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Découvrez les trésors de Bertrichamps, Meurthe-et-Moselle

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Pour les gourmands, la région regorge de spécialités culinaires à déguster. Ne manquez pas de savourer une tarte flambée, une quiche lorraine ou encore des madeleines de Commercy.

Avec son cadre paisible et ses multiples activités, Bertrichamps est l'endroit idéal pour découvrir le charme discret de la Lorraine.">Bienvenue à Bertrichamps, charmante commune de Meurthe-et-Moselle, en plein cœur de la Lorraine. Ce village pittoresque vous invite à explorer ses nombreux attraits et activités pour une escapade enrichissante.

Profitez de la nature environnante en vous baladant sur les sentiers de randonnée qui sillonnent les environs. La forêt de Mondon offre des chemins ombragés parfaits pour une promenade tra...
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Circuit pédestre - Beauregard
4.7 km

Circuit pédestre - Beauregard

Suivre le balisage "anneau jaune" sur l'ensemble du circuit. Au départ du parking de la Salle Beauregard, suivre la rue Emile Marande, la rue du Général de Gaulle et le début de la rue de Viombois puis monter sur la droite par le chemin des Fontenottes. En arrivant sur la route forestière, suivre par la gauche sur 100 mètres avant de monter sur la droite par le sentier qui mène au fossé du château puis au carrefour de senties situé 150 mètres après le fossé. Suivre le sentier qui part sur la gauche pour rejoindre la route forestière située à proximité de la fontaine des Maçons. Descendre vers le restaurant "Le Kalisté" puis, à hauteur de la route D9 suivre la route forestière (fermée par une barrière) sur quelques centaines de mètres puis prendre à droite le chemin qui monte. Au carrefour suivant, emprunter sur la gauche le sentier qui arrive à l'emplacement du château et à la citerne. Continuer pour atteindre le sommet de la crête de la côte Beauregard (434 m) puis les ruines de la Bergerie. Rejoindre la salle Beauregard en empruntant le sentier qui descend (forte pente), ou redescendre par le chemin des Fontenottes. Sentier balisé dans les 2 sens. A voir : vue panoramique sur la ville de Raon l'Etape, citerne de 1000 litres creusée dans la roche, ancienne bergerie et fontaine aux oiseaux, emplacement du château de Beauregard (édifié en 1114, habité par le Seigneur Beggon, reconstruit puis agrandi par le Duc Ferry III en 1279. Assiégé par l'évêque de Metz en 1345, détruit en partie en 1594 puis en 1636 sur ordre de Richelieu qui fit raser toutes les forteresses de Lorraine).

2 h
6.3 km
Moyen
Salle Beauregard 88110 RAON L ETAPE
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Église de Bertrichamps
15 m

Église de Bertrichamps

L'Eglise de Bertrichamps a été édifiée en 1770 sur le modèle des églises lorraines traditionnelles : avec une tour massive, un clocher trapu, ainsi qu'une nef haute et large sans contreforts extérieurs. Sa voûte est un plafond plâtré, qui permet de définir l'édifice comme étant une église "grange" (comme celle de Deneuvre construite à la même période). L'édifice abrite 3 imposants lustres, 2 modèles plus petits, et 2 candélabres tous fabriqués en cristal de Baccarat. L'Eglise fut classée Monument Historique en 1960 par André Malraux, qui était alors Ministre d'Etat Chargé des Affaires Culturelles. Ouverte tous les jours. L'Eglise de Bertrichamps a été édifiée en 1770 sur le modèle des églises lorraines traditionnelles : avec une tour massive, un clocher trapu, ainsi qu'une nef haute et large sans contreforts extérieurs. Sa voûte est un plafond plâtré, qui permet de définir l'édifice comme étant une église "grange" (comme celle de Deneuvre construite à la même période). L'édifice abrite 3 imposants lustres, 2 modèles plus petits, et 2 candélabres tous fabriqués en cristal de Baccarat. Concernant les 3 lustres centraux, les notes de l'Abbé Badon rapportent que le petit lustre est dû au travail des tailleurs sur cristaux de Bertrichamps, qui officiaient à la Cristallerie, et qui en firent don en 1850. Le deuxième lustre, dit "moyen", fut exécuté et offert en 1860. Quant au troisième, le plus gros situé près du chœur, il aurait été offert en 1889 par d'anciens tailleurs en cristaux. Les candélabres situés dans le chœur peuvent être datés entre 1850 et 1860. Ces dons de lustres en cristaux se retrouvent dans toutes les communes autours de Baccarat. La Manufacture fournissait la matière première et les outils, charge au personnel originaire de la commune concernée d’exécuter bénévolement la réalisation du luminaire. Le chœur abrite un autel sculpté et peint, ainsi qu'un imposant tableau représentant Saint-Jean-Baptiste, le patron de la paroisse. Sur le plafond du chœur et de l'abside a été exécuté, dans les années 20, une fresque monumentale. L'Eglise de Bertrichamps a été classé monument historique en 1960 par André Malraux, qui était alors Ministre d'Etat Chargé des Affaires Culturelles. Cette Eglise est ouverte tous les jours.

62 Rue du Général Leclerc Eglise Saint-Jean-Baptiste 54120 BERTRICHAMPS
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Château de Beauregard
3.9 km

Château de Beauregard

Au Moyen-Age, les villes sont placées sous l’autorité d’un seigneur et fortifiées pour protéger les habitants. Le château fort de Beauregard, du nom de la colline, est édifié au XIIIème siècle par le duc de Lorraine Ferry III. Surplombant la ville, l’édifice a pour but de surveiller la route de l’Alsace-Lorraine car l’évêque de Metz convoite la ville après s’être emparé du château de Pierre-Percée. Pour s’occuper de la protection de Raon, le duc de Lorraine nomme un vassal, un noble des environs et en qui il a confiance. Au Moyen-âge, cette place est vue comme une distinction suprême. Les remparts de la ville relient les cinq tours du château grâce à des courtines, sortes de couloirs couverts. Les murs sont protégés d’un côté par un fossé et de l’autre naturellement par la Meurthe. Aujourd’hui seuls les vestiges de la Tour Bouquot sont visibles rue de la Tour, derrière la rue Charles Weill. C’est cette tour qui apparaît sur les tableaux conservés à l’Hôtel de Ville. Trois portes permettaient d’entrer et de sortir de la ville en direction de Baccarat, Saint-Dié et enfin Rambervillers. Pendant la bataille de Nancy en 1477 opposant Charles Le Téméraire et le duc René II de Lorraine, le château servit de camp militaire au duc puis fût abandonné par la suite. Au cours de la Guerre de Trente Ans (1618-1648), Richelieu ordonna la destruction de tous les châteaux forts lorrains sans exception. Il n’était pas rare que les habitants récupèrent les pierres abandonnées pour construire de nouveaux bâtiments. Les derniers vestiges disparaîtront pendant la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui le château est représenté sur le blason de la ville. La rareté des vestiges et des archives ne permet pas de dévoiler tous les secrets du château raonnais. Il ne reste quasiment rien de la forteresse, mis à part un fossé de 60 mètres de long pour 8 mètres de large ainsi que plusieurs bases de murailles encore visibles. Un circuit de randonnée de 6,3 km (balisage anneau jaune) vous mènera sur l'emplacement du château (départ parking de la Salle Beauregard)

Côte Beauregard 88110 RAON L ETAPE
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La bataille du pont de Baccarat
4.5 km

La bataille du pont de Baccarat

Durant la 1ère Guerre Mondiale, le grand pont de Baccarat fut le théâtre d’un combat meurtrier le 25 août 1914 (détails disponibles à l'Accueil Touristique de Baccarat). Au petit matin, le 86ème Régiment d'Infanterie du Puy-en-Velay tenta de reprendre pied sur la rive droite de la Meurthe. Trois assauts furent donnés sur le pont, alors que les troupes bavaroises avaient disposé plusieurs mitrailleuses, interdisant tout franchissement de l'ouvrage par les français. On releva sur le pont plus de 90 tués et autant de blessés. Lors de cette journée tragique, dans les combats qui ont eu lieu dans la ville et autour de Baccarat, le 86ème R.I. a perdu une grande partie de son effectif. A la suite de ce combat, le quartier d'affaire (Rue des Ponts alors, devenue Rue Adrien Michaut) pris feu et le travail de destruction fut achevé ensuite à la main par les troupes allemandes. A partir du 14 Août 1914, les forces françaises (I et IIème Armée) passent la frontière de 1870 et progressent en Moselle annexée face à des troupes Allemandes qui ne livrent que des combats d’arrière-garde. Le succès semble inévitable. Malheureusement, les 19 et 20 Août, les Français se retrouvent pris au piège devant Morhange et Sarrebourg, puis ils sont contraints de reculer avec de lourdes pertes. La frontière est donc repassée en sens inverse. L’Armée Française laisse ses troupes d’élite livrer des combats d’arrière-gardes afin de retarder l’avance des Allemands, pendant que le gros des forces reflue. Le 24 Août au soir, après de durs combats à Gélacourt et Merviller, les derniers défenseurs français quittent Baccarat et prennent la direction de Ménil-sur-Belvitte. La ville est investie par les soldats Allemands. Les Badois se mettent en position le long de la ligne de chemin de fer au Château des Cristalleries. Les troupes Bavaroises, quant à elles, ne font que passer et cantonnent à Badménil. Le mot d’ordre pour le 25 Août, dans le camp français, est de contre-attaquer sur toute la ligne. Une attaque de nuit est donc décidée afin de réinvestir Baccarat et reprendre pied sur l’autre rive de la Meurthe. Les coloniaux (5ème et 6ème R.I.C.), qui ont combattus sans relâche depuis plus d’une semaine, sont d’abord alertées ; mais, devant l’état d’extrême épuisement de ceux-ci, l’attaque revient à 2 régiments de ligne. Le 86ème R.I., venant du Puy-en-Velay, aura en charge l’attaque principale. Il sera appuyé par les unités du 38ème R.I. de Saint-Etienne. La troupe se met en marche de nuit et, arrivée aux portes de la ville, les éléments du 38ème se mettent en position face à Badménil, dans le bois de la Rappe. Ceci afin de protéger le flan gauche du 86ème R.I. d’une attaque des Bavarois. Les premiers soldats français investissent la ville et réduisent au silence les sentinelles qui jalonnent le parcours entre l’entrée de la ville (direction Rambervillers) et le grand pont. Une sentinelle parvient à s’enfuir, puis elle donne l’alerte à une patrouille qui monte la garde devant l’Hôtel du Pont et à une autre qui garde la passerelle des cristalleries. L’alerte est donc donnée à 3h45. Deux compagnies réussissent à franchir le pont et fonce vers la gare, où ils se heurtent à la ligne de résistance badoise. Dans leur précipitation, ils laissent de côté la Cristallerie qu’ils pensent fortement occupée, ainsi que le Château où se tient tout l’Etat-Major Badois. Sur les terrasses du Château, face au pont, arrivent des mitrailleuses qui interdisent très vite tout passage sur le grand pont. Les vagues françaises se succèdent, afin de percer pour rejoindre leurs camarades qui sont déjà passés, mais se font clouer sur place par le feu adverse. Certains tentent de passer la Meurthe à gué, cependant ils doivent très vite se replier. Une attaque est également tentée depuis la passerelle des Cristalleries, toutefois elle est prise sous un violent feu d’artillerie. Des mitrailleurs français prennent position dans le clocher de l’église, mais sont délogés par des tirs de canons. Toutes les attaques sont courageuses, bien que vaines et, devant l‘impossibilité de passer le pont, les hommes du 86ème amorcent un repli en milieu de matinée. Ce fut un repli menacé par une attaque allemande qui a franchi la Meurthe à l’est de Baccarat, et commence à gravir les pentes de Deneuvre. Les éléments du 38ème ont eu, eux aussi, une dure matinée. Dès le début de l’attaque sur le grand pont, les Bavarois cantonnés à Badménil se mettent en marche pour attaquer le flanc gauche du 86ème. Ils sont accueillis par les mitrailleuses du 38ème qui font des ravages dans leur rangs. Ils atteignent tout de même le bois de la Petite Rappe, où un sanglant combat au corps à corps s’engage. Le 38ème se désengage progressivement, en ayant malgré tout assuré sa mission : protéger le repli des derniers soldats du 86ème venant de Baccarat. Plus tard dans l’après-midi, le 86ème R.I. se lancera de nouveau à l’attaque devant Ménil-sur-Belvitte. Son chef, le Colonel Couturaud, sera grièvement blessé et décédera quelques jours plus tard au Château des Cristalleries. A la fin de la matinée, on relève 90 corps sur le pont et plus de 500 morts dans la ville ainsi que autour de celle-ci : près de un millier de blessés serait dénombré. De nombreux bâtiments sont sinistrés et la rue des ponts partiellement détruite par les bombardements. Dans cette rue, ce qui aura été épargné par les flammes sera incendiée le lendemain par les Allemands après un pillage en règle. Les troupes Allemandes occuperont Baccarat durant 3 semaines, avant de se replier le 12 Septembre. Le front se fixera ensuite pour 4 ans devant Badonviller, faisant de Baccarat une ville d’arrière-front où régnera durant toute la guerre une intense activité.

54120 BACCARAT
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾