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Nichée au cœur de l'Auvergne, Vitrac, Cantal, est une destination charmante et captivante pour les amateurs de nature et de patrimoine. Commencez votre exploration en visitant le majestueux Château de Vitrac, qui offre un plongeon dans l'histoire avec ses architectures médiévales et ses vastes jardins. Ensuite, partez pour une randonnée le long de la vallée du Lot, où les paysages pittoresques du ...Voir plus

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Vitrac
0 m

Vitrac

La Méridienne verte : familiers des routes et auroroutes de notre pays, ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui se cachait derrière cette signalisation énigmatique ? Eh bien la réponse est à Vitrac : il s’agit d’un projet artistique qui symbolise le Méridien de Paris par le biais de la plantation de milliers d’arbres entre Dunkerque et les Pyrénées en passant par… Vitrac justement. En fait, ce sont toutes les couleurs qui sont mises à l’honneur dans cette commune du cœur vert de la Châtaigneraie. Car le village sait tromper son monde : sous des abords anodins, ses rues et ses édifices publics abritent une collection de peintures en trompe-l'œil qui vous feront à coup sûr tomber dans le panneau avec plaisir... Et pour peu que vous rendiez visite à la commune en été, c’est littéralement sur un troupeau de bâches que vous tomberez ! Vous avez bien lu : “Troupeau de bâches”, c’est le nom d’une exposition de photos grand format imprimées étendues sur les murs du village et dont le thème est renouvelé chaque année. Vitrac, commune pittoresque à la fibre hautement artistique donc, mais pas seulement ! Les amateurs de légendes n’y seront pas en reste, et pourront même partir sur les traces du diable… Le Trou du Diable est en effet l’une des curiosités naturelles les plus fréquentées de la Châtaigneraie. Il s’agit d’un amas rocheux entravant le cours de la Rance et offrant un cadre charmant pour un pique-nique estival. Ou pour une simple pause fraîcheur sur l’itinéraire de randonnée du même nom qui effectue une boucle de 11 km au départ de Vitrac, ou encore sur les 24 km du parcours du circuit VTT “Du Gour aux carriérous”. Avant de quitter Vitrac, n'oubliez pas de jeter un petit coup d'œil à l'église Saint-Martial, ouverte tous les jours. Elle renferme un banc d'œuvre de toute beauté, le banc des Fargues, du nom d'une illustre famille locale. D'ailleurs, l'élégant château familial, d'origine médiévale puis remanié aux siècles suivants, se dévoile à quelques pas vers l'est du cœur du village : profitez-en ! Alors, vous êtes convaincus cette fois qu’à Vitrac, tous les goûts sont dans la nature ?...

15220 Vitrac
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Église Saint-Jean de La Salvetat
3.2 km

Église Saint-Jean de La Salvetat

L’église Saint-Jean-la-Salvetat, reconstruite au XIIe siècle, est le vestige d'une ancienne commanderie des Chevaliers de Malte. Elle est mentionnée pour la première fois en 1019 à l'occasion d'une donation à l'abbaye de Conques. Au XIIe siècle, elle est donnée aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Ceux-ci y établirent une commanderie de leur ordre, qu'ils intitulèrent "Préceptorie Salvitate". La Salvetat était un lieu d'asile où tout homme était libre et y jouissait de certains privilèges pour sa personne et ses biens. Fief à la fois laïque et religieux, la commanderie jouissait de tous les droits féodaux : justice (haute, moyenne et basse), dîmes, cens et rentes sur toute l'étendue de la paroisse. En 1603, ruinée par les guerres de religion, l'église est reconstruite. Au bâtiment primitif, un simple rectangle, sont adjointes deux chapelles. L'église présente un chœur voûté sur croisées d'ogives et un clocher à arcades refait au XVIIe siècle. Sur la clef de voûte du chœur on peut y voir sculptée la célèbre croix de leur ordre dite croix de Malte, à huit pointes. L'ensemble extérieur des bâtiments de l'ancienne commanderie est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. À l'intérieur de l'édifice on peut y voir de magnifiques vitraux rappelant le passé glorieux et le côté caritatif de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Outre ses vitraux, on peut également admirer un trésor d'orfèvrerie : notamment un très beau calice offert en 1863 par Napoléon III. Source : Livret "Patrimoine et Art sacré".

La Salvetat 15220 Saint-Mamet-la-Salvetat
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Église de Saint-Mamet
4.7 km

Église de Saint-Mamet

L'église de Saint-Mamet apparaît pour la première fois dans un document de 1019 qui mentionne qu'avec celle de Saint-Jean (église de La Salvetat) elle furent offertes à l'abbaye de Conques par des seigneurs de Calmont d'Olt. Jusqu'au XIVe siècle, l'église et la paroisse de Saint-Mamet appartenaient à l'abbaye de Conques. Elles passèrent ensuite au chapitre cathédral de Clermont auquel revint jusqu'à la Révolution, le choix et la nomination du curé du lieu. L'édifice actuel n'est bien sûr pas celui de l'an mil, construit selon la légende sur la tombe de saint Mamet. Ce diacre fût avec saint Mary, compagnon de saint Austremoine, venu évangéliser cette partie méridionale de l'Auvergne. De ce premier lieu de culte rien ne subsiste, il fut remplacé au XIIIe siècle par une église gothique. La belle fenêtre ogivale qui éclaire le chœur avec des petites colonnettes est d'ailleurs une caractéristique de cette époque. Sa nef est composée de deux travées et appartient tout comme le chœur aux XIVe et XVe siècles. Le tout est voûté en pierre. Sur la clef de la croisée d'ogives du chœur, est figurée la main de dieu créant le monde. L'église était alors de plan classique formant une croix latine dont le transept était matérialisé par deux chapelles latérales, auxquelles d'autres vinrent s'adjoindre au cours des siècles. Dans le chœur on peut voir un magnifique retable inscrit aux Monuments Historiques comportant les statues de saint Mamet et saint Roch. Par ailleurs, tout l'édifice souffrit terriblement des guerres de Religion. En effet, en 1569, les Huguenots s'emparent de la ville, l'incendient avec l'église et tuent le prêtre. L'occupation d'Aurillac et des forts alentours dont celui de Saint-Mamet par les calvinistes, permit à ces derniers de se livrer à toutes les exactions et destructions possibles. Ils assouvirent leurs haines des catholiques, en saccageant et incendiant plus particulièrement toutes les églises des environs. Après leur départ, il fallut panser les plaies, restaurer et sortir des décombres les bâtiments et édifices religieux. L'église de Saint-Mamet fut restaurée grâce aux dons des paroissiens. En 1680, un terrible incendie détruisit la quasi-totalité du village dont l'église. Un mois après le désastre, les consuls et corps communs décidèrent de sa remise en état. Au XIXe siècle l'église est agrandie car le nombre de paroissiens a beaucoup augmenté : on démolit les chapelles latérales et on les remplace par des bas-côtés. Depuis ces importants travaux, l'église n'a pas subi d'autres transformations. si ce n'est son porche néo-roman mis en place à la fin du XIXe siècle.

15220 Saint-Mamet-la-Salvetat
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Marcolès - Petite Cité de Caractère® et Plus Beau Village de France®
4.8 km

Marcolès - Petite Cité de Caractère® et Plus Beau Village de France®

Cité médiévale fortifiée au XIIe siècle, Marcolès a conservé ses deux portes que relie la rue Longue. Le long de cette axe, coeur de l'activité du village depuis des siècles, s'alignent d'adorables façades Renaissance au charme irrésistible. Marcolès fait partie de ces villes et villages dont rien au premier abord ne laisse deviner la beauté lorsqu'on y accède pour la première fois. Première surprise à la vue de la place de la Fontaine, vers laquelle tous les chemins convergent : une imposante mais coquette auberge du XVIIe siècle typiquement cantalienne fait face à un portail à l'évidente origine médiévale. L'ouverture qu'il ménage vers le centre du village laisse entrevoir d'autres petites merveilles qui ne demandent qu'à être dévoilées. Et si on s'arrêtait un peu plus longuement ?... Si Marcolès fait le bonheur des touristes, c'est à son passé de "bonne ville" que le village le doit. À une époque où se déplacer était une tout autre besogne que de nos jours, sa situation en hauteur, environ 700 mètres, en faisait une étape fréquentée sur la route des monts d'Auvergne au Midi. Les caves qui soutiennent les belles maisons de la rue Longue servaient à abriter les marchandises qui firent la prospérité des négociants de Marcolès pendant la Renaissance. Le seigle, le sarrasin et les fourmes de cantal qui s'échangeaient à Marcolès ont été remplacés par les productions des artisans. Ceux-ci redonnent vie à ces demeures couvertes de lauzes au superbe appareillage de pierre de granit et aux élégantes fenêtres à meneaux. Parcourir la rue Longue est un véritable enchantement, mais il ne faudrait pas pour autant négliger les ruelles pavées adjacentes. Le dédale des "carriérons", comme on les dénomme toujours à Marcolès conformément à la tradition occitane, constitue d'emblée une véritable invitation à s'y perdre, et il est d'autant plus plaisant de s'y risquer que la nuit est avancée : atmosphère féerique garantie à la lueur des lanternes... L'un de ces "carriérons" vous mènera au sommet du village où vous attend l'église Saint-Martin. C'est d'ailleurs ici que tout a commencé, au Xe siècle, autour d'un modeste prieuré bénédictin devenu point d'ancrage pour une petite communauté dont les habitations agglomérées ont fini par former un petit castrum défensif, noyau de la future Marcolès. C'est seulement au XVe siècle, prospérité oblige, que l'église actuelle fut érigée. Les plus fortunés de ses fidèles lui ont adjoint par la suite pas moins de huit chapelles destinées à garantir le salut de leur âme. Saint-Martin a conservé une partie de ses décors peints, ce qui ne nuit pas à son agrément, bien au contraire. Parmi l'abondante statuaire que renferme l'église, vous rencontrerez une œuvre figurant saint Martin lui-même. Il s'agit d'une statue-reliquaire en bois du XIVe siècle discrètement posée à l'entrée d'une des chapelles de gauche. Trop discrètement peut-être... mais il se dit que le fameux évêque de Tours pourrait bientôt bénéficier d'une mise en valeur plus digne de son statut. Suivez donc une visite guidée lors de votre venue les lundis d'été, vous en saurez sans doute un peu plus à ce sujet... Une équipe est à votre disposition toute l'année au 06 63 07 15 10 pour les groupes. Elle vous propose de découvrir sur une journée ou une demi-journée la cité, selon un programme à la carte que vous composerez ensemble. Une vidéo de découverte patrimoniale défile aussi en permanence dans le centre du village, sur le parking de l'An 2000, là où vous laisserez votre voiture. En famille, vous pourrez même vous lancer dans une chasse aux trésors dans les rues de Marcolès. Seuls prérequis : un âge minimum conseillé de 6 ans et une belle envie d'apprendre en s'amusant ! Et comme si tout cela ne suffisait pas, sachez que Marcolès propose un programme d'animations estivales à la hauteur de sa réputation. Alors il ne vous reste plus qu'à faire votre choix : la frénésie d'un jour de fête où se mêlent Marcolésiens et visiteurs d'un jour ou la mystérieuse magie des "carriérons" rendus à vous seuls... Outre la visite gratuite du village les lundis d'été à 14h30, voici, à titre d’exemple, ce que nous pouvons proposer aux groupes pour passer une belle et agréable journée à Marcolès : 10h - 10h30 : accueil à Marcolès 10h30 - 12h : 1er temps de visite Visite accompagnée de la cité médiévale 12h - 14h30 : repas (restaurant ou salle polyvalente) et temps libre 14h30 - 16h : 2e temps de visite Visite de la forge puis de la saboterie (en demi-groupes) ou Visite de l’hydromellerie. 16h - 17h : 3e temps de visite Autre choix dans la liste ci-dessus. 17h - 17h30 : départ de Marcolès Notre offre est disponible toute l'année. N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements, pour préciser votre offre, pour réserver une date, pour composer votre programme.

15220 Marcolès
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Saint-Mamet-la-Salvetat
4.8 km

Saint-Mamet-la-Salvetat

Saint-Mamet-la-Salvetat, deuxième commune de la Châtaigneraie cantalienne par la population, en est le chef-lieu. Petit bourg aux multiples commerces et services, Saint-Mamet offre l'un des points de vue les plus saisissants sur le volcan cantalien. Malgré le développement de l'habitat pavillonnaire, le cœur du village n'a rien perdu de son charme typiquement cantalien, avec ses murs de pierre d'origine volcanique et ses toits de lauze très pentus qui laissent deviner la préoccupation de leurs bâtisseurs quant à la rudesse récurrente du froid. La rue principale dégage toujours une plaisante impression d'harmonie, que l'austère façade de l'église Saint-Mamet ne vient pas rompre, bien au contraire. Bien que ce sobre édifice ne laisse rien paraître, une série de vicissitudes a jalonné son histoire millénaire : saccages lors des guerres de Religion, incendie en 1680, transformations du XIXe siècle parachevées par la construction du porche néo-roman qui vous accueille. Ne manquez pas de pousser ses portes, vous y admirerez un monumental retable en bois doré ainsi qu'un grand tableau illustrant le martyre de saint Laurent, brûlé vif sur un gril. Le saint patron des rôtisseurs a justement légué son nom au sommet qui domine le centre du bourg : le puy Saint-Laurent. En seulement quelques enjambées, on y rejoint la délicieuse chapelle romane qui en couronne le sommet. Grâce à la table d'orientation voisine, vous vous essaierez peut-être à identifier les sommets cantaliens qui se déploient soudain devant vos yeux : puy Mary, puy Griou, plomb du Cantal... nulle part ailleurs ceux-ci vous sembleront aussi proches et majestueux. Elle, vous ne la verrez qu'en vous rendant sur place : la commanderie de La Salvetat, comme toutes ses homologues, nous renvoie aux temps des croisades et de leurs bras armés, les ordres militaires. Puisant leur origine dans le besoin de la Chrétienté de défendre ses possessions en Terre sainte, quelques-uns de ces ordres acquirent une puissance et des richesses telles qu'elles suscitent encore l'imagination de nos jours. Les commanderies situées en Europe avaient un rôle fondamental puisqu'elles assuraient le financement des armées actives en Orient grâce aux terres agricoles dont elles avaient la charge. Elles assuraient en outre le recrutement et la formation des fameux moines-soldats et prodiguaient les soins à ceux des leurs blessés au combat, et elles offraient refuge aux pèlerins en route vers Jérusalem. Les Hospitaliers furent les maîtres des lieux jusqu'à la Révolution française, et si l'église, devenue paroissiale, et le logis du Commandeur, vendu comme bien national, ont subi maintes adaptations depuis le Moyen Âge, l'ensemble conserve toutefois un certain pouvoir évocateur. Aujourd'hui, les randonneurs ont remplacé les pèlerins et les moines-soldats, à La Salvetat comme à Saint-Mamet. La commune compte en effet pas moins de quatre itinéraires : "La Salvetat", long de 5 km, offre un parcours largement boisé et agrémenté de beaux points de vue. Une partie de son tracé est commune avec "Le Rêtre", l'itinéraire le plus long (14 km), dont le départ se trouve à Saint-Mamet. Au départ de Saint-Mamet, mais se dirigeant vers le nord, "Le Puy-Saint-Laurent" permet de prolonger un peu l'ascension du petit sommet. Si ses 3 km ne vous suffisent pas, optez alors pour "Le Pénard", qui en fait 8, et où vous apprécierez le patrimoine bâti que vous rencontrerez en chemin, en plus bien entendu des occasions de rêver devant la ligne d'horizon que dessinent les monts du Cantal.

15220 Saint-Mamet-la-Salvetat
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Boisset
6 km

Boisset

En plein cœur de la Châtaigneraie, Boisset est un petit paradis pour les marcheurs. Pas moins de trois itinéraires de randonnée s'y déploient, tirant parti des vallons qui échancrent le territoire de la commune. Le village lui-même se trouve au cœur de l'un de ces vallons, cerné de toutes parts de verdoyants coteaux. L'église Saint-Martin, de fondation romane puis remaniée pendant la période gothique, fut reconstruite en 1870 car elle menaçait ruine. La chapelle Saint-Pierre, au milieu du cimetière, subit le même traitement en 1899, mais son caractère gothique est nettement plus apparent. Ses voûtes d'ogives sont ornées de motifs géométriques, rinceaux et fleurs de lys peints au XVIIe siècle qui, avec le retable peint en trompe-l'œil, font tout le charme du petit édifice. Quant au château d'Entraygues, ne le cherchez pas aux abords du village. Bien qu'il soit aisément accessible en voiture, à 5 km en direction du sud, le meilleur moyen de l'aborder est à pied, par l'itinéraire "Les Quatre Vallées", car on a ainsi le loisir de le surplomber. En été, ne manquez pas l'occasion de le visiter si vous passez par là le jeudi, ses somptueux aménagements intérieurs vous transporteront jusqu'au siècle des Lumières. Cela dit, si vous êtes à pied, ne vous attardez pas trop. "Les Quatre Vallées", ce sont 22 km de montées et de descentes : la plus longue randonnée en Châtaigneraie ! Autant dire qu'on n'a pas trop de sa journée pour le parcourir de bout en bout... Une autre option si cela vous semble trop long : "Le Moulègre", qui fait 14 kilomètres, réserve moitié moins de dénivelé, mais qui est aussi peu avare en points de vue sur les souples ondulations du paysage. Comme "Le Moulègre", "Le Bouzaï" porte le nom d'un des petits cours d'eau qui traversent Boisset. Sur ce dernier parcours long de 7 km alternent des petits sentiers boisés et pentus et des sections plus plates et ouvertes sur la campagne environnante. Évidemment, un tel terrain se prête aussi idéalement à la pratique du vélo, si bien que deux itinéraires cyclo traversent Boisset. Longs d'une soixantaine de kilomètres chacun et réputés difficiles, "Au cœur de la Châtaigneraie" et "La Châtaigneraie entre Cère et Rance" exploitent au maximum les petites routes de crête qui sillonnent le sud et le centre de la Châtaigneraie. Et puisque après tous ces efforts, rien ne vaut le réconfort d'une eau bien chaude, en été, vous pourrez profiter des joies de la piscine municipale. Alors jetez-vous à l'eau : venez à Boisset !

15600 Boisset
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾