Découvrez Philippeville, Namur, Namur : trésors et activités

Parcours éclairant dans les galeries souterraines de Philippeville aménagées par Vauban vous plongeant au cœur du XVIIème siècle, l’époque où les grandes dynasties se partageaient l’Europe. Le chant mélodieux des cloches de la basilique Sainte-Materne de Walcourt avec son clocher bulbeux atypique visible à plusieurs kilomètres à la ronde. Le long de ce parcours points-noeuds, des parfums enivrants s’échappant des charmantes boutiques de nos producteurs avec leurs produits à la texture qualitative et saveur gourmande.    À FAIRE :Déambuler dans les souterrains de Philippeville; Goûter les différents parfums des fromages à pâte pressée de Carine à la ferme d’Après L’Vallée; Boire une bière de la Brasserie et/ou déguster un plat de terroir chez L’Père Sarrasin; Faire une randonnée avec les ânes d’Anes & Co; Découvrir la basilique Sainte-Materne de Walcourt; Faire son propre parfum chez Oô Parfums; Découvrir les produits de la chèvrerie de La Machine. À VOIR :Place d’Armes de Philippeville; Statue de Saint-Pierre à Villers-Deux-Eglises; Tour romane de l’église de Daussois; Remparts de Walcourt. 

Le parcours de Philippeville à Mariembourg traverse des villages typiques de la Fagne namuroise, notamment à Samart et Roly avec son imposant château-ferme. Les jolies maisons en pierre du pays vous laisseront sous le charme. Entre forêts de chêne et prairies vallonnées, vous sillonnerez des chemins parsemés de petites réserves naturelles. À proximité des ruines du château de Dourbes, vous rejoindrez le Viroin, rivière sauvage délimitant la frontière naturelle entre la Fagne et l’Ardenne.

Cette belle randonnée, traversant bois, campagne et villages typiques, passe à proximité de Fagnolle, un des Plus Beaux Villages de Wallonie. Quelques petits sommets offrent de jolis points de vue sur les paysages environnants. Pour les plus sportifs, cette boucle de 19,5 km peut facilement passer à 29,5 km si on la démarre de la Place d'Armes à Philippeville où se trouvent également les souterrains, en suivant le même balisage. Ces galeries souterraines du 17ème siècle reliaient les postes de garde extérieures à l'enceinte principale de la Place Forte de Philippeville.

Vous quittez Sautour par le bois de Sautour avant d’arriver à Roly et ses jolies maisons en pierre du pays. Paysages de cartes postales à Roly et Sautour, villages typiques de la Fagne namuroise entre forêts de chênes, prairies et collines. Après avoir admiré le château-ferme, patrimoine médiéval classé, vous continuez votre chemin vers Fagnolle et Dourbes. Au sud et à l’ouest de Dourbes, une réserve naturelle s’étend sur plus de 200 hectares. Elle est composée de deux sites calcaires majeurs de Wallonie : la Montagne-aux-Buis et la Roche à Lomme, deux imposantes collines dominant la vallée de l'Eau Blanche. C’est dans cette vallée à la confluence de l’Eau Blanche et de l'Eau Noire que naît le Viroin. Vous serpentez autour de ce dernier jusque Vierves-sur-Viroin, l’un des “Plus Beaux Villages de Wallonie”, et son splendide château des Comtes de Hamal à l’architecture spécifique.   

La balade vous emmène dans les rues d'un petit village agricole du Condroz, à la rencontre d'agriculteurs passionnés qui ont vu évoluer leurs pratiques au cours du temps. La ferme des Briques, la ferme de la Bouverie, l'ancien lavoir, les prairies humides,... Aussi à télécharger sur: http://www.entresambreetmeuse.be/sentiers.php3?lang=fr&id_secteur=1&id_rubrique=18&liste=197&niveau=55&zone=52&id_article=901&mot=

Au départ de l'église de Senzeilles entre chemin et bois. Vous pourrez découvrir la carrière du Beauchâteau, le refuge à chauve-souris ou une magnifique vue du château de Senzeilles. Promenade 10 de la carte de promenade "Les Lacs de l'Eau d'Heure"  Croix jaune - 9km

Au départ de l'église de Senzeilles, vous traverserez les villages de Soumoy et de Villers-deux-Églises. Vous arpenterez les sentiers et routes empierrées ainsi que le bois de Soumoy. Promenade 11 de la carte de promenade "Les Lacs de l'Eau d'Heure". Croix verte - 15km

Le circuit traverse la forêt domaniale de Florennes, puis la forêt communale de Villers-le-Gambon, et enfin une partie de forêt privée. La forêt est essentiellement composée d’une vieille futaie de chênes séculaires, rajeunie par diverses plantations feuillues ou résineuses. La forêt domaniale de Florennes est retenue comme site Natura 2000. Le Pic noir et le Pic mar y cohabitent avec les chevreuils et sangliers. De nombreuses espèces de libellules, papillons, oiseaux et mammifères divers ont également trouvé refuge dans la forêt et ses lisières ensoleillées. On y trouve également des tapis d’orchidées en juin pour le plaisir des yeux. Afin de préserver cette flore particulière, la cueillette est interdite.

Au cœur d'une zone Natura2000 de plusieurs centaines d'hectares, découvrez l'habitat naturel du pic noir et de l'orchidée tachetée. Appréhendez les richesses de toute une vie sauvage le long du sentier qui traverse un remarquable massif forestier. Ce parcours presque exclusivement forestier ravira les promeneurs amoureux de nature. Si la majorité des sentiers et chemins empruntés sont aisément praticables, d'autres assez accidentés et boueux sont difficilement accessibles aux personnes à mobilité réduite et aux poussettes. A noter, deux traversées dangereuses de la grand-route.

C'est en 1656, que Vauban, ingénieur militaire, sous Louis XIV, apporte toutes les modifications à la Forteresse de Philippeville. Il en développe les moyens de défense et il accentue la forme étoilée du site. De ces travaux subsistent à ce jour une partie du réseau souterrain. Dix kilomètres très précisément dont 400 mètres visitables. Des galeries qui se situent à 10 voire 15 mètres de profondeur et qui font deux mètres de large. Entièrement construites à la main des pierres du pays, elles ont une forme arrondie en leur sommet. En pratique, elles reliaient les postes de garde extérieurs à l'enceinte principale de la place forte de Philippeville. La visite guidée (+/- 1 km) est précédée d'un film relatant l'histoire de la région, de la ville et des souterrains.

En toute autonomie ou en compagnie d’un guide nature, partez découvrir au pas de l'âne un environnement préservé à partir du charmant village de Sautour. Découvrez des points de vue insoupçonnés ainsi que la grande variété des paysages traversés. Sans oublier la quiétude que vous pourrez ressentir en compagnie de ce doux animal. L’âne nous fait découvrir des faces cachées de notre environnement, nous invite à appréhender l’autre différemment, retisse des liens entre les personnes et favorise des dynamiques de groupes solidaires.  

Au cœur d’une nature verdoyante, à proximité du site récréatif des Lacs de l’Eau d’Heure et de la Principauté de Chimay, ce magnifique gîte rural allie authenticité avec ses belles pierres du pays et modernité avec ses aménagements tendances et fonctionnels. Les propriétaires du Gîte Côté Grange vous accueillent chaleureusement dans leur intérieur cosy. Les chambres y sont décorées avec beaucoup de goût et de raffinement. Très belle et spacieuse terrasse plein sud avec vue sur le bucolique jardin. À proximité, découvrez les nombreuses promenades balisées, les charmants villages de Philippeville aux allures de cartes postales, ses souterrains, etc.   

Situé près de Philippeville à Villers-le-Gambon, le meublé de vacances Les Jours Heureux vous propose un séjour cosy et propice à la détente au plus proche de la nature. Cette tiny house, alliant optimisation de l’espace et démarche éco-responsable, est parfaite pour un séjour romantique ou une pause loin du stress. Les propriétaires vous accueillent dans leur logement offrant tout le confort moderne. Profitez d’une terrasse plein sud avec vue imprenable sur la campagne environnante parfaite pour un café au lever du soleil ou admirer les étoiles la nuit. Idéal pour un séjour en couple ou en famille. À proximité de randonnées à pied et/ou à vélo, des prestigieux souterrains de Philippeville et de sa ville fortifiée à la Vauban, ou encore des barrages de l’Eau d’Heure.

Que cela soit simplement pour vous détendre, ou encore pour voyager dans un autre monde, venez créer votre parfum de vos propres mains! ÔÔ Paradis des Sens, une occasion unique de réveiller vos 7 sens à travers des expériences interactives inédites. "Parcours Olfactifs" avec dégustation de spécialités dérivées des thés, ateliers de créations de parfums, etc. Une expérience sensorielle inoubliable à vivre entre amis, famille ou collègues !

Lové dans un cadre verdoyant à Philippeville, cette spacieuse maison de vacances offre un hébergement tout confort et idéal pour les séjours en grand groupe. Le gîte Champs de Fagne, autrefois propriété d’un brocanteur, séduit avec ses pièces aérées et lumineuses dotées d’un mobilier moderne et d’une décoration épurée. À l’extérieur, une très belle terrasse en bois avec un vaste jardin arboré et une magnifique vue sur la nature. Ambiance chaleureuse et feutrée en hiver avec le poêle à bois du salon. Le gîte vous propose un abri à vélos sécurisé et un kit de nettoyage. À proximité, de nombreux parcours balisés à pied et/ou à vélo. Ne faites pas l’impasse sur la visite des souterrains de Philippeville signés Vauban et ses 600 mètres de galeries souterraines. 

Ancienne mine de plomb et de pyrite, devenue ensuite fabrique de chocolat, la Chocolaterie de Roly vous propose ses chambres d’hôtes à l’atmosphère unique. Dans un cadre verdoyant de 5 hectares à Philippeville, les propriétaires vous accueillent dans leur sublime demeure en pierres du pays. Espace bien-être doté d’un sauna et d'un bain finlandais extérieur. Agréable terrasse et jardin avec une belle vue sur la campagne. Petit-déjeuner complet concocté à base de produits locaux et de saison. Possibilité de prendre un repas au sein du restaurant la table du Presbytère (situé à 5 km). À proximité des souterrains, à 10 minutes du karting, de la brasserie des Fagnes et du Parc national.  

Situé en plein cœur de la forêt, le gîte Cocon dans la Forêt vous promet un séjour dépaysant au cœur d’une nature luxuriante et authentique. Les pièces de cette charmante demeure sont bien agencées et pourvues d’une décoration mêlant bois et mobilier moderne. Possibilité de se détendre dans le hamac géant avec une vue imprenable sur la forêt ou en contemplant le ciel étoilé. Terrasse privative équipée d’un barbecue au gaz et d’un salon de jardin. Tout près du parc naturel Viroin-Hermeton, les amateurs de randonnées seront ravis dans cette région comportant une faune et une flore très riches avec l’éventuelle possibilité de croiser des biches, sangliers, écureuils, etc. à proximité, d’autres activités sont possibles : les lacs de l’Eau d’Heure, l’Aquascope Virelles, le karting des Fagnes, etc. 

C'est en 1656, que Vauban, ingénieur militaire, sous Louis XIV, apporte toutes les modifications à la Forteresse de Philippeville. Il en développe les moyens de défense et il accentue la forme étoilée du site. De ces travaux subsistent à ce jour une partie du réseau souterrain. Dix kilomètres très précisément dont 400 mètres visitables. Des galeries qui se situent à 10 voire 15 mètres de profondeur et qui font deux mètres de large. Entièrement construites à la main des pierres du pays, elles ont une forme arrondie en leur sommet. En pratique, elles reliaient les postes de garde extérieurs à l'enceinte principale de la place forte de Philippeville. La visite guidée (+/- 1 km) est précédée d'un film relatant l'histoire de la région, de la ville et des souterrains.

L’ancienne halle de Philippeville est un important bâtiment de style classique construit en bel et grand appareil de calcaire dans le dernier quart du 18e siècle. Une première construction date toutefois du 16e siècle, pendant la période espagnole, probablement vers 1588. Le mur situé à droite et décoré de volutes et d’un oculus date quant à lui de 1700. Au départ, la halle joue un rôle économique et politique et ne comporte pas d’étage. Les travaux menés par les Français au 18e siècle dotent l’édifice de cet étage ainsi que d’un balcon ; le rez-de-chaussée est pour sa part maintenu en l’état et est caractérisé par une série d’arcades. En 1819, sous le régime hollandais, les halles sont pavées en pierre de taille. Leur fonction évolue après la Seconde Guerre mondiale lorsqu’elles sont transformées en hôtel de ville dans les années 1950. Après le départ des services communaux, le bâtiment accueille un bureau de police avant d’être fermé en 2007 pour raisons de sécurité. Une longue et importante restauration est entreprise entre 2010 et 2014 afin d’installer le foyer culturel et le syndicat d’initiative et du tourisme de Philippeville. Classement comme monument le 27 septembre 1972

Le 1er octobre 1555, plus de cinq mille hommes creusaient les fondations d’une ville nouvelle, la place forte de Philippeville. Conçue par l’architecte Sébastien Van Noyen à la demande de la gouvernante générale des Pays-Bas espagnols Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint, la ville devait faire face à la menace des armées françaises d’Henri II qui venaient assiéger Mariembourg. La situation stratégique de la nouvelle place barrant la route de l’Entre-Sambre-et-Meuse en fit rapidement un bastion fort convoité et Philippeville ne demeura espagnole qu’à peine plus d’un siècle. En application des clauses du Traité des Pyrénées en 1659, la place forte passa à la France qui la conserva jusqu’en 1815. La grande majorité des édifices militaires conservés actuellement datent de l’occupation française de la ville. Au centre de l’îlot délimité par les rues de la Roche et de la Petite Roche se trouve la Cour des Cavaliers, située à proximité immédiate de l’emplacement de la caserne de cavalerie et des écuries aujourd’hui disparues et transformées en parking. L’immeuble du numéro 4 de la Cour et les maisons voisines forment les anciennes casernes d’infanterie, érigées dans la seconde moitié du 17e siècle et formées par deux ailes en L ponctuées par trois grosses bâtisses carrées. Les bâtiments principaux, de 12 m sur 12 m, sont élevés sur deux niveaux et ont été divisés en habitations particulières. Classement comme ensemble architectural le 23 septembre 1997  

1555, Mariembourg, cité de Charles-Quint, tombe aux mains des Français : un verrou de la défense de l'Empire s'ouvre. Qu'importe pour l'Empereur ! En trois mois, Philippeville, du nom de son fils, est érigée et ceinturée de remparts.

Fondée en 1555 par les Espagnols, la forteresse de Philippeville conserve longtemps une présence et un rôle militaires. Passée sous domination française en 1659 puis hollandaise en 1815 avant d’intégrer la Belgique après la Révolution de 1830, la ville est encore fortement marquée par son histoire de place forte. Les fortifications sont déjà partiellement démantelées par les Hollandais en 1820 et disparaissent entièrement en 1853. Une présence militaire subsiste toutefois jusqu’en 1970. La physionomie de la ville est de nos jours largement tributaire du 18e siècle ; le plan radioconcentrique de la place forte est encore sensiblement apparent dans le tracé des rues du centre au départ de la place d’Armes. Parmi les bâtiments militaires érigés sous domination française se trouve un ancien hôpital, également appelé hôpital de la caserne. Déterminant une cour triangulaire avec un ancien mur de l’arsenal et un mur de clôture, il s’agit d’une construction de la seconde moitié du 17e siècle, une des premières entreprises par les Français. L’édifice adopte un plan en L dont l’aile située à front de rue est peut-être plus récente (début du 18e siècle) et a été modernisée dans la tradition classique au 19e siècle. Ces bâtiments étaient autrefois occupés par le 10e de Ligne. Classement comme monument le 21 avril 1988  

Les anciennes pompes en pierre ou en fonte de nos villes et campagnes sont les témoins d’un passé où le robinet n’existait pas dans la maison. Apparues peu avant les pompes en fonte, les pompes en pierre s’en différencient par leur matériau, noble et prestigieux, et sont plus imposantes. À l’inverse des produits en série de la métallurgie, les pompes en pierre sont à chaque fois une création nouvelle et sont ainsi plus rares dans les villages que dans les villes. On en retrouve essentiellement dans les provinces du Brabant wallon, du Hainaut et de Namur. Conçues dans un appareillage monumental, ces pompes contiennent un piston intérieur actionné par le bras ; une fois que l’air est totalement aspiré après quelques coups de piston, la pompe est amorcée. Ce genre d’installation est théoriquement capable d’aspirer de l’eau de 8 à 10 m de profondeur. La pompe située à l’intersection des rues de France et du Quartier Brûlé est une des plus anciennes conservées en Wallonie et a de ce fait mérité son classement. Érigée en grand appareil de calcaire, elle date du 18e siècle et a conservé son mécanisme en fonte. Classement comme monument le 6 mars 1991  

Le 1er octobre 1555, plus de cinq mille hommes creusaient les fondations d’une ville nouvelle, la place forte de Philippeville. Conçue par l’architecte Sébastien Van Noyen à la demande de la gouvernante générale des Pays-Bas espagnols Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint, la ville devait faire face à la menace des armées françaises d’Henri II qui venaient assiéger Mariembourg. La situation stratégique de la nouvelle place barrant la route de l’Entre-Sambre-et-Meuse en fit rapidement un bastion fort convoité et Philippeville ne demeura espagnole qu’à peine plus d’un siècle. En application des clauses du Traité des Pyrénées en 1659, la place forte passa à la France qui la conserva jusqu’en 1815. La grande majorité des édifices militaires conservés actuellement datent de l’occupation française de la ville. La rue de France, une des artères du centre de l’ancienne forteresse, est partiellement reconnue « ensemble architectural ». La mesure de classement concerne huit maisons situées du côté impair de la rue et portant les numéros 17 à 31. Ces maisons, datant essentiellement du 18e siècle, ont été érigées en moellons de calcaire, brique ou pierre bleue, le plus souvent sur deux niveaux. Le numéro 23 conserve de beaux garde-corps en fer forgé, alors que le numéro 25 présente une belle façade de style Louis XIV du premier tiers du 18e siècle, un exemple rare en Wallonie. Les numéros 27 et 29 ont été érigés quant à eux dans la première moitié du 19e siècle. Classement comme ensemble architectural le 28 janvier 1991  

En 1555, les Espagnols édifient de toutes pièces une forteresse près du village disparu d’Écherennes. Cette nouvelle ville forte est baptisée en l’honneur du nouveau roi d’Espagne Philippe II. Il s’agit de protéger cette enclave namuroise en terres liégeoises des velléités des rois de France qui, toutefois, obtiennent la possession de la place forte à la suite de la signature du traité des Pyrénées en 1659. L’église Saint-Philippe est aujourd’hui le seul monument contemporain de la fondation de la ville par les Espagnols, les autres bâtiments anciens ayant été construits et remaniés par les Français. Décentrée par rapport à la place d’Armes, cœur de la forteresse, elle a été érigée dès 1556 en calcaire. De style gothique, elle était à l’origine une chapelle militaire bâtie pour la garnison installée à Philippeville. La date de son édification nous est renseignée par la pierre de fondation, conservée à l’intérieur et portant une longue inscription latine relatant les circonstances de l’événement. Le sanctuaire abrite également une trentaine de monuments funéraires de personnages liés au passé militaire de la ville sous la domination française (1659-1815). L’intérieur est remanié entre 1750 et 1761 en style classique par l’architecte Jean-Baptiste Chermanne, mais des travaux menés en 1906 sous la direction de l’architecte Lange firent disparaître ces aménagements. Sont toutefois conservées des stalles de style Louis XIV du début du 18e siècle et des fonts baptismaux contemporains de la fondation de l’église. Classement comme monument le 15 janvier 1936  

Fondée en 1555 par les Espagnols, la forteresse de Philippeville conserve longtemps une présence et un rôle militaires. Passée sous domination française en 1659 puis hollandaise en 1815 avant d’intégrer la Belgique après la Révolution de 1830, la ville est encore fortement marquée par son histoire de place forte. Les fortifications sont déjà partiellement démantelées par les Hollandais en 1820 et disparaissent entièrement en 1853. Une présence militaire subsiste toutefois jusqu’en 1970. La physionomie de la ville est de nos jours largement tributaire du 18e siècle ; le plan radioconcentrique de la place forte est encore sensiblement apparent dans le tracé des rues du centre au départ de la place d’Armes. Parmi les bâtiments militaires érigés sous domination française se trouve une ancienne caserne dite « des Fours ». Elle a été érigée à la fin du 18e siècle comme le précise une inscription située sous la corniche « Ci-dessous a été placée la 1re pierre le 5 mai 1785 ». La caserne a été construite en style classique, en moellons de calcaire. Sous le régime belge, elle était le lieu de casernement du 7e de Ligne. À gauche se trouve l’ancien portail, partiellement en ruines et aujourd’hui muré. Le reste des bâtiments militaires, non classés, ont été démolis en 2006. Les anciennes cours intérieures et d’exercices font l’objet d’une protection comme site. Classement comme monument et comme site le 10 juin 1982  

Le 1er octobre 1555, plus de cinq mille hommes creusaient les fondations d’une ville nouvelle, la place forte de Philippeville. Conçue par l’architecte Sébastien Van Noyen à la demande de la gouvernante générale des Pays-Bas espagnols Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint, la ville devait faire face à la menace des armées françaises d’Henri II qui venaient assiéger Mariembourg. La situation stratégique de la nouvelle place barrant la route de l’Entre-Sambre-et-Meuse en fit rapidement un bastion fort convoité et Philippeville ne demeura espagnole qu’à peine plus d’un siècle. En application des clauses du Traité des Pyrénées en 1659, la place forte passa à la France qui la conserva jusqu’en 1815. Le plan de cette forteresse, baptisée du nom du nouveau roi d’Espagne Philippe II, est radioconcentrique. Cet état de fait est encore visible aujourd’hui dans le tracé des grands boulevards qui adoptent celui des anciens remparts et dans le tracé des rues en étoile au départ de la place d’Armes. La grande majorité des édifices militaires conservés actuellement datent de l’occupation française de la ville, comme cela est le cas pour la chapelle Notre-Dame des Remparts. Située autrefois dans le bastion est des remparts, il s’agit d’un ancien magasin à poudre érigé au 17e siècle et dont les murs font 2,70 m d’épaisseur. Cette réserve de munitions a été transformée en lieu de culte sur les plans de l’architecte Lohest en 1922. Des fenêtres néogothiques ont ainsi été percées en façade. Classement comme monument et comme site le 13 janvier 1989

Taverne - restaurant - Pizzeria - Charbonnade Le spécialiste de la viande, charbonnade, steak house, pizzeria. Pizzas à emporter. Glaces artisanales. Découvrez le plaisir de partager entre amis ou en famille une charbonnade en plein centre de Philippeville.Depuis 1996, La Renaissance s'est spécialisée dans la fabrication de pizzas au feu de bois.Salle de réunion à l'étage pour vos réunions et conférences avec une capacité de 50 personnes.

Restaurant familial, cuisine libanaise, française, couscous accompagnés de différentes grillades, ... plats à emporter. Cuisine traditionnelle. Cadre chaleureux, service très sympathique Réservation souhaitée, surtout le week-end

Cathy et Jean-Pierre (ex-patrons du restaurant La Brise à Charleroi) et leurs trois fils Maxime, Romain et Antoine vous accueillent chaleureusement au sein de leur établissement Le Mistral. Venez déguster la cuisine française, les fondues, les raclettes et autres spécialités uniques dans la région. Cuisine traditionnelle et familiale dans un cadre agréable et dans une ambiance conviviale. Leur carte variée, leurs menus renouvelés chaque mois et leur grand choix de vins vous garantissent un repas de qualité à prix doux. Découvrez également leurs salades, leurs menus servis tous les jours midi et soir. A l intérieur deux superbes belles salles pouvant accueillir jusqu'à 90 couverts et par beau temps une terrasse.

Cuisines françaises & spécialités grecques et régionales. Taverne ouverte à partir de 10h. Parking aisé.

Venez déguster la Joseph et la Sara, les bières Bio produites par la brasserie de Silenrieux. Un bon moment de détente aux barrages de l'Eau d'Heure. walloniebelgiquetourisme.be/fr-be/content/brasserie-de-silenrieux

A proximité du site des Lacs de l’Eau d’Heure, Chez l’Père Sarrasin, c’est avant tout une ambiance, un lieu où histoire et terroir ont donné naissance à un restaurant familial au cadre chaleureux et pittoresque. Vous pourrez déguster une cuisine authentique franco-italienne de qualité. Préparées à la minute, le chef vous fera découvrir ses spécialités à la bière de la Brasserie de Silenrieux (située dans le même bâtiment) comme La Joseph ou encore La Sarra.

Cuisine chinoise - Spécialités Cantonnaises, service traiteur; plats à emporter - 10 %. Grand parking privé

A deux pas de la célèbre Basilique Saint-Materne de Walcourt, le restaurant Pizzeria La Moda vous propose de déguster ses plats sur place ou à emporter. Leurs pizzas sont cuites dans un four traditionnel afin de préserver toute la saveur et bienfaits de leurs ingrédients sélectionnés avec soin. C’est une offre de plus de 30 pizzas différentes pour ravir les papilles les plus exigeantes ! Des plus classiques pizzas Scampis, Frutti di mare, Margherita ou Regina, ils proposent également des originales telles que la Moda, la Curiosa ou la Marineria. Leur carte c'est aussi des desserts avec leurs succulents Tiramisu et Panna Cotta, ainsi qu'une petite carte de vins. Livraison à domicile dans un rayon de 10 kilomètres.

Situation : Au bord d'une rivière, isolé, de plain-pied au rez-de-chaussée Description : Le chalet se trouve dans une vallée entièrement privée avec une longueur de 750m, le long de la rivière, parc fleuri, coin champêtre, 2 étangs pour pêcher et ramer. Possibilité d'emmener votre cheval. Distribution : salon/sam, coin cuisine, sdd, wc, buanderie. jardin : pelouse, terrasse, jeux.

Au cœur d’une nature verdoyante, à proximité du site récréatif des Lacs de l’Eau d’Heure et de la Principauté de Chimay, ce magnifique gîte rural allie authenticité avec ses belles pierres du pays et modernité avec ses aménagements tendances et fonctionnels. Les propriétaires du Gîte Côté Grange vous accueillent chaleureusement dans leur intérieur cosy. Les chambres y sont décorées avec beaucoup de goût et de raffinement. Très belle et spacieuse terrasse plein sud avec vue sur le bucolique jardin. À proximité, découvrez les nombreuses promenades balisées, les charmants villages de Philippeville aux allures de cartes postales, ses souterrains, etc.   

Situé près de Philippeville à Villers-le-Gambon, le meublé de vacances Les Jours Heureux vous propose un séjour cosy et propice à la détente au plus proche de la nature. Cette tiny house, alliant optimisation de l’espace et démarche éco-responsable, est parfaite pour un séjour romantique ou une pause loin du stress. Les propriétaires vous accueillent dans leur logement offrant tout le confort moderne. Profitez d’une terrasse plein sud avec vue imprenable sur la campagne environnante parfaite pour un café au lever du soleil ou admirer les étoiles la nuit. Idéal pour un séjour en couple ou en famille. À proximité de randonnées à pied et/ou à vélo, des prestigieux souterrains de Philippeville et de sa ville fortifiée à la Vauban, ou encore des barrages de l’Eau d’Heure.