskar Kokoschka, Pablo Picasso, Jean Arp, Alberto Giacometti, Balthus, Antonin Artaud et Francis Bacon. Elle propose quelques belles séquences autour du fauvisme (André Derain, Charles Camoin, Émile Othon Friesz, Alfred Lombard), des premières expérimentations cubistes (Raoul Dufy, Albert Gleizes) et des courants post-cubistes ou puristes des années 1920-1940 (Amédée Ozenfant, Fernand Léger, Le Corbusier, Jean Hélion, Jacques Villon). Certaines de ces oeuvres révèlent la fascination de nombreux artistes au début du vingtième siècle pour la lumière et les paysages méridionaux (Cassis par Derain en 1907, le Paysage méditerranéen réalisé par Friesz la même année, et l'Estaque peinte, sur les traces de Cézanne, par Dufy en 1908). La révolution surréaliste - dont la plupart des représentants, rassemblés autour d'André Breton et de sa femme Jacqueline Lamba, passent par Marseille sur la route de l'exil vers les États-Unis en 1940-1941 - constitue un axe majeur de la collection, comme en témoignent les oeuvres de Victor Brauner, Matta, André Masson, Jacques Hérold, Max Ernst et Joan Miró. Signalons enfin le " Jeu de Marseille " réalisé par les membres du groupe surréaliste à la Villa Air-Bel en 1940-1941, offert au musée Cantini par Aube et Oona Elléouët-Breton en 2003. L'abstraction lyrique ou gestuelle est représentée par des oeuvres de Nicolas de Staël, Camille Bryen, Simon Hantaï, Arpad Szenès, Maria Elena Vieira da Silva. Le musée conserve également un ensemble d'oeuvres du groupe japonais Gutaï, qui fut actif dans les années 1955-1960 et entretint des liens étroits avec le mouvement informel français grâce au critique et théoricien Michel Tapié. Les décennies ultérieures sont illustrées par l'expérience " matiériste " de Jean Dubuffet, Antonio Saura, Antoni Tàpies, Jean-Paul Riopelle et les paysages abstraits aux formats amples d'Olivier Debré, Raoul Ubac, Pierre Tal-Coat et Hans Hartung. Les collections photographiques proposent enfin un panorama de l'histoire de cet art, depuis la période la plus historique (Édouard Baldus, Olympe Aguado, les frères Bisson, Charles Nègre, Gustave Le Gray, Francis Bruguière), la photographie moderniste autour du Pont Transbordeur de Marseille vers 1930-1940 (Laszlo Moholy-Nagy, Herbert Bayer, René Zuber, Florence Henri, Man Ray, Germaine Krull, André Papillon, etc.) jusqu'aux années 1960-1970 (Jean-Pierre Sudre, Jean Dieuzaide, Linda Benedict Jones, Ralph Gibson, Martine Franck, etc.). En fonction des normes de conservation ou des demandes de prêts toutes les oeuvres de la collection ne sont pas présentées en permanence.

19 Rue Grignan 13006 Marseille
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Le cours Belsunce et le cours Saint-Louis
6.7 km

Le cours Belsunce et le cours Saint-Louis

Le carrefour cours Belsunce - cours Saint-Louis est le point zéro de la ville, c'est à partir de là que sont mesurées les distances entre Marseille et les autres villes de France. Au XVIIe siècle, suivant l'exemple d'Aix-en-Provence, Marseille décida d'ouvrir son Cours qui était la promenade favorite des Marseillais. C'est sur le cours, baptisé plus tard Belsunce en souvenir de l'évêque de Marseille qui s'illustra pendant la Grande Peste de 1720, que se que se tient chaque année du 15 juin au 14 juillet, la foire à l'ail et aux tarraïettes (petite vaisselle en terre cuite). En traversant le cours Belsunce, vous apercevez du côté gauche l'arc de Triomphe de la Place d'Aix élevé en 1839 par l'architecte Michel-Robert Penchaud. Lors de l'agrandissement de la ville en 1666, l'ouverture de la Porte Royale (future Porte d'Aix) procura à Marseille une entrée plus large pour le trafic des voyageurs et des marchandises entre la France, Marseille et l'Orient. De l'autre côté se trouve le cours Saint-Louis sur lequel étaient installés les 18 pavillons en fonte des bouquetières de 1847 à 1968 leurs étals colorés ont fait le bonheur des passants et les artistes de l'Alcazar ne manquaient jamais d'y acheter une rose porte-bonheur avant d'entrer en scène. Vous apercevez à droite la fontaine Castellane située sur l'axe Porte d'Aix-Obélisque, qui est l'une des plus longues perspectives d'Europe. L'Alcazar Au 44 du Cours Belsunce, la nouvelle Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale (BMVR) de l'Alcazar a été ouverte au public en mars 2004 à l'emplacement du célèbre " Théâtre de l'Alcazar ". Mais bien avant, en 1636, c'était la maison de " L'Institut des Prêtres du Saint-Sacrement " placée sous le patronage de Saint Hommebon. Les prêtres de la Mission de Provence ne prononçaient aucun voeu et y vivaient en communauté pour le salut des âmes jusqu'à la Révolution Française. Alors les prêtres laissèrent la place à une auberge : " l'auberge neuve " dès le début du XIXe siècle. C'est en 1857 que le café concert ouvre ses portes en plein coeur de Marseille, dont l'activité portuaire est à son apogée. Durant plus d'un siècle l'Alcazar incarne la scène marseillaise, des opérettes des années folles au début du show business des années cinquante-soixante. Des vedettes telles que Fernandel, Tino Rossi, Maurice Chevalier, Yves Montand, Georges Brassens, Johnny Hallyday,...furent à l'affiche. En 1966 le lieu mythique du music-hall ferme ses portes et le 14 novembre 2004, après une année de fouilles et quatre années de travaux, la bibliothèque est inaugurée par le président Jacques Chirac. La conception de la BMVR par les architectes Adrien Fainsilber et Didier Rougeon. est un judicieux mélange de modernisme et de tradition. Le marbre, la tuile et le verre ont été mariés pour tirer le meilleur d'un climat particulier et utiliser l'éclairage naturel voire même l'adapter. La BMVR, qui s'étend sur 18 000 m2, accueille quelques 55 000 inscrits et 10 000 visiteurs par jour. Elle offre 350.000 documents (livres, périodiques, vidéos, CD) en libre accès et quelques 700.000 ouvrages en magasins. L'Alcazar possède des fonds précieux : près de 200 manuscrits médiévaux, une collection de 143 incunables, les archives des Cahiers du Sud... Le public dispose de 1700 places assises et 230 ordinateurs en en libre accès et 200 agents à son service.

13001 Marseille
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La Canebière
6.7 km

La Canebière

La Canebière est ouverte en 1666 lors de l'agrandissement de la ville ordonné par Louis XIV. Son nom vient du provençal "Canebe", chanvre, qui perpétue le souvenir des cordiers installés ici depuis le Moyen-Age. Mais ce n'est qu'avec le départ du Grand Arsenal à la fin du XVIIIe siècle que la Canebière est prolongée jusqu'au port et que de beaux immeubles y sont construits. Le Second Empire et l'expansion coloniale bouleversent la ville : de grandes percées sont ouvertes, de riches bâtiments sont construits, un nouveau port est créé. La Canebière connaîtra ses heures de gloire sous la Troisième République grâce à l'intense activité intellectuelle et commerçante régnant dans les cafés, grands hôtels et grands magasins. La Canebière acquiert une réputation internationale et devient très vite un lieu-symbole de Marseille et de son port. Ce n'est, officellement, qu'en 1928 que la Canebière s'étendra du Vieux-Port jusqu'à l'église des Réformés englobant ainsi la rue Noailles et les allées de Meilhan. Certains immeubles sont classés Monument Historique. Un des premiers grands cafés installés sur la Canebière, le Café Turc (à l'ancien emplacement de l'Office du Tourisme et des Congrès) est dès 1850, le passage obligé des voyageurs pour l'Orient. Un salon à l'orientale ouvrait sur la rue Prince de Beauvau. Au centre de la salle principale donnant sur la Canebière, trônait une fontaine monumentale surmontée d'une horloge à quatre cadrans. Symbole de l'ouverture de Marseille sur le monde, elle marquait à la fois l'heure turque, chinoise, arabe et européenne. Son décor fastueux et son ambiance ont été souvent évoqués dans la littérature. Le café turc disparut au lendemain de la Première Guerre Mondiale. La rue Beauvau fut ouverte en 1785 sur les terrains de l'Arsenal des Galères, elle porte le nom d'un gouverneur de Provence. Elle fut l'une des premières rues de Marseille équipées de trottoirs. A noter au numéro 4 l'Hôtel Beauvau qui hébergea Lamartine en 1832 ainsi que George Sand et Frédéric Chopin en 1835. L'Opéra. Les Marseillais ont toujours été des amateurs de théâtre et d'opéra. Plusieurs salles de spectacle furent d'ailleurs construites en divers points de la ville pour répondre à cet engouement local. Mais il faudra attendre la vente des terrains de l'Arsenal des Galères en 1781 pour permettre la construction du Grand Théâtre (une des clauses de l'acte de vente stipulait l'obligation de construire un opéra selon le principe de la concession à perpétuité). L'ensemble des terrains est cédé par le Ministère de la Marine à la ville qui les revend trois ans plus tard à une Compagnie dirigée par le génois Rapalli. Il procède à la construction d'immeubles qui vont donner lieu à d'extraordinaires flambées de prix. Tout le quartier va dès lors s'organiser autour de cette vaste parcelle et les rues seront dédiées au théâtre et à la musique (Corneille, Molière, Lully ...) ainsi qu'aux grands représentants de la Royauté en Provence. Le Grand Théâtre, inauguré en 1787, était l'oeuvre de l'architecte Benard. De style néo-classique, il l'avait conçu comme un temple de la musique et de la danse. En 1919, un incendie détruisit entièrement la salle et la scène seuls furent conservés les murs maîtres, la colonnade ionique et la façade principale en pierre de taille. L'architecte Gaston Castel associé à Raymond Ebrard fût désigné pour reconstruire l'opéra de 1921 à 1924 dans un style Art Déco. L'idée de Castel fût d'ouvrir ce chantier à une pléiade de créateurs et de techniciens qui vont intervenir dans tous les domaines : peinture, sculpture, mosaïque, ferronnerie. Sur la façade, on peut voir les quatre allégoriques de Sartorio ainsi que la phrase inscrite sur la corniche supérieure : " L'Art reçoit la Beauté d'Aphrodite, le rythme d'Apollon, l'équilibre de Pallas, et doit à Dionysos le mouvement et la vie ". Dans la salle surmontant le cadre de la scène " la naissance de la beauté " réalisée par Antoine Bourdelle, en stuc rouge sur fond or dans le grand foyer, deux superbes vases spécialement conçus pour ce vaste espace par la manufacture de Sèvres et le décor plafonnant de Carrera illustrant dans des tons acidulés le mythe d'Orphée et d'Eurydice. L'originalité du bâtiment est d'avoir réussi à mêler le style néo-classique du XVIIIe siècle et le style Art Déco du XXe siècle. Les grands hôtels Une des plus belles réalisations est sans aucun doute l'ancien Hôtel du Louvre et de la Paix de l'architecte Pot occupé aujourd'hui par le magasin C&A. La façade offre aux visiteurs une entrée monumentale encadrée par quatre opulentes cariatides représentant les quatre continents (l'Europe, l'Asie, l'Amérique et l'Afrique). Cet hôtel était classé parmi les hôtels de première classe et avait 250 chambres, 20 salons et 2 salles de restaurants. Il fonctionne jusqu'en 1941 où il est réquisitionné et acheté par la Marine Nationale, puis occupé par la Kriegsmarine. Après la guerre et jusqu'en 1977 la Marine revient, installe ses bureaux, utilise les salles de réception pour les manifestations officielles, le mess des officiers... Le décor est alors tel qu'il était sous le Second Empire. En 1980, après 3 ans d'abandon et de dégradations, le bâtiment est vendu les architectes ne garderont que les façades, l'escalier et deux salons classés Monuments Historiques et en 1984 le magasin C&A ouvre ses portes. À l'intérieur, à gauche l'escalier est toujours visible et au fond du magasin des portes banales dissimulent ces deux magnifiques salons, témoins de l'époque fastueuse du Grand Hôtel du Louvre et de la Paix. C'est dans cet hôtel qu'en 1896, eut lieu la première représentation cinématographique des frères Lumière à Marseille "Entrée en gare de La Ciotat". L'Hôtel Noailles fut édifié par l'architecte Bérengier en 1865. C'est un très beau bâtiment, beaucoup plus sobre dans son architecture que le Louvre et Paix, avec un avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire. La façade est rythmée par l'alternance de frontons triangulaires et curvilignes. C'était autrefois un hôtel très luxueux et jusqu'en 1979 les grands de ce monde, qu'ils soient artistes ou hommes politiques, "descendaient" au Noailles. Tous les hôtels de la rue Noailles étaient d'ailleurs si réputés qu'une rubrique quotidienne leur était consacrée dans le journal. Aujourd'hui transformé en commissariat, le Noailles reste néanmoins une adresse prestigieuse. Les allées de Meilhan L'agrandissement de 1666 prévoyait la création d'une promenade publique au-delà des remparts. Les travaux ne furent achevés qu'en 1775 grâce à l'intendant de Provence, Sénac de Meilhan. Ces allées étaient alors réputées pour leurs guinguettes où les jeunes gens venaient s'amuser et danser. Le style des immeubles est très différent de celui de la Canebière et de la rue Noailles et ils datent pour la plupart de la fin du XVIIIe siècle. On retrouve d'ailleurs le type du "3 fenêtres marseillais" que l'on rencontrera plus loin sur le boulevard Longchamp. C'est sur cette partie de La Canebière que se tenait la foire aux santons. Elle est l'une des traditions les plus vivantes et les plus populaires de Marseille. Les origines de la foire aux santons remontent au lendemain de la Révolution et en font la plus vieille foire aux santons de Provence. La foire aux santons de Marseille est ouverte chaque année du dernier dimanche de novembre au 31 décembre. Son inauguration s'effectue, au son des tambourins et en présence d'une foule joyeuse, à l'issue de la messe des santonniers célébrée en provençal, en l'église Saint-Vincent de Paul les Réformés. Le kiosque à musique Le kiosque à musique en métal remplace depuis 1911 un kiosque en bois plus ancien. Une fontaine Wallace, que l'on retrouvera dans le parc Longchamp, a été mise en place ici dans les années 1930. Le Monument aux Mobiles Il a été érigé ici en 1894 en souvenir des soldats marseillais morts pendant la guerre de 1870. On reconnaît la France Armée avec à ses pieds les vaillants soldats. Le Monument aux Mobiles est le point de départ des manifestations qui descendent la Canebière vers le Vieux-Port, puis souvent se dirigent vers l'Hôtel de Ville ou vers la préfecture selon la nature des doléances ! Mais c'est aussi là que se forment les défilés, que ce soit pour le 14 juillet ou pour le carnaval quand les héros du jour pavoisent fièrement sur La Canebière, applaudis par la foule toujours prête à faire la fête ! Les Réformés Au XIVe siècle, les ermites de Saint Augustin s'installent à l'emplacement de l'église Saint-Ferréol les Augustins, située sur le Vieux-Port. Au XVIe siècle, une réforme de leur culte s'organise les Augustins Déchaux bâtissent un autre couvent au-delà de la Canebière. Sous la Révolution, les moines sont dispersés. En 1803, une nouvelle paroisse est créée dans ce quartier dont la population augmente. Un prêtre de la Mission, congrégation fondée en 1625 par Saint-Vincent de Paul en devient le premier curé. La construction de la nouvelle église d'inspiration néo-gothique se fera selon les plans de l'architecte Reybaud. L'église est consacrée en 1888. En 1989, l'ASPRA est créée pour la sauvegarde de l'édifice. En 1998, un carillon de quatre cloches est enfin placé dans l'une des deux flèches. Leur hauteur, 69 mètres au-dessus du sol de la crypte donne une idée des dimensions imposantes de l'église. À l'intérieur, les vitraux réalisés par Didron évoquent les principales scènes de la bible et les saints de Provence. Les fonts baptismaux, le maître autel en marbre, lapis-lazuli, onyx, bronze doré orné d'émaux, la chaire en bois sculpté, l'autel en marbre réalisé en 1999 avec l'ancienne table de communion, le Christ du Saint Suaire du sculpteur marseillais Botinelly.

13001 Marseille
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Grand Hôtel des Lecques
24 km

Grand Hôtel des Lecques

Sur la côte provençale, entre Cassis et Bandol, vous découvrirez le charme de cette élégante demeure de style Belle Époque dominant la Méditerranée. Niché au cœur d'un parc de 2 hectares, à 100 mètres des plages de sable fin et des commerces, le Grand Hôtel Les Lecques est le lieu idéal pour des séjours inoubliables. Le petit-déjeuner : Commencez la journée par un délicieux petit déjeuner buffet dans un cadre convivial, au restaurant Le Parc et sa terrasse. Les restaurants: "Le 1896" et sa Terrasse : Notre Chef vous invite à venir découvrir sa cuisine d'antan et généreuse. Au plaisir des papilles s'ajoutera le plaisir des yeux : la terrasse panoramique offre une vue exceptionnelle sur notre parc et la Baie des Lecques. "La Pinède" : Un moment de plaisir et de détente au bord de la piscine pour profiter pleinement du soleil de notre région, en saison. Le salon bar : Dans une ambiance douce et feutrée, savourez notre sélection de cocktails autour du piano. La vinothèque: Venez découvrir notre cave à vins au restaurant "Le 1896" et déguster nos sélections régionales et d'ailleurs. PRESTATIONS Dès votre arrivée au Grand Hôtel, vous découvrirez le charme de cette élégante demeure de style Belle Époque dominant la Méditerranée. Toutes nos équipes ont le plaisir de vous accueillir durant la saison estivale. - Parking offert à notre clientèle - Piscine extérieure - Mise à disposition de transats, serviettes et parasols - 2 courts de tennis - Terrain de pétanque - Tennis de table - Service bar autour de la piscine

24 avenue du Port 83270 Saint-Cyr-sur-Mer
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