Aujac

MONS - Circuit des vignes (12,5 km - 3 h 15) Au nord du bourg l’Antenne et le Briou offrent un paysage verdoyant de marais où dominent les peupliers. Au sud un autre paysage bien agréable : les vignes. MONS - Circuit des vignes (12,5 km - 3 h 15) Au nord du bourg l’Antenne et le Briou offrent un paysage verdoyant de marais où dominent les peupliers. Au sud un autre paysage bien agréable : les vignes. Situation : à 25 km au sud-est de St-Jean-d’Angély Départ : salle des fêtes Balisage : jaune 1 - Traverser le bourg puis prendre la D228E3 vers Thors. Dans un virage à gauche laisser la route pour un chemin en face. Continuer pendant 800 m puis tourner à droite. 2 - S’approcher à droite de la Vrignolle. Tourner à gauche entre les maisons (rue des Sources) puis prendre la rue du Pied de Bien. Prendre à droite entre les vignes. Suivre une petite route à gauche sur 50 m et emprunter le premier chemin à droite. Franchir le ruisseau de la Vrignolle et prendre un chemin plein nord. 3 - Au carrefour conserver cette direction en vue d’un château d’eau. Toucher la D228 et repartir à gauche sur un chemin. Longer à gauche la D131 sur 150 m. Emprunter un chemin à droite. 4 - Tourner aussitôt à gauche pour passer entre les vignes en direction de Chevallon. Four à pain du XVIIe siècle. Récemment restauré par l’association des Maisons Paysannes de France il est utilisé tous les ans à l’occasion de la fête des battages. Continuer tout droit vers Chez Garraud. Longer à gauche la D131 sur 200 m. Emprunter à droite un chemin entre les vignes. À l’embranchement prendre à droite et aussitôt à gauche pour arriver au carrefour des chemins (repère 3). 3- Continuer tout droit entre les vignes. S’approcher à gauche du hameau de Lambernière. Tourner à droite (nord) en direction de Mons. Dans Mons tourner à gauche pour rejoindre le parking. L’église Saint-Séverin construite au XVe siècle repose sur les ruines d’une chapelle du XIIe siècle dont il ne reste que deux fortes colonnes en partie enfouie dans la maçonnerie. À l’extérieur l’entrée de l’église est formée par une porte gothique aux profondes moulures reposant sur deux têtes d’animaux. À l’intérieur le choeur est surmonté d’un clocher carré sans ornement à toit plat. Deux grands arcs gothiques murés révèlent la présence d’anciennes entrées qui permettaient sans doute l’accès à une chapelle seigneuriale.

Randonnée dans le plat pays de Matha. À proximité du ruisseau l’Antenne (affluent de la Charente) une belle balade par les bois et les vignes entre Matha et Thor

MATHA / THORS - Les Étangs de Thors (14 km - 3 h 30 ou 11km - 2 h 45) À proximité du ruisseau l’Antenne (affluent de la Charente) une belle balade par les bois et les vignes entre Matha et Thors 1 - Emprunter face à l’église une ruelle qui devient chemin. Au carrefour prendre à gauche la D131 sur 100 m et prendre à droite pour traverser le hameau des Hublins. Continuer sur ce chemin. 2 - Au carrefour franchir à gauche un fossé. 400 m plus loin prendre à droite pour retraverser la D131 et gagner Archambaud. Traverser le hameau. 3 - Continuer sur 350 m sur la petite route de Montils qui se prolonge dans l’axe par un chemin blanc. Traverser une route puis longer à gauche les étangs de Thors. 4 - Suivre à gauche la D228E3 et gagner Thors par une petite route. Après l’église tourner à gauche. Longer l’aire de loisirs. Suivre à droite la D121 sur 100 m. Repartir à gauche sur un chemin et à gauche vers un bois. 5. Obliquer à gauche sur un chemin rectiligne vers les bois de la Grande Barde. 6. Virer à gauche en lisière. Continuer à droite entre les vignes vers Matha. Raccourci (11 km) : . . . mais sans les étangs. 3 - Continuer sur 350 m sur la petite route de Montils qui se prolonge dans l’axe par un chemin blanc. Traverser une route R. (pointillés bleus) S’engager sur le premier chemin à gauche vers un bois. Suivre à droite une petite route, tourner à gauche avant le Guérineau. Repartir à droite vers un bois. On retrouve l’itinéraire principal au point 6. Le château Un pavillon fut édifié à la fin de la Renaissance sur le souhait de l’épouse du Viconte de Bourdeilles. C’est une tour carrée de trois étages à cheval sur un vaste porche surbaissé. Elle est couronnée de créneaux et de mâchicoulis, surmontée d’un haut comble d’ardoises. Les fenêtres sont ornées de frontons semi-circulaires aux deux premiers étages ainsi que les niches qui encadrent ces fenêtres. Une tour carrée, plus petite, flanque l’angle sud-ouest de la grosse tour. Son chemin de ronde et sa toiture d’ardoises sont une création du XIXe siècle.​ Après avoir connu plusieurs propriétaires le château fut acheté en 1961 par la commune de Matha. L’église Saint-Barthélémy de Saint-Hérie présente une majestueuse façade rectangulaire du type aquitain des façades-écran, divisée en trois parties par de hautes colonnes. Avant de quitter Matha ne pas manquer une autre église romane au nord du village, celle de Marestay dont il reste un magnifique chevet roman.

BAGNIZEAU - Circuit des Bois (15,5 km - 4 h - dénivelée : 60 m) Avant de découvrir les bois de Bagnizeau flânons un instant le long de l’Antenne. La source de la « Barbarelle » a d’ailleurs donné son nom au village : « baigne les eaux ». BAGNIZEAU - Circuit des bois (15,5 km - 4 h - denivelée : 60 m) Avant de découvrir les bois de Bagnizeau flânons un instant le long de l’Antenne. La source de la « Barbarelle » a d’ailleurs donné son nom au village : « baigne les eaux ». Situation : à 18 km à l’est de St-Jean-d’Angély Départ : église Balisage : jaune 1 - À l’arrière de l’église longer le mur et franchir une première fois la petite rivière l’Antenne (affluent de la Charente). La suivre par la gauche sur 50 m puis traverser l’Antenne une seconde fois en direction de la peupleraie à contourner par la gauche. Passer le fossé et prendre le premier chemin à gauche. 100m plus loin tourner à nouveau à gauche en direction des deux ponts. 2 - Tourner à droite puis à gauche en direction du cimetière. Au bout de ce chemin prendre à droite la voie communale sur 1 km. Continuer par le premier chemin à gauche en direction du bois. 3 - Le longer et prendre à gauche vers le Marquisat. Le contourner par la gauche. 4 - 100 m après les maisons dans le virage entrer dans la plantation de pins, la traverser par la droite en suivant les allées. Emprunter une voie communale sur quelques mètres à gauche et suivre à droite un chemin empierré. Tourner dans la première allée à gauche. 5 - À son terme tourner à gauche sur un chemin de terre jusqu’à la D220. La suivre à droite sur 500 m puis tourner à gauche juste avant le bosquet établi dans le virage. Suivre ce chemin de terre et tourner à gauche en longeant la lisière du bois. Continuer ensuite par la droite pour déboucher sur un chemin goudronné. 6 - Plus loin, au carrefour, prendre à gauche et traverser le Roty. À la sortie emprunter un instant un chemin de terre et bifurquer à droite dans le sous-bois. 7 - Contourner la plantation (pins, merisiers, noyers). Continuer tout droit au carrefour en suivant la lisière du bois sur 200 m puis tourner à gauche et à droite. Suivre à droite la D220 et prendre à gauche au niveau de la plantation de chênes. 8 - Obliquer à droite sur la voie communale encaissée. Prendre le premier chemin à gauche face au bosquet. Longer les vignes puis entrer dans le bois des Binettes. À la première intersection dans le sous-bois revenir par la droite vers Bagnizeau en reprenant l’itinéraire de départ. Le lavoir situé sur la rive droite de la Barbarelle date de 1879. Il servait au lavage du linge en amont et au nettoyage des boyaux de porc en aval. En aval du lavoir un bief alimentait un moulin à eau et un abreuvoir à animaux. L’église Saint-Vivien comprend une façade carrée percée d’un large portail roman d’excellente facture à deux voussures. Voilà le bestiaire roman : deux centaures à tête d’hommes barbus, trois dragons à queue de serpent, un monstre ailé, des oiseaux qui se lissent les plumes, deux dragons qui crachent du feu, deux lions encadrant un homme assis, deux oiseaux à tête humaine. L’autre voussure est remplie de feuille d’acanthes et aux archivoltes trônent des têtes de chat et des oiseaux contournés. Le clocher quant à lui est carré, bien saintongeais, à toit plat de type roman. Le chevet de l’église est d’époque romane. Noter un petit tonneau de vigneron et une « Grand’goule » qui symbolise le monstre de l’enfer.

Entre les bois et les vignes du pays du cognac et du pineau, les douze (ou les neuf pour les moins courageux) fontaines de Burie, incontournable référence des plus belles balades autour du patrimoine des fontaines et des lavoirs. Quelques bois et beaucoup de vignes sur un terrain vallonné... mais peu difficile.

La ville fut affranchie par Saint-Louis pour son courage lors de la bataille de Taillebourg en 1242. La Table du Roi, une pierre imposante dans un bois proche, rappelle cette période d’histoire. SAINT-HILAIRE-DE-VILLEFRANCHE - La Table du Roi (10.5 km - 3 h - dénivelée : 65 m) La ville fut affranchie par Saint-Louis pour son courage lors de la bataille de Taillebourg en 1242. La table du Roi, une pierre imposante dans un bois proche, rappelle cette période d’histoire. Situation : à 11 km au sud de St-Jean-d’Angély Départ : église Balisage : jaune 1 - Sortir du bourg par la route de Saint-Savinien (D 124) et ,tourner à gauche après le pont de chemin de fer. Longer la voie ferrée. 2 - S’en écarter en partant à droite entre les vignes, longer le bois puis y entrer par un chemin creux. Continuer en sous-bois. 3 - Éviter le hameau de Chez Bouard en continuant sur la petite route. Tourner à droite vers le bois des Brandes. Longer la route sur 150 m et emprunter un chemin à gauche. À l’intersection bifurquer à droite. À droite du chemin se trouve la table du Roi : la grande pierre aurait servi à Saint-Louis lors de son arrivé en Saintonge pour la « bataille de Taillebourg ». Ladite bataille n’eut d’ailleurs pas eu réellement lieu à Taillebourg (plutôt une escarmouche) mais sous les murailles de Saintes. Le chemin sort des bois et débouche sur un large chemin goudronné. Hors circuit, 50 m plus bas dans le bosquet, se trouve un lavoir avec sa source, lieu idéal de pique-nique. 4 - Remonter vers Juicq en passant près de la mare. Traverser le bourg. 500 m après emprunter à droite un chemin en sous-bois. 5 - À la bifurcation avec un chemin venant de droite se trouve la Fontaine de la Sandrière souvent à sec. Traverser la D124. 6 - Tourner à gauche puis droite sur des routes peu fréquentées. Passer le pont sur le Bramerit et accéder à droite au château de Laléard (XVIe siècle). 7 - Franchir à nouveau le Bramerit, tourner à gauche sur chemin maintenant goudronné vers Saint-Hilaire-de-Villefranche. L’église, dédiée à Saint-Hilaire, présente un portail unique encadré de voussures prenant appui sur de courtes colonnes aux chapiteaux ornés d’entrelacs. Deux personnages sont représentés à droite du portail sur une pierre du mur. L’intérieur de l’édifice est très sobre : le choeur à deux travées est limité par des piliers romans. Le château de Laléard a été bâti au XVIe siècle. De cette époque datent les trois tours d’angle couvertes d’ardoises ainsi que la grosse tour carrée. Cette dernière est constituée de quatre étages au-dessus d’un rez-de-chaussée voûté en plein cintre. Quatre bretèches*, deux au nord et deux au sud, protègent ses angles. Face au château on découvre un magnifique pigeonnier rond, imposante construction en maçonnerie qui a gardé tout son style. À l’intérieur les nids disposés dans l’épaisseur du mur sont au nombre de 1420. * bretèche : petite construction en surplomb au-dessus d’une porte constituée d’une ouverture permettant de lancer des projectiles à la verticale de l’ennemi (Wikitionnaire).

découverte de 13 variétés d'orchidées avec des fiche explicatives, environ 7 kms https://www.asniereslagiraud17.com/pages/se-promener.html

Situé sur un coteau dominant la petite vallée de la Nie, Gibourne est le point de départ de cette belle balade entre vignes et bois. GIBOURNE - Circuit de Gibourne (10,5 km - 2 h 30 - dénivelée : 60 m) Situé sur un coteau dominant la petite vallée de la Nie, Gibourne est le point de départ de cette belle balade entre vignes et bois. L’église isolée, entourée de son cimetière, est à découvrir à l’arrivée. Situation : à 19 km à l’est de St-Jean-d’Angély Départ : mairie Balisage : bleu 1 - Prendre rue de la Mairie qui monte vers le bourg. Suivre la Grande Rue puis la D132 en direction de Varaize. Tourner à droite sur un chemin le long d’un bosquet. 2 - Au bout monter à gauche jusqu’à la D132. La suivre un instant à gauche, repartir à droite puis continuer sur un chemin vers le Bois de la Coudrière. 3 - Suivre la petite route à gauche, passer en lisière du bois et repartir à droite sur un chemin (on rencontre le balisage jaune du circuit de Bagnizeau). Suivre à droite la D220 puis à gauche le second chemin de terre. Il ondule entre les cultures. 4 - Monter à droite dans le bois et tourner à gauche. Le chemin rectiligne atteint la D226. La traverser et poursuivre en contournant le bois du Vignaud par la droite. Suivre alors à gauche un sentier entre les cultures. 5 - Au carrefour tourner à gauche sur un chemin goudronné puis choisir le second chemin de terre à droite pour suivre un chemin de crête en direction de l’église de Gibourne. 6 - Emprunter un chemin de terre à l’extrémité du parking. Sur la D220 prendre à gauche et aussitôt à droite et gagner Gibourne. Rue de la mairie un beau portail avec une grille en fer forgé encadré de deux piliers décorés surmontés de chapiteaux sculptés. Deux petites portes piétonnières ont été aménagées sur les côtés. L’ensemble des bâtiments pourrait remonter au XVIIIe siècle. L’église Saint-Martial est située au sommet d’une colline. Elle est entourée d’un cimetière renfermant des tombes qui semblent uniques en Saintonge. Une des particularité du cimetière est sa croix hosannière devant laquelle les paroissiens passaient chaque dimanche des Rameaux. Dans la nef subsiste deux tronçons de colonnes à chapiteaux. Le chevet est éclairé par de petites fenêtres romanes en plein cintres.

De longs rubans de chemins blancs ondulant entre vignes et bosquets, des maisons entourées de hauts murs avec un grand portails souvent sculpté, pas de doute, vous êtes dans le pays du cognac.

La colline de Beauvais-sur-Matha, toute proche, attire le regard mais partons à la découverte de celle qui domine Massac, village établi au bord du ruisseau le Briou. MASSAC - Circuit de Massac (9,5 km - 2 h 30 - dénivelée : 45 m) La colline de Beauvais-sur-Matha, toute proche, attire le regard mais partons à la découverte de celle qui domine Massac, village établi au bord du ruisseau le Briou. Situation : à 26 km à l’est de St-Jean-d’Angély Départ : salle des fêtes Balisage : jaune 1 - Partir plein sud. Le chemin descend entre les cultures puis remonte, encaissé, en sous-bois. Traverser une route. Le chemin redescend dans un bois. 2 - Tourner à gauche direction la Pinelle en longeant le bois des Gripailles. Traverser la route de Massac (D 224), prendre en face la rue des Puits et la rue du Petit Écho sur la gauche. 3 - Derrière une petite maison suivre à droite un chemin qui longe le bois de Saint-Jean en montant jusqu’au village de la Gataudière. Le traverser par la rue de la Rapine, la place Ancienne Bergerie et prendre la direction de Massac par la voie goudronnée. 4 - Au carrefour emprunter le chemin de droite qui descend entre vignes et cultures. Tourner à gauche au carrefour suivant et longer le bois Bouteau. Traverser la D226 et entrer dans le hameau de Fondouce par la rue du Briou, la place du Four puis le chemin de la Garenne. Le logis de Fondouce aurait appartenu au XVIIe siècle aux seigneurs de Massac. Un bâtiment en appentis porte la date de 1658. Dans l’immense cour plusieurs bâtiments se côtoient : un puits couvert, des toits à bêtes, des cellules d’ouvriers et des bâtiments d’élevage. Cet ensemble a fait l’objet d’une restauration par l’actuel propriétaire. 5. Passer le pont sur le Briou et longer le ruisseau par la gauche sur 500 m. Traverser à nouveau le ruisseau et tourner à droite sur un chemin traversant des jardins potagers à son extrémité. Suivre à droite la D226. Entrer dans Massac par la rue du Moulin, à gauche la Grande Rue et passer devant la mairie. Par le Canton, à droite rejoindre la salle des fêtes. L’église romane figure à l’inventaire des monuments historiques. L’unique portail - peu décoré - est surmonté d’une corniche à modillons représentation différents corps de métier. À l’intérieur le coeur a conservé de remarquables chapiteaux : un sagittaire, deux lions et une scène où un personnage (Abraham?) protège quelqu’un du démon prêt à dévorer un damné. Dans le bourg plusieurs bâtiments anciens : près de l’église, un prieuré au linteau gravé « 1646 IHS » rue de la Prairie, une maison XIIe intacte avec sa pierre d’évier surmontée d’un oeil-de-boeuf et son escalier abrité par un balet (terme charentais : une maison à balet est une petite maison rurale à étage desservi par un escalier extérieur surmonté d'un auvent).

Plus d'infos : https://www.ter.sncf.com/nouvelle-aquitaine/gares/recherche/pratique

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La Carte Famille Val’Idées permet de bénéficier d’offres privilégiées, de bons plans auprès des sites des Vals de Saintonge participant à l’opération. Retrouvez des activités de loisirs, des visites guidées, des sites de visites, des producteurs locaux, des restaurants autour d’Aulnay-de Saintonge, Saint-Jean-d’Angély, Matha, Tonnay-Boutonne, Loulay, Saint-Savinien-sur-Charente, Saint-Hilaire-de-Villefranche.

Plus d'infos : https://www.ter.sncf.com/nouvelle-aquitaine/gares/recherche/pratique

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Vous ne serez pas déçus par cette église à la fière allure de château… Et pour cause, sa façade est flanquée de deux échauguettes en poivrières reliées par un chemin de ronde crénelé, vestiges d’une fortification remontant sans doute au 15e siècle, à l’époque de la guerre de Cent Ans. L’église jouxte un logis noble, occupé par la mairie. Son chevet et sa façade occidentale donnent tout son intérêt à cet édifice du 12e siècle. Son chevet, découpé en sept travées par des colonnes-contreforts, est précédé d’une abside en cul de four. Le portail à voussures sculptées de palmettes et de fleurs, est entouré de baies aveugles. Ces dernières sont appareillées en épi, ce qui témoigne au 12e siècle comme ailleurs en Saintonge, d’un renouveau d’une tradition antique. Une corniche à modillons les surplombe où défilent masques, têtes de chat, de lion, de bœuf et d’aigle ainsi que la fameuse cagouille, l’escargot emblème des Charentais ! Ouverte tous les jours

Fondée vers 1110, sur les rives de la «Fontaine Douce», l’abbaye de Fontdouce est un des hauts lieux de l’histoire spirituelle de la Saintonge. Cette ancienne abbaye royale se love dans un vallon à la sortie d’un bois et près des vignobles, à l’écart de la route. Un cadre enchanteur et paisible, propice à la tenue d’animations, visites guidées ludiques et activités sportives avec le parc aventure dans les arbres et le laser-game outdoor…

La modestie n’interdit pas un peu d’orgueil. Malgré sa simplicité, l’église Saint-Brice se laisse voir de loin par sa situation en surplomb de la vallée du Coran. Cet édifice construit 11e siècle en moellons a été transformé au 12e siècle. Les murs de la nef ont été doublés au moyen d’arcades et elle a été dotée d’un nouveau chevet et d’un nouveau clocher. D’une silhouette élégante, il est ajouré de baies géminées sur deux étages. A l’intérieur de l’église, une statue de la Vierge à l’Enfant en bois polychrome du 18e siècle, qui provient de l’abbaye de Fontdouce, fait l’objet d’un pèlerinage. Ouverte tous les jours

Sur les rives du Coran, affluent de la Charente, le village, écrin entre vignes et forêts, abrite de nombreux joyaux.

Le fameux aqueduc, le voici ! Il est l’un des trois premiers aqueducs romains construits en Gaule, avec ceux de Reims et de Lyon. Le captage de la source de la Grand’Font au Douhet, en complément de celle de Vénérand, entraîna un aménagement conséquent du site, par le creusement de la roche pour installer le dalot, la construction de murs de soutènement et l’implantation d’une tour de garde. Plus tard, le parcours de l’aqueduc fut aménagé pour alimenter les bassins des jardins du château du Douhet construit au 17e siècle, qui abrite depuis une vingtaine années des logements privés. Aujourd’hui, l’accès à la galerie souterraine est aménagé et libre.

Entouré de bois et de champs, le bourg possède un des derniers fours à chaux à tuiles de la région du début du 20e siècle. Construit en moellons et briques, il a été restauré au début des années 2000 dans le cadre d’un chantier d’insertion. Il est désormais fonctionnel !

Vous serez accueillis par deux léopards ornant le portail. Entourée de son ancien cimetière, elle est typique des églises romanes de campagne. Construite au 12e siècle, elle a cependant subi de nombreuses mutilations. Son plan rectangulaire est surmonté d’un clocher carré au nord, dont le couronnement a été repris au 17e siècle. Sa façade Ouest, épaulée de puissants contreforts d’angles a été remaniée à la fin du Moyen Age.

Tel une vigie, la flèche de l’église Saint-Martial signale le bourg du Douhet. Le clocher carré, certainement reconstruit au 15e siècle, porte, à chacun de ses angles, un petit clocheton. Cet édifice de style roman tardif, milieu du 12e siècle, est doté d’une nef unique terminée par une abside. La façade occidentale propose la plus belle page de décor de l’édifice. On peut y admirer l’ornementation végétale très dense des voussures du portail et des arcades latérales décorées de tiges ornées de perles. Sur le portail, se mêlent animaux fantastiques et scènes historiées se rapportant aux Ecritures tels l’Agneau Pascal adoré par des anges, les Apôtres entourant le Christ en Majesté, ou la Descente de croix. A l’intérieur du chœur, plusieurs chapiteaux romans sont conservés, représentant des griffons et des lions ainsi qu’un oiseau aux ailes déployées, comparable à celui du clocher de l’Abbaye-aux-Dames de Saintes, ou encore «le supplice de l’Avare» (sa bourse pendue à son cou, entraîné par deux diables). Une peinture murale du 15e siècle représente, quant à elle, le martyr d’un évêque. Ouverte tous les jours

Remontez le temps…de 2000 ans…en passant la porte du moulin et en découvrant les fontaines ! Après l’ouverture d’un premier aqueduc entre Saintes et la source de la Font-Morillon à Fontcouverte, c’est à Vénérand et Le Douhet que les Romains décidèrent d’augmenter le débit de l’eau dès la fin du 1er siècle en créant deux embranchements. A Vénérand, la canalisation a été perturbée après son abandon au 3e ou au 6e siècle pour utiliser l’espace comme carrière. Au 18e siècle, l’eau a de nouveau été canalisée, un moulin et 2 fontaines-lavoirs ont été construits : la fontaine-lavoir du Moulin et le lavoir de la Roche aménagé un peu plus loin, comprenant deux bassins emboîtés.

Cette église, dédiée à Saint-Jacques, a été construite au 12e siècle, puis remaniée au 15e siècle comme en témoignent les colonnes gothiques qui se dressent à l’extrémité de la nef. La chapelle accolée au sud de l’église, construite en 1881, a été entièrement financée. Datation(s) principale(s) : 12e siècle ; 15e siècle ; 4e quart 19e siècle

222 avenue Jean Monnet 16170 ROUILLAC FRANCE Téléphone : +33 5 45 70 86 79 Venez découvrir, dans un cadre agréable, une cuisine franco-portugaise familiale, généreuse et créative. Nous travaillons avec des aliments frais de qualité issus, pour un grand nombre d'entre eux, des producteurs régionaux.

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Le Zinc Place Gambetta / 06 37 81 85 63 Cadre atypique et convivial. Mobilier de réception années 50-60, vieux tableaux, musique jazz-blues, l’ensemble ayant un aspect très contemporain. Service restauration : Le midi : du lundi au samedi - Fermé le dimanche

Endroit convivial pour passer un agréable moment autour d'une boisson chaude et petits gâteaux, boutique (Produits de nos terroirs, objets de décoration, bijoux, savons, ...), divers ateliers proposés.

Découvrez un pub restaurant tenu par un Gallois, perdu en Charente avec un bar décoré avec goût, une terrasse ombragée, une cuisine locale et de saison, une ambiance décontractée et un accueil souriant. Cuisine traditionnelle et généreuse. Pizzas sur place ou à emporter. Possibilité de plats végétariens.

Eric vous propose une vingtaine de pizzas, certaines aux garnitures classiques, d'autres plus originales comme celle au Maroilles. Il propose aussi de la petite restauration et des salades.

Hamburgers, tacos...

Un endroit convivial, entièrement rénové ou nous vous accueillons en toute simplicité Le bar vous surprendra avec ses snacks et planches. Nous ne travaillons qu'avec des produits frais et ne stockons pas, c'est pour cette raison que nous proposons un menu différent chaque jour.

Guinguette, soirées à thèmes 2 fois par mois, karaoké tous les vendredis

Restaurant dans le bourg du village de Vouharte.

Viticulteur depuis mon plus jeune âge, la passion de mon métier m’a ouvert l’esprit de commercer pour mettre le terroir charentais en valeur auprès des consommateurs désireux de produits authentiques. Les 33ha de vignes sont situés sur des terrains de pierrières qui conviennent pour produire de la qualité avec une exposition d’ensoleillement et une culture raisonnée qui accompagnent la mise en valeur de ce patrimoine avec séduction. Les vins charentais IGP sont issus de cépages nobles et vinifiés selon le respect du cahier des charges afin de les rendre délectables. Rencontrons-nous à la boutique ! Plus d'informations sur notre site internet. Producteur fermier appartenant au réseau Bienvenue à la ferme. https://www.bienvenue-a-la-ferme.com/

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Venez profiter de l’accueil en pays viticole charentais chez Babeth & Roland Vilneau. Bienvenue à la ferme, c’est également bienvenue dans nos chambres d’hôtes. Loin du bruit de la route, loin du vacarme de la ville, vous découvrirez le calme de la ferme charentaise. Profitez des chambres Océan, Coquelicot et Nature !